Traduction de "pour l'amour" à espagnol
Exemples de traduction
Avec amour, avec amour, avec amour
Con amor, con amor, con amor
« Tu sais, on parle tout le temps de l’amour. L’amour, l’amour, l’amour.
—Todo el mundo habla del amor. Amor, amor, amor.
L'Amour est la cause de l'Amour. L'Amour est compréhension. L'Amour est Musique.
El amor es la razón del amor. El amor es comprender. El amor es una música.
 Mon amour stellaire, mon amour, mon amour stellaire.
Amor estelar, amor mío, amor estelar.
« Ce n’est pas l’amour qui propulse un vaisseau », dit la femme.
—No puedes volar gratis en una nave espacial —dijo la mujer.
« Liv, pour l’amour du ciel, on nous offre un voyage gratuit en Grèce.
Liv, por Dios santo, nos han invitado a ir a Grecia, gratis.
Car il était intimement convaincu que Mario devait travailler pour l’amour de l’art, et pour le privilège d’avoir un maître aussi illustre.
Pensaba que Mario trabajaría en serio gratis, solo por el privilegio de tener un maestro tan ilustre.
En guise de mise, il offrait trois mois d’adhésion gratuite à son club, et maintenait que sa fréquentation ferait de Miles un homme nouveau, et boosterait son amour-propre.
Como acicate, le estaba ofreciendo tres meses gratis en el club de fitness, tiempo de sobra, según él, para que la vida de Miles cambiara notablemente con el aumento de su autoestima.
car les Avendaño sont de là-haut, de la montagne de Santander, c’est là-bas que se trouve la maison familiale, à leur retour des Indes, les colons s’installaient tous là-bas, il y en a toujours eu — mais ces Avendaño-là, malgré ce que croyaient les gens, ils sont si ignorants, n’allaient pas à Cuba, comme presque tous les autres, Cartagène des Indes se trouve en Colombie, vous devez savoir ça, bien entendu —, et le grand-père était venu de Maqueda pour rendre visite à son cousin, qui était alors propriétaire de La Maestranza — la propriété ne s’appelait pas ainsi, certes, c’est précisément le grand-père revenu des Indes qui lui donna ce nom, pour le faire rimer avec La Companza, dit-on qu’il disait — et on ne comprit jamais ce qui les opposait, quel différend, quelle rancœur ni allez donc savoir, on ne comprit jamais pourquoi l’Avendaño d’ici — c’était son deuxième nom, celui de sa mère, mais c’était tout de même un Avendaño — se sentit obligé d’accepter ce défi, de mettre en jeu sa propriété sur une simple partie de cartes, risquer sa propre vie en quelque sorte, car ensuite il se tira une balle, et c’était ce qui lui restait de mieux à faire pour fuir son déshonneur, parce que le soir même le grand-père revenu des Indes — il ne pouvait cependant pas savoir que son cousin second s’était déjà tiré une balle, cela s’était passé avant qu’il n’arrivât à la propriété —, car le soir même — certes, moi je vous le raconte comme on me l’a raconté, je n’en ai jamais été un témoin oculaire, et pour cause, cela s’est passé au siècle dernier, et je ne peux même pas vous assurer que quelqu’un, de récit en récit, dans le village, et y compris dans ma propre famille, n’ait rajouté quelque détail, quelque fioriture, moi en tout cas je me contente de vous le raconter comme mon grand-père me le racontait à moi — et le soir même, le grand-père revenu des Indes prit non seulement possession de la propriété mais aussi de la veuve — même si probablement il ne savait pas encore qu’elle était veuve au moment où il a couché avec elle, mais qui sait — et l’on raconte qu’il lui a fait l’amour toute la nuit, que l’on entendait des gloussements et des gémissements dans toute la maison, et soudain les hurlements de plaisir de la veuve, on raconte que la garce semblait n’avoir jamais été à pareille fête, elle jouissait tout son soûl, et il paraît que le grand-père n’arrêtait pas de lui crier des obscénités — certes, il y a encore à la propriété une vieille qui fut cuisinière et qui maintenant ne s’occupe plus de rien, qui passe son temps à l’ombre les mains croisées, à raconter des histoires, et cette vieille, on l’appelle Satur, prétend qu’elle était encore très gamine mais qu’elle se souvient du raffut de ce soir-là tandis que le grand-père se tapait la veuve de son cousin —, bref, tout cela pour dire qu’à La Maestranza ils n’en sont pas à leur première histoire bizarre, et vous venez pour la cérémonie de demain, n’est-ce pas ?
el otro día estuvo viéndolos Benigno Perales, el secretario de doña Mercedes, y le interesaron muchísimo—, el establecimiento ya es muy antiguo, le decía, y mi propio abuelo asistió a aquella partida de cartas, el Indiano llegó de Maqueda precisamente, aunque, bueno, llegaba de Cartagena de Indias en realidad, que es donde hizo fortuna, según decían, aunque nunca se supo cómo la hizo, en qué negocios, pero fortuna sí que hizo, y llegó de Maqueda un buen día, aunque lo de bueno queda por ver, vamos a dejarlo, no se sabe por qué, qué buscaría por estas tierras, ya que los Avendaño son de allá arriba, de la Montaña de Santander, allí tienen la casa familiar, allí volvían los indianos, que siempre los hubo —pero estos Avendaño, a pesar de lo que se creía la gente, tan ignorante, no iban a Cuba, como casi todos, Cartagena de Indias está en Colombia, usted lo sabrá, sin duda—, y el abuelo llegó de Maqueda a ver a su primo, que era entonces el dueño de La Maestranza —la finca no se llamaba así, por cierto, ese nombre se lo puso el Indiano, precisamente, para que rime con La Companza, dicen que decía— y nunca se supo qué había entre ellos, qué pleito, qué rencor o qué niño muerto, nunca se supo por qué el Avendaño de aquí —de segundo apellido, pero Avendaño a fin de cuentas— tuvo que aceptar aquel desafío, jugarse a las cartas la propiedad de la finca, su propia vida, porque se pegó un tiro después, y más valía, así se evitó el inri de la deshonra, y es que el Indiano aquella misma noche —pero no tenía por qué saber que su primo segundo se había pegado un tiro, esto ocurrió cuando él ya hubo llegado a la finca—, y aquella misma noche —bueno, yo se lo cuento como me lo contaron, no fui testigo presencial, lógicamente, aquello fue en el siglo pasado, no puedo asegurarle que alguien, de relato en relato, en el pueblo, en mi misma familia, no haya ido añadiendo algún detalle, algún ornamento, pero yo se lo cuento como mi abuelo me lo contaba— y aquella misma noche, el Indiano no sólo tomó posesión de la finca sino asimismo de la viuda —aunque tal vez no supiera, al acostarse con ella, que ya era viuda, eso queda por ver— y dicen que la estuvo gozando la noche entera, que se oían en toda la casa las risitas y los gemidos, luego los alaridos de ella, dicen que la viuda aquella, la muy zorra, nunca había conocido semejante fiesta, gozaba como una burra, y al parecer el Indiano decía guarrerías a grito pelado —bueno, hay todavía en la finca una vieja que fue cocinera y ahora ya no hace nada, que se pasa las horas bobas a la sombra con las manos cruzadas, contando historias, y esa vieja, la Satur, pretende que era muy niña pero que recuerda todavía el escándalo de aquella noche mientras el Indiano se cepillaba a la viuda de su primo—, en fin, que en La Maestranza están acostumbrados a las historias, y usted viene a lo de mañana, claro.
— Les hommes beaux ne se prennent pas d’amour pour les femmes laides. — Tu n’es pas laide...
—Los hombres apuestos nunca se fijan en las mujeres feas, ¿verdad? —Tú no eres fea.
Avec leur amour de l’ironie cosmique, les Grecs seraient ravis s’ils pouvaient coller ce meurtre sur le dos d’un autre Allemand. – J’en suis sûr.
Con lo que les gusta a los griegos la ironía cósmica, seguro que estarían encantados de colgarle este muerto a otro alemán. —Apuesto a que sí.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test