Traduction de "montant total soit" à espagnol

Montant total soit

• monto total ya sea
• cantidad total o bien

Exemples de traduction

monto total ya sea

Si l’on continuait à faire appel au capital étranger pour colmater la brèche du commerce et financer l’évasion des gains des investissements capitalistes, 80 % des devises se trouveraient, en 1980, entre les mains des créditeurs étrangers, et le montant total de la dette excéderait de six fois la valeur des exportations(425).
Si se siguiera recurriendo al capital extranjero para cubrir la brecha del comercio y para financiar la evasión de las ganancias de las inversiones imperialistas, en 1980 nada menos que el ochenta por ciento de las divisas quedaría en manos de los acreedores extranjeros, y el monto total de la deuda llegaría a exceder en seis veces el valor de las exportaciones.

Par une extraordinaire soirée d’hiver, il descend en courant jusqu’au kiosque et achète son exemplaire de La Cause péroniste – bien qu’acheter soit une façon de parler, car en lieu et place du traditionnel échange produit contre argent que les livres de l’économiste trotskiste Ernest Mandel lui ordonnent de remettre en question radicalement, jusque dans ses moindres ressorts, de façon à le dénaturer et à en finir avec l’illusion que ses termes, toujours injustes, sont indiscutables, ce qu’il y a entre le type du kiosque et lui c’est un accord tacite qui consiste à inclure la revue dans les comptes de la famille, où chaque début de mois, La Cause péroniste, mais souvent aussi Étoile rouge ou Le Combattant, organes de presse erpiens dont il lit les articles de conjoncture, si sévères et scientifiques que ceux de La Cause péroniste, en comparaison, semblent de douces rêveries, de vraies fables picaresques avec une attention et un enthousiasme des plus laborieux, comme on suivrait le meilleur cours de lutte armée par correspondance, se noient toutes dans le montant total de leur consommation de quotidiens, revues féminines et hebdomadaires d’information parfaitement bourgeois.
Una noche extraordinaria de invierno llega corriendo al kiosco y compra su ejemplar de La causa peronista —aunque comprar es un decir, porque lo que hay en vez del clásico intercambio de producto por dinero que los libros del economista trotskista Ernest Mandel le exigen interrogar hasta el fondo, hasta en sus resortes más ínfimos, de modo de desnaturalizarlo y acabar con la ilusión de que sus términos, siempre injustos, son fatales, es más bien el pacto tácito de incluir la revista en la cuenta familiar, donde a principios de cada mes La causa peronista, como a menudo también Estrella roja o El combatiente, órganos de prensa erpios cuyos partes de coyuntura, tan severos y científicos que los de La causa peronista, en comparación, suenan soñadores como fábulas picarescas, lee con atención y un entusiasmo más bien laborioso, como quien sigue el mejor curso de lucha armada por correspondencia, licúa su precio en el monto total al que asciende el consumo mensual de matutinos, publicaciones femeninas, revistas de actualidad perfectamente burguesas.