Traduction de "me disent qu'ils sont" à espagnol
Me disent qu'ils sont
  • dime que son
  • me dicen que están
Exemples de traduction
dime que son
Disent-ils vrai ? Vivez-vous avec une nyai ? — Oui, mademoiselle.
Dime, ¿es cierto lo que dicen por ahí? ¿Vives en casa de una concubina? —Sí, señorita.
« Dis-moi, n’es-tu pas un hovalyn ou un chevalier errant, comme le disent les gens du peuple ?
Dime, ¿no eres un hovalyn o un caballero errante, como dice la gente del pueblo?
Il m’annonça : — Ils viennent d’embarquer Alex. Pour l’instant, il tient le coup. — Que disent les toubibs ? Dis-le-moi, Kyle.
—Acaban de trasladar a Alex ahora mismo —me informó—. Todavía resiste. —¿Cuál es el pronóstico? Dime, Kyle.
Merde, a dit Zarco en faisant semblant d’être contrarié et il a ajouté en feignant la candeur : Dis-moi, est-ce que ceux qui ont du fric disent qu’ils en ont ?
Mierda, dijo el Zarco, fingiendo contrariedad, y añadió fingiendo candor: Dime otra cosa: ¿la gente que tiene pasta dice que tiene pasta?
Les filles disent toujours : « Waouh ! trop cool comme nom, dis-m’en plus. » Et, direct, je suis dans la place. Les cinq frères se fendirent d’un sourire approbateur.
Las chicas siempre dicen, guau, ese es un nombre tan genial, dime más. Y boom, estoy adentro. -Los cinco hermanos sonrieron de acuerdo.
Dis-moi qu’il est en vie. — Ils disent qu’il a dû se retrouver dans un établissement très spécialisé, aux States, un endroit où on s’occupe des mecs des Forces Delta qui ont vraiment dégusté, ce genre de truc.
Dime que está vivo. —Creen que hizo algún tipo de acuerdo en Estados Unidos, donde trabajan con los tipos fastidiados del Delta Force y ese tipo de cosas.
« Ça me rappelle ce que les gamins disent parfois : “Je sais que tu sais que je sais que tu sais...” Un sourire s'épanouit lentement sur ses lèvres, comme si le sourire sur le visage d'Ambler s'était étendu au sien. « Dis-moi quelque chose sur moi.
—Me recuerda a eso que los niños dicen a veces. «Sé que sabes que yo sé que tú sabes…» —Laurel sonrió, como si la sonrisa de Ambler se le hubiera contagiado—. Dime algo sobre mí.
Comme je ne crois pas ces vieux bonshommes qui se disent obligés de tuer leur pauvre épouse souffrante parce qu’ils ne supporteraient pas de voir la femme qu’ils aimaient changer sous l’effet de la maladie d’Alzheimer. Est-ce que tu as déjà lu un article sur une femme ayant assassiné son mari avec le même prétexte ? »
Y tampoco creo a todos esos ancianos que dicen que tuvieron que matar a sus pobres esposas porque estaban sufriendo y ellos no podían soportar ver a la mujer que amaban convertirse en alguien distinto por culpa del alzhéimer. —Apretó el puño sobre la mesa—. Dime de una mujer que haya puesto la misma excusa para matar a su marido.
Ils s’embrassèrent avec fougue, à en perdre haleine, ce ne fut pas un éclair mais une série d’éclairs, peu de mots, il est difficile de parler pendant un baiser, mais enfin, au bout de quelques minutes, ils purent s’entendre, Tu me plais, je crois que je t’aime, dit honnêtement José Anaiço, Tu me plais aussi, et je crois que je t’aime aussi, c’est pour cette raison que je t’ai embrassé hier, non, non, ce n’est pas tout à fait ça, je ne t’aurais pas embrassé si je n’avais déjà senti que je t’aimais, mais je peux t’aimer encore bien davantage, Tu ne sais rien de moi, Si pour aimer quelqu’un il faut attendre de le connaître, la vie entière n’y suffirait pas, Tu doutes que deux personnes puissent se connaître, Et toi, tu y crois, C’est à toi que je pose la question, Dis-moi d’abord ce que c’est que connaître, Je n’ai pas de dictionnaire, Si tu en avais un, tu apprendrais ce que tu sais déjà, Les dictionnaires ne disent que ce qui peut être utile à tout le monde, Je répète ma question, qu’est-ce que connaître, Je ne sais pas, Et cependant tu peux aimer, Je peux t’aimer, Sans me connaître, Oui, on dirait, Ce nom d’Anaiço, d’où te vient-il, Un de mes grands-pères se prénommait Inacio, mais au village ils ont changé son nom en Anaiço, et, avec le temps, ça a fini par devenir le nom de la famille, et toi, pourquoi t’appelles-tu Carda, Dans le temps, la famille s’appelait Cardo, mais une de mes grand-mères, son mari mort, s’est retrouvée chargée de famille, et on a commencé à l’appeler Carda, elle avait bien mérité son propre nom de femme, Je croyais que ton nom venait de carda de prego(5), À présent, ça se pourrait, et autre chose, une fois je suis allée me chercher dans le dictionnaire, et j’ai vu que carda était aussi un instrument pour dilacérer les chairs, pauvres martyrs, écorchés, brûlés, décapités, cardés, Voilà ce qui m’attend, Si je reprenais mon nom de cardo(6), tu ne gagnerais rien au change, Tu piques toujours ainsi, Non, je ne suis pas le nom que je porte.
Se besaron ansiosos, ávidos, no fue un relámpago sino una sucesión de ellos, las palabras fueron menos, es difícil hablar en medio de un beso, pero, en fin, pasados unos minutos, pudieron oírse, Me gustas, creo que te quiero, dijo José Anaiço honestamente, También tú me gustas, y también creo que te amo, por eso te besé ayer, no, no es exactamente así, no te habría besado si no sintiera que te amaba, pero puedo amarte mucho más, No sabes nada de mí, Si uno, para que otro le guste, tuviera que esperar a conocerlo, no le bastaría la vida entera, Dudas que dos personas puedan llegar a conocerse, Y tú, lo crees, Soy yo quien te lo pregunto, Primero dime qué es conocer, No llevo aquí un diccionario, En este caso, ir al diccionario es quedarse sabiendo lo que ya se sabía antes, Los diccionarios sólo dicen lo que puede servir a todos, Repito la pregunta, qué es conocer, No lo sé, Y sin embargo puedes amar, Puedo amarte, Sin conocerme, Así parece, Ese apellido de Anaiço, de dónde viene, Un abuelo mío se llamaba Ignacio, pero allá en la aldea le cambiaban el nombre, empezaron a decir Anaiço, y con el tiempo se convirtió en el apellido de la familia, y tú, por qué te llamas Carda, Tiempos atrás la familia tenía Cardo de apellido, pero una abuela, cuando el marido le murió y se quedó con la familia a su cargo, empezó a ser conocida por la Carda, bien merecido tenía su propio nombre de mujer, Creí que fueses carda de cardar lana, Ahora podría ser, y otra cosa, miré una vez en el diccionario y vi que Carda era también un instrumento de desgarrar la carne, pobres mártires, desollados, quemados, degollados, cardados, Eso es lo que me espera, Si volviera al nombre de Cardo no ganarías con el cambio, Picarás siempre, No, yo no soy el nombre que tengo, Quién eres, entonces, Yo.
Marie leva les mains au ciel, pleurant, scandalisée, Mais comment est-ce possible, mais comment est-ce possible, un fils premier-né abandonner sa mère veuve, a-t-on jamais vu pareille chose, le monde va de mal en pis, et pourquoi, et pourquoi, c’est ta maison et ta famille, comment allons-nous vivre si tu n’es pas là, Jacques a seulement un an de moins que moi, il prendra soin de vous, comme j’aurais dû le faire maintenant que ton mari n’est plus là, Mon mari était ton père, Je n’ai pas envie de parler de lui, je n’ai envie de parler de rien, donne-moi ta bénédiction pour le voyage si tu veux, je m’en irai de toute façon, Et où veux-tu aller, mon fils, Je ne sais pas, peut-être à Jérusalem, peut-être à Bethléem, pour voir la terre où je suis né, Mais là-bas personne ne te connaît, Heureusement pour moi, mère, car tu imagines ce qu’on me ferait si on savait qui je suis, Tais-toi, tes frères t’entendent, Un jour eux aussi connaîtront la vérité, Et en ce moment, sur ces chemins, avec les Romains qui cherchent les guérilleros de Judas, tu vas à la rencontre du danger, Les Romains ne sont pas pires que les soldats de l’autre Hérode, ils ne se jetteront sûrement pas sur moi l’épée au poing pour me tuer et ils ne me cloueront pas non plus sur une croix, je n’ai rien fait, je suis innocent, Ton père aussi l’était et tu vois ce qui est arrivé, Ton mari est mort innocent mais sa vie n’a pas été innocente, Jésus, le démon parle par ta bouche, Comment peux-tu savoir que ce n’est pas Dieu qui parle par ma bouche, Tu ne prononceras pas le nom du Seigneur en vain, Personne ne peut savoir quand le nom de Dieu est prononcé en vain, tu ne le sais pas, je ne le sais pas, le Seigneur seul fera la distinction et nous ne comprendrons pas ses raisons, Mon fils, Dis, Je ne sais pas où tu vas chercher ces idées, cette science, toi qui es si jeune, Je ne saurais te le dire, peut-être les hommes naissent-ils avec la vérité en eux et ils ne la disent pas tout simplement parce qu’ils ne croient pas qu’elle est la vérité, Est-ce la vérité que tu veux t’en aller, C’est la vérité, Et tu reviendras, Je ne sais pas, Si tu veux, si cela te tourmente, va à Bethléem, va à Jérusalem, au Temple, parle avec les docteurs, pose-leur des questions, ils t’éclaireront, et tu reviendras à ta mère et à tes frères et sœurs qui ont besoin de toi, Je ne promets pas de revenir, Et de quoi vivras-tu, ton père n’a pas duré assez longtemps pour t’enseigner le métier à fond, Je travaillerai dans les champs, je me ferai berger, je demanderai aux pêcheurs de me laisser aller avec eux en mer, Ne te fais pas berger, Pourquoi, Je ne sais pas, c’est un sentiment que j’ai, Je serai ce que je dois être, et maintenant, ma mère, Tu ne peux pas partir ainsi, il faut que je te prépare de la nourriture pour le voyage, l’argent n’est pas très abondant, mais on t’en trouvera un peu, tu prendras la besace de ton père, heureusement il l’avait laissée ici, J’emporterai la nourriture mais pas la besace, C’est la seule que nous ayons à la maison, ton père n’avait ni la lèpre ni la gale, tu n’attraperas rien, Je ne peux pas, Un jour tu pleureras ton père et il ne sera pas là, Je l’ai déjà pleuré, Tu le pleureras encore, et ce jour-là, tu ne te demanderas pas quelles auront été ses fautes, Jésus ne répondit pas à ces paroles de sa mère.
María alzó las manos al cielo, llorosa y escandalizada, Qué es esto, qué es esto, abandonar un hijo primogénito a su madre viuda, dónde se ha visto, adiós mundo, cada vez peor, por qué, por qué si ésta es tu casa y tu familia, cómo vamos a vivir nosotros si tú no estás, y dijo Jesús, Tiago sólo tiene un año menos que yo, él se encargará de todo, como lo habría hecho yo al faltar tu marido, Mi marido era tu padre, No quiero hablar de él, no quiero hablar de nada más, dame tu bendición para el viaje si quieres, de todas formas me voy, Y adónde irás, hijo mío, No lo sé, tal vez a Jerusalén, tal vez a Belén, a ver la tierra donde nací, Pero allí nadie te conoce, Mejor para mí, dime, madre, qué crees que me harían si supieran quién soy, Cállate, que te oyen tus hermanos, Un día también ellos sabrán la verdad, Y ahora, por esos caminos, con los romanos que andan buscando guerrilleros de Judas, vas al encuentro del peligro, Los romanos no son peores que los soldados del otro Herodes, seguro que no caerán sobre mí espada en mano para matarme ni me clavarán en una cruz, no he hecho nada, soy inocente, También lo era tu padre y ya ves lo que le ocurrió, Tu marido murió inocente, pero no vivió inocente, Jesús, el demonio está hablando por tu boca, Cómo puedes tú saber que no es Dios quien habla por mi boca, No pronunciarás el nombre de Dios en vano, Nadie puede saber cuándo es pronunciado en vano el nombre del Señor, no lo sabes tú, no lo sé yo, sólo el Señor hará la distinción y nosotros no comprendemos sus razones, Hijo mío, Di, No sé adónde has ido a buscar esas ideas, esa ciencia, tan joven, Y yo no sabría decírtelo, tal vez los hombres nazcan con la verdad dentro de sí y si no la dicen es porque no creen que sea la verdad, Realmente te quieres ir, Sí, quiero irme, Y volverás, No lo sé, Si quieres, si esto te atormenta, vete a Belén, a Jerusalén, al Templo, habla con los doctores, pregúntales, ellos te iluminarán y tú volverás con tu madre y tus hermanos que te necesitan, No prometo volver, Y de qué vivirás, tu padre no duró lo bastante para enseñarte el oficio todo, Trabajaré en el campo, seré pastor, pediré a los pescadores que me dejen ir con ellos al mar, No quieras ser pastor, Por qué, No lo sé, es un sentir mío, Seré lo que tenga que ser y ahora, madre, No puedes irte así, tengo que prepararte comida para el camino, dinero hay poco, pero algo habrá, llévate la alforja de tu padre, suerte que él la dejó aquí, Me llevaré la comida, pero la alforja no, Es la única que tenemos en casa, tu padre no tenía lepra ni sarna que se te peguen, No puedo, Un día llorarás por tu padre y no lo tendrás, Ya he llorado, Llorarás más y entonces no querrás saber qué culpas tuvo, a estas palabras de su madre ya no respondió Jesús.
me dicen que están
tronches qui disent oui, qui disent non, qui dodelinent seulement et disent que dalle ;
seseras que dicen sí, que dicen no, que solo se bambolean y no dicen nada;
Qu’est-ce qu’ils disent. Ils disent : Vous n’êtes pas obligé de faire ça.
Qué dicen. Dicen: No tiene por qué hacerlo.
– Qu’est-ce qu’ils disent d’autre, Caridad, qu’est-ce qu’ils disent d’autre ?
—¿Qué más dicen, Caridad? ¿Qué más dicen?
Ils disent Les gens, ils disent Le monde.
Dicen La gente, dicen El mundo.
Que je voie ce qu’ils disent, et comment ils le disent.
Deje que vea lo que dicen y cómo lo dicen.
— … disent ce qu’elles disent, insiste Johnny.
—… dicen lo que dicen —insiste Johnny—.
Certains disent : love. Certains disent : friends.
Unos dicen love. Otros dicen friends.
Ils ne disent même plus le peuple : les masses, disent-ils.
Ya no dicen ni siquiera «el pueblo»: «las masas», dicen.
— Qu’est-ce qu’ils disent ?
—¿Qué es lo que dicen?
— Que disent-ils de lui ?
—¿Y qué dicen de él?
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