Traduction de "marmonnement" à espagnol
Exemples de traduction
– Estic foutut, l’entendions-nous marmonner.
—Estic fotut —le oíamos mascullar.
Elle parvint à marmonner un « merci ».
Sam se las arregló para mascullar un débil «Gracias».
Ce qui expliquait aussi ses marmonnements indistincts.
Y este detalle, a su vez, explicaba su ronco mascullar.
— Moi, je me tire, a marmonné Diego.
-Me largo de aquí -oí mascullar a Diego.
Elle passe devant lui et ne se retourne pas lorsqu'elle l'entend marmonner.
Pasa delante de él y no se vuelve cuando le oye mascullar algo.
— Ne marmonne pas entre tes dents. Pas avant l’heure du thé.
—Haz el favor de no mascullar. A la hora del té.
Il appuya le front sur ses mains et se mit à marmonner la prière.
Apoyó las manos en la frente y empezó a mascullar su súplica.
– Les fils de pute ! entendis-je marmonner Copons, admiratif.
—Hijos de puta —oí mascullar a Copons, admirado.
Tant pis si je marmonne la phrase la plus importante de cette confession.
Lástima que tenga que mascullar la frase más importante de esta confesión.
Je tirai Marius par la manche. Il arrêta de marmonner pour me suivre, mais il n’était pas lui-même.
Marius me siguió, y dejó de mascullar entre dientes, pero no parecía el mismo.
– Oui, oui, je comprends, tenta de marmonner l’indifférent qui n’était pas assez indifférent.
—Sí, sí, comprendo —trató de balbucear el indiferente que no lo era tanto.
Si seulement Harker avait cessé de parler et de marmonner à voix basse !
¡Si solo Harker parara de balbucear y murmurar para sí mismo entrecortadamente!
On les entendait marmonner des paroles dépourvues de sens, chanter leurs rengaines qui étaient peut-être des messages cachés.
Se los oía balbucear palabras sin sentido, entonar esos cantos que a lo mejor eran mensajes ocultos.
Le vieillard cache à nouveau son visage dans les draps, ses épaules tremblent, il marmonne et gémit…
El viejo vuelve a sepultar la cabeza en la ropa de cama, con los hombros temblando, y se pone a balbucear y a gimotear.
À nouveau, Dudley sembla s’empêtrer dans des pensées trop difficiles à formuler et il se contenta de marmonner :
Una vez más dio la impresión de que Dudley lidiaba con pensamientos demasiado complicados para expresar, hasta que logró balbucear:
Step l’embrasse. Elle est un peu surprise de voir Pollo. Lui marmonne quelque chose qui doit être un «salut » et s’installe tout de suite sur le divan à côté du petit. Il change de chaîne, à la recherche de quelque chose de mieux que ces dessins animés japonais débiles.
Step la besa. Ella se queda un poco sorprendida de ver también a Pollo, quien, tras balbucear algo parecido a un «hola», se acomoda enseguida en el sofá junto al niño. Cambia de canal tratando de ver algo mejor que esos estúpidos dibujitos animados japoneses.
– J’ai vu le gros aux yeux bleus quand il surveillait la maison des gamins, Albertico, le petit-fils de don Pericles, et sa femme. Et je suis également sûre que c’est lui qui l’a arrêté, et que vous-même vous y avez peut-être pris part. Le Viking a maintenant fermé les yeux, comme si l’épuisement l’avait rattrapé. – Vous imaginez des choses, ma petite María Elena, marmonne-t-il. Le coup de crosse vous a affectée. – N’essayez pas de vous défiler, Viking.
—Yo descubrí quién era el padre de su hija. María Elena se queda de una pieza. Este hombre tiene una necedad con ese tema. Siente que está repitiendo la misma conversación que sostuvieron en el cuarto del mesón antes de que él se quedara dormido. ¿Qué fijación lo lleva a querer hurgar en el pasado de ella? —No le estoy preguntando eso —alcanza a balbucear, sentándose rígida, a punto del enojo, porque ha comprendido que el Vikingo recurre al pasado de ella para no darle la información sobre dónde se encuentran Albertico y Brita.
Nous ne vivrons donc apparemment pas ensemble, je vais juste récupérer mes lunettes et m’en aller, à cet instant, elle était persuadée d’avoir effectivement oublié ses lunettes de soleil chez lui, elle l’avait donc suivi sereinement sur le toit et avait commencé à se pencher pour les chercher entre les bouteilles de bière vides et les cendriers pleins alors qu’en fait elles étaient sur son front. Pendant tout ce temps, vêtu d’un simple slip qui révélait son corps puissant et musclé, il n’avait cessé de la photographier, jusqu’au moment où elle s’était heurtée à son propre reflet dans le miroir du couloir et avait vu ses lunettes plantées au sommet de son crâne, au moins une preuve qu’elle n’aimait pas la lumière, dire qu’elle n’avait même pas été capable de marmonner, c’est ma paire de rechange ou c’est la paire de mon petit ami, ce qui lui aurait, en plus, permis de préciser qu’elle avait un compagnon et n’était pas aux abois, oui, elle aurait dû le faire en dépit ou peut-être à cause de l’irrésistible attirance qu’elle ressentait envers lui. Amos avait alors doucement ôté les lunettes de son front, s’était débarrassé de l’appareil photo et était venu se placer juste derrière elle qui fixait toujours le miroir, il l’avait dépouillée de sa longue robe grise, de son soutien-gorge et de sa petite culotte, et comme il était un peu plus petit qu’elle, il n’apparaissait quasiment pas et ses vêtements semblaient s’envoler tout seuls, sauf qu’alors elle avait senti les portes de son corps enfoncées, vu dans le miroir ses épaules se pencher un peu en avant, ses seins brinquebaler et l’ahurissement se peindre sur son visage, jamais elle ne s’était surprise pendant l’acte lui-même, impossible de détourner le regard de cette vision pourtant presque aussi taboue que l’inceste, vision de ses yeux écarquillés dans un désir qu’elle n’aurait jamais soupçonné sien, les lèvres entrouvertes dans une soif de baisers, tout en elle n’était que féminité offerte, au sens primitif et presque vexant du terme, elle n’était que corps de femme béant devant l’homme, un inconnu de surcroît et qui venait, à l’instant, de congédier une autre femme.
Pues por lo visto no viviremos juntos, contesta, solo buscaré mis gafas y me iré, a esas alturas ya estaba convencida de haber olvidado allí sus gafas, lo siguió hasta la terraza donde comenzó a buscarlas entre las botellas de cerveza vacías y los ceniceros desbordados, mientras que llevaba todo el tiempo las gafas sobre su cabeza mientras que él la seguía por donde fuera, tomándole fotos con su cámara y vestido únicamente con calzoncillos, sorprendentemente musculoso y atlético, solo cuando se enfrentó al espejo que colgaba en el pasillo pudo ver sus gafas sobre la cabeza, es verdad que no soporto la luz, ni siquiera alcanzó a balbucear, estas son las de repuesto o estas son de mi novio, para aclarar de paso que estaba saliendo con una persona, que no necesitaba nada a pesar de la ola de ardiente necesidad que la asaltó frente a él en ese preciso instante y él, con mucho cuidado, le quitó las gafas, se descolgó la cámara del cuello y permaneció allí, de pie detrás de ella, frente al espejo, quitándole lentamente el largo vestido gris, el sujetador y las bragas, como era un poco más bajo de estatura que ella su presencia casi no se nota en la imagen del espejo y pareciera que su ropa se desprende por arte de magia de su cuerpo, siente que súbitamente se eriza el vello de su cuerpo, sus hombros se inclinan un instante, sus pechos se bambolean y hay en su rostro una expresión de asombro, nunca antes se había contemplado a sí misma en el acto del amor y ahora, al parecer, no puede dejar de mirar a pesar de ser un tabú, casi como si se tratara de un incesto, ver sus ojos abiertos con una pasión que jamás imaginó que podían albergar, sus labios se entreabren por el deseo de ser besados, toda esa expresión de entrega femenina, algo atávico y casi insultante, una mujer cuyo cuerpo se abre frente a un hombre, un hombre que además es un extraño que acaba de despedir frente a ella a otra mujer.
ses marmonnements s’éteignirent.
sus balbuceos se apagaron—.
— Désolée, marmonne-t-elle.
—Lo siento —balbucea ella.
L’homme marmonne quelque chose.
El hombre balbucea algo.
— Hmmm… euh…, je marmonne.
—Hum… eh… —balbuceo.
— Je ne dors pas, marmonne le directeur.
—No me duermo —balbucea el director.
— On est vendredi, je marmonne très vite.
—Es viernes —balbuceo enseguida—.
Mais elles continuent de marmonner leurs prières.
Ellas siguen rezando a balbuceos.
— Heu… pas vraiment, marmonne Peter.
—Eh… No —balbucea Peter.
– Je veux le faire aujourd’hui, je marmonne.
—Quiero hacerlo hoy —balbuceo—.
— C’est fou, a marmonné un autre garçon derrière Fox.
—Es una locura —balbuceó el tipo que había detrás de Fox.
L’homme est de haute taille et maigre, d’une pâleur de fantôme, le masque noir qu’il tient à la main et sa chemise rouge ne faisant qu’accentuer sa pâleur lugubre, et il marmonne. — Quoi ? Il demande : — On peut discuter ?
Es un hombre alto y adusto, pálido como un espectro, con la máscara negra en la mano y una camisa rojo sangre que acentúa su palidez. —¿Qué pasa? —¿Podemos hablar?
Qui as-tu trouvé ? — Rien qu’un autre type, avait répondu la jeune femme en espérant que le masque étoufferait sa voix. Après tout, la pelisse dissimulait sa maigreur. — Bah ! Un vieux croûton, avait marmonné le sbire en se tournant pour s’adresser à ses collègues restés dans la nacelle.
—le gritó—. ¿A quién has encontrado? —Solo a un vejestorio —le gritó en respuesta, esperando que su máscara contra el frío distorsionara y amortiguara su voz y el abrigo de piel disfrazara su huesudo perfil. —Solo un viejo —dijo el cazador, volviéndose a hablar a alguien de dentro de la góndola. Y luego, más alto:
Le bruit des femmes attablées autour d’elles les encerclait, elles entendaient le marmonnement, le mâchonnement d’une longue phrase collective, si merveilleux très mignon, intéressant samedi en voiture au Frontenac Billblass Power Hall, j’ai vu des petits chelems, j’ai pris un brunch divorcé (Hilary Fontbonne, Ashley Chesterfield), mais écoute-moi mercredi (touche du bois), les soldes chez Eric, le Saks de Londres, le cancer, les rideaux, Vail, trois kilos.
Rodeadas por el ruido de las mujeres que allí consumían, el mascar de la frase comunal, divino qué guapo, interesantes paseos en coche al Frontenac Billblass Powell Hall, fantástica partida de bridge, merienda con divorciadas (Hilary Fontbonne, Ashley Chesterfield), pero mira el miércoles (toca madera), rebajas en Eric, London Saks, cáncer, visillos, Vail, un kilo y medio.
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