Traduction de "ils ont sauvé" à espagnol
Exemples de traduction
— C’étaient eux qui l’avaient sauvé.
–Fueron quienes lo salvaron.
Ils étaient tous sauvés.
Les salvaron a todos.
et finalement, ce sont nos lapins qui l’ont sauvée…»
y fueron ellos los que la salvaron
— Tout le monde a été sauvé ?
—¿Se salvaron todos?
— Ils vous ont sauvé la vie.
—Le salvaron la vida.
mes manquements m’ont sauvé.
mis fallos me salvaron.
Elle était donc sauvée.
De modo que la salvaron.
Ils m’ont sauvé la vie.
Ellas me salvaron la vida.
Combien en avaient-ils sauvés ?
¿A cuántos salvaron?
Les apparences ne sont pas seulement sauves, mais aux commandes.
Las apariencias no sólo se guardan, sino que son las que mandan.
 On sauve les apparences, hein ? — Quelque chose comme ça.
–Solo guardan las apariencias, ¿no es eso? –Algo así.
Si le joueur décide de ne pas se risquer à tirer une carte, alors la pile est sauvée et mise de côté.
Si el jugador decide no arriesgarse añadiendo una nueva carta a las que ya tiene, las cartas de ese montón están a salvo y se guardan.
siffla la cuisinière. — Que la Sainte Vierge nous assiste dans cette épreuve, dit la gouvernante. Puisse-t-elle sauver monsieur le directeur...
—la reprendió la cocinera. —¡Virgen santa, guárdanos de todo mal! —se oyó decir al ama de llaves—. ¡Te suplico que salves al señor…!
Toutes les banques, par amour du passé, conservent leurs vieux dossiers ; le moindre document, le moindre bout de papier est sauvé de l'oubli, classé, étiqueté pour la postérité.
Todos los bancos de la vieja guardia y con criterio histórico guardan los antiguos documentos, archivos, conservan cada pedazo de papel, lo clasifican y le ponen una etiqueta para la posteridad.
On veut me garder de ce côté, dans la pénombre, dans le crépuscule où les objets n’ont point de bord, où les choses ne se déplacent qu’à peine, la standardiste insiste pour me donner son sang dont je ne veux pas, je presse mes oreilles, je les écrase pour les empêcher de grandir, je griffe le cartilage, il n’en sort pas de sang, normal : je n’en ai plus, mes oreilles grandissent malgré moi, sans lobes, comme de grands parapluies qui entendent tout, ils veulent me sauver avec leur sang, je brûle du sang rouge de Melchor, je me dissous dans le sang glacé de Melisa, cessez de jouer avec moi, c’est un jeu, ne le niez pas, laissez-moi passer la ligne, rien ne bouge au-delà, on ne voit rien, mourir en paix, plus de piqûres. Docteur Azula, non, non, je ne peux supporter cette sonde qu’on me fait passer par le nez jusqu’à l’estomac, cette seringue qui extrait tant et plus de litres de mon sang à moi, Humberto Peñaloza, quand c’était encore Humberto Peñaloza, du sang d’avant qu’on m’ait mis du sang de monstres dans les veines, de quand j’étais moi et non un phénomène fluctuant ; Crisóforo Azula me hait et il est jaloux car il sait qu’Emperatriz est amoureuse de moi, il me vole du sang pour le remplacer par du sang de monstres dont je ne veux pas, on me tient cloué sur ce lit pendant que, devant la porte de ma chambre, les monstres attendent dans l’émoi mon sang qui est peut-être usé mais qui est en tout cas du sang normal, ils le boivent ou se l’injectent, le réclament à grands cris, encore du sang d’Humberto Peñaloza, encore, j’entends la clameur de la foule assoiffée qui se bouscule à ma porte, je ne peux plus bouger car on me paralyse avec ces sondes qui me font mal, avec les visites constantes des monstres revêtus de leurs dominos et de leurs masques galants qu’ils échangent, ils me demandent comment je me sens, ils ont l’air tout soucieux et me disent de ne pas m’en faire, tout ira bien, c’est une opération de routine, non, personne n’a demandé de mes nouvelles, ces médecins et ces infirmières disent qu’ils ne savent pas comment je m’appelle, ils me posent des questions, ils apportent des fiches pour les couvrir de renseignements qu’ils savent par cœur, mais ils disent que non, qu’ils m’ont trouvé dans une flaque de merde sanguinolente, et comment pourraient-ils savoir mon nom, ils sont en train de m’ôter mon identité, même ça, ils me le volent, Humberto Peñaloza, Hum-ber-to Pe-ña-lo-za, je leur crie mon nom, mais ma voix est inaudible, et ils hochent la tête avec compassion, le pauvre, le pauvre vieux, et ils rangent leurs fiches où ils ont refusé d’écrire mon nom.
Pero no, no me dejan cruzar a la oscuridad donde ninguna zozobra existe, me quieren mantener a este lado, en la penumbra donde los objetos no tienen borde y las cosas apenas se desplazan, la telefonista insiste en darme su sangre que no quiero, aprieto mis orejas, las aplasto para que no crezcan, rajo el cartílago, no sale sangre, claro, si no tengo, crecen mis orejas a pesar mío, sin lóbulo, como grandes paraguas que lo oyen todo, me quieren salvar con su sangre, ardo con la sangre roja de Melchor, me disuelvo en el hielo de la sangre de Melisa, no jueguen más conmigo, es un juego, no lo nieguen, déjenme cruzar la línea, más allá nada se mueve, nada se ve, morir en paz, no me pinchen otra vez. Doctor Azula, no, no puedo resistir esa sonda que me mete por la nariz hasta el estómago, esa jeringa que extrae litros y más litros de sangre mía, de Humberto Peñaloza cuando era Humberto Peñaloza, sangre de antes que me metieran sangre de monstruo en las venas, cuando yo era yo y no un fenómeno fluctuante, Crisóforo Azula me odia y me tiene celos porque sabe que Emperatriz está enamorada de mí, robándome sangre para sustituirla por la de los monstruos que yo no quiero, me tienen clavado a esta cama mientras afuera de la puerta de mi cuarto los monstruos clamorosos esperan mi sangre que será vieja pero por lo menos es sangre normal que ellos beben, no se inyectan, piden a gritos mi sangre, más sangre de Humberto Peñaloza, más sangre de Humberto Peñaloza, oigo el clamor de la multitud sedienta que se agolpa a mi puerta, yo no puedo moverme porque me tienen inmovilizado con estas sondas que duelen, por las visitas constantes de los monstruos disfrazados con sus dominós y sus caretas galantes que intercambian, me preguntan cómo me siento, muy preocupados me dicen que no me preocupe, que todo andará bien, que son cosas de rutina, no, nadie ha preguntado por mi salud, estos médicos y enfermeras dicen que no saben cómo me llamo, me preguntan, traen fichas para llenarlas con informaciones que saben de memoria pero dicen que no, dicen que me encontraron tirado en un charco de mierda sanguinolenta y que cómo van a saber cómo me llamo, me están quitando la identidad, hasta eso me están robando, Humberto Peñaloza, Humberto Peñaloza, Humberto Peñaloza, les grito mi nombre pero mi voz no se oye y mueven la cabeza compadeciéndome, pobre, pobrecito, y guardan sus fichas en que se han negado a escribir mi nombre.
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