Traduction de "heure des hommes" à espagnol

Heure des hommes

• hora de los hombres

Exemples de traduction

hora de los hombres

Au bout d’un quart d’heure, un homme sortit dans le vestibule.
Después de un cuarto de hora salió un hombre a la entrada.

« Je suis épuisé, dit le sultan, reviens dans une heure! » Mais l'homme insista.
«Estoy agotado —dijo el sultán—, vuelve dentro de una hora.» Pero el hombre insistió.

Au bout d’une heure deux hommes passèrent en bas sur la route, presque au pas de gymnastique.
No había pasado una hora cuando dos hombres llegaron a paso largo por la carretera.

Une heure après, l’homme se releva sur son coude, s’assit, chercha à tâtons son sac et son gourdin.
Una hora después el hombre se incorporó sobre su codo, se sentó y buscó a tientas su saco y su palo.

C’était l’heure de Rolf Ripley, l’heure des hommes vils pour lesquels des inconnues abandonnaient inexplicablement leurs inhibitions, l’heure où elles « y passaient ».
La hora de Rolf Ripley, la hora de los hombres feos ante los cuales se desinhibían inexplicablemente las desconocidas, la hora de hacerlo.

Depuis trois quarts d’heure, cet homme avait dans le geste et dans le regard une autorité despotique, irrésistible, puisée à la source commune et inconnue où puisent leurs pouvoirs extraordinaires et les grands généraux sur le champ de bataille où ils enflamment les masses, et les grands orateurs qui entraînent les assemblées, et, disons-le aussi, les grands criminels dans leurs coups audacieux ! Il semble alors qu’il s’exhale de la tête et que la parole porte une influence invincible, que le geste injecte le vouloir de l’homme chez autrui.
Hacía tres cuartos de hora que aquel hombre tenía en el gesto y el mirar una autoridad despótica, irresistible, sacada del veneno común y desconocido del que sacan sus poderes extraordinarios los grandes generales en el campo de batalla, inflamando a las tropas y los grandes oradores que arrastran a las asambleas y, digámoslo también, los grandes criminales en sus golpes de audacia… Parece entonces que de la cabeza brota y la palabra conduce un influjo invencible, que el gesto inyecta la voluntad de un hombre en otro.