Traduction de "fils frère" à espagnol
Exemples de traduction
À nous déchirer, à nous dresser l’un contre l’autre ainsi, père contre fils, frère contre frère ?
¿Destrozarnos, enfrentarnos entre nosotros, padre contra hijo, hermano contra hermano?
Chacune d’elles brandissait une photo du fils, frère ou mari manquant. Leur bannière disait :
Cada una llevaba un retrato del hijo, hermano o esposo perdido y su pancarta rezaba:
Bon fils, frère attentif, il resta fidèle à la ligne qu’une voix d’outre-tombe lui avait assignée.
Buen hijo, hermano atento, fue fiel a la línea que una voz de ultratumba le había señalado.
Ça n’a aucun sens. Aurais-je le cœur de le laisser saigner jusqu’à ce que mort s’ensuive parce que je sais qu’il m’a menti – qu’il n’est pas le gentil Evan Walker, le chasseur réticent, le fils, frère et petit ami éploré, mais quelque chose qui n’est peut-être même pas humain ?
No tiene sentido. ¿Tengo estómago para dejar que se desangre ahora que sé que me mintió, que no es el amable Evan Walker, el cazador reacio, el hijo, hermano y novio apenado, sino algo que quizá ni sea humano?
D’un autre côté, le soin maniaque avec lequel son père rangeait toutes ses affaires – sans exiger qu’on l’imite, il faut le dire, mais qui n’était pas pour autant moins absolu, intimidant et, en définitive, violent – fit de Marco une personne souverainement négligée, tandis que sa mère fut responsable de son incoercible aversion pour la psychanalyse, qui par la suite se révélerait cruciale dans ses relations avec les femmes, puisque le destin voudrait que toutes les femmes de sa vie, à commencer justement par sa mère et sa sœur Irene, pour continuer avec ses copines, fiancées, collègues, filles, toutes sans exception, se soumettraient à des formes disparates de thérapie analytique, le portant à expérimenter en personne, comme fils, frère, copain, fiancé, collègue, mari et père, le bien-fondé d’une de ses intuitions de toujours, à savoir que la « psychanalyse passive », comme il l’appelait, causait des ravages.
Por otro lado, el orden obsesivo en el que su padre tenía todas sus cosas —cierto es que sin exigir que los demás lo guardaran también, pero no por ello era esta obsesión menos absoluta, intimidatoria y hasta violenta— hizo de Marco una persona desdeñosamente descuidada, mientras que debía a su madre la insuperable aversión al psicoanálisis, el cual, andando el tiempo, había de revelarse fundamental en su relación con las mujeres, pues quiso el destino que todas las de su vida, empezando por su madre y su hermana Irene y siguiendo por sus amigas, novias, colegas, esposas, hijas, todas, pero todas, se rigieran por diversos tipos de terapia psicoanalítica, confirmándolo, en su calidad de hijo, hermano, amigo, novio, colega, marido y padre, en una antigua intuición: que el «psicoanálisis pasivo», como él lo llamaba, era muy perjudicial.
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