Traduction de "fermeture en" à espagnol
Exemples de traduction
Fermeture de la soute.
Cerrando compuertas.
Tu es au courant pour la fermeture de Pine Heights ?
Sabes que están cerrando Pino Heights —
— Et ils sont corrects ? demanda Rydell en bouclant la fermeture Éclair de son sac.
—Rydell estaba cerrando la cremallera de la maleta.
reprit Marina en fermant la fermeture éclair de son bagage.
-dijo Marina cerrando la cremallera de su maleta-.
La femme de ménage m’y introduira à l’heure de la fermeture.
La mujer de la limpieza me dejará esconderme allí cuando estén cerrando.
Fermeture de toutes les portes de sécurité. — Capitaine.
Cerrando puertas presurizadas de emergencia del pasillo axial. –Capitán.
— Pas de quoi, dit-elle en remontant la fermeture Éclair de son sac d’un seul coup.
—No hay de qué —respondió ella, cerrando la cremallera de su bolsa de viaje de un golpe.
— Exactement ce qu’il me faut, dit-elle en remontant la fermeture à glissière du blouson de Skinner.
—Ese es el que necesito —dijo Chevette, cerrando la cremallera de la cazadora de Skinner.
« Où va-t-on ? » demanda Maggie en actionnant la fermeture à glissière de son blouson.
—¿Por dónde vamos? —preguntó Maggie, cerrando la cremallera de su chaqueta.
Taylor a fini par ressortir de son dressing en fermant la fermeture Éclair de mon sac.
Cuando Taylor salió por fin del armario, estaba cerrando la cremallera de mi bolsa.
Il remonta la fermeture de la veste de Morgan pour la protéger du vent qui soufflait plus fort. « Merci, dit-elle.
Acercándose a ella, le subió la cremallera de la cazadora para protegerla del viento que se estaba levantando. —Gracias —dijo Morgan—.
Tu me le montreras demain, tu vas vraiment t’enrhumer, déshabille-toi vite, j’éteins comme ça on verra mieux le feu, oh oui Marcelo, tu as vu ces braises, tous ces yeux de chat, regarde les étincelles, on est bien dans l’obscurité, c’est dommage de dormir et lui, posant sa veste sur le dos d’un fauteuil et s’approchant de l’oursonne pelotonnée contre la cheminée, enlevant ses souliers près d’elle, se baissant pour s’asseoir près du feu, voyant les lueurs et les ombres glisser sur ses cheveux dénoués, l’aidant à déboutonner son chemisier, cherchant la fermeture du soutien-gorge, sa bouche déjà contre l’épaule nue, ses mains partant en chasse parmi les étincelles, oursonne bécasse, petite fille, et à un moment tout nus debout devant le feu et s’embrassant, blanc et froid le grand lit et soudain plus rien, un feu total courant sur la peau, la bouche de Lina sur ses cheveux, sur sa poitrine, les mains dans son dos, les corps se laissant mener et connaître et à peine un gémissement, une respiration essoufflée et devoir lui dire car ça oui il le fallait, Lina, ce n’est pas par reconnaissance que tu le fais, n’est-ce pas ? et les mains perdues dans son dos montant comme des fouets à son visage, à son cou, serrant furieuses, inoffensives, si douces et furieuses, petites et rageusement accrochées, presque un sanglot, une plainte de protestation, une rage aussi dans la voix, comment peux-tu, comment peux-tu, Marcelo, bon, c’est vrai, oui, d’accord, là c’est fini, pardonne-moi mon amour, pardonne-moi, il me fallait te le dire, pardonne-moi douce pardonne-moi, les bouches, l’autre feu, les caresses aux bords roses, la bulle qui tremble entre les lèvres, phases de la connaissance, silences où tout est peau et lent glissement de cheveux, rafales de paupières, refus et demande, bouteille d’eau minérale où l’on boit au goulot, qui va passant pour une même soif d’une bouche à l’autre et qui finit entre les doigts qui tâtonnent sur la table de nuit, qui allument, il y a ce geste pour couvrir l’abat-jour avec un slip, ce qui tombe sous la main, pour dorer l’air avant de regarder Lina sur le dos, l’oursonne de côté, la petite ourse à plat ventre, la peau légère de Lina qui lui demande une cigarette, qui s’assied contre les oreillers, t’es osseux et tout poilu, Shepp, attends que je te couvre un peu si je trouve la couverture, là par terre, au pied du lit, on dirait que le bord a un peu roussi, on s’en est pas du tout aperçu, Shepp.
Mañana me lo mostrás, te estás resfriando de veras, desvestite rápido, mejor apago así vemos el fuego, oh sí Marcelo, qué brasas, todos los gatos juntos, mira las chispas, se está bien en la oscuridad, da pena dormir, y él dejando el saco en el respaldo de un sillón, acercándose a la osezna acurrucada contra la chimenea, sacándose los zapatos junto a ella, agachándose para sentarse frente al fuego, viéndole correr la lumbre y las sombras por el pelo suelto, ayudándola a soltarse la blusa, buscándole el cierre del sostén, su boca ya contra el hombro desnudo, las manos yendo de caza entre las chispas, mocosa chiquita, osita boba, en algún momento ya desnudos de pie frente al fuego y besándose, fría la cama y blanca y de golpe ya nada, un fuego total corriendo por la piel, la boca de Lina en su pelo, en su pecho, las manos por la espalda, los cuerpos dejándose llevar y conocer y un quejido apenas, una respiración anhelosa y tener que decirle porque eso sí tenía que decírselo, antes del fuego y del sueño tenía que decírselo, Lina, no es por agradecimiento que lo haces, ¿verdad?, y las manos perdidas en su espalda subiendo como látigos a su cara, a su garganta, apretándolo furiosas, inofensivas, dulcísimas y furiosas, chiquitas y rabiosamente hincadas, casi un sollozo, un quejido de protesta y negación, una rabia también en la voz, cómo puedes, cómo puedes Marcelo, y ya así, entonces sí, todo bien así, perdoname mi amor perdoname tenía que decírtelo perdoname dulce perdoname, las bocas, el otro fuego, las caricias de rosados bordes, la burbuja que tiembla entre los labios, fases del conocimiento, silencios en que todo es piel o lento correr de pelo, ráfaga de párpado, negación y demanda, botella de agua mineral que se bebe del gollete, que va pasando por una misma sed de una boca a otra, terminando en los dedos que tantean en la mesa de luz, que encienden, hay ese gesto de cubrir la pantalla con un slip, con cualquier cosa, de dorar el aire para empezar a mirar a Lina de espaldas, a la osezna de lado, a la osita boca abajo, la piel liviana de Lina que le pide un cigarrillo, que se sienta contra las almohadas, eres huesudo y peludísimo, Shepp, espera que te tape un poco si encuentro la frazada, mírala ahí a los pies, me parece que se le chamuscaron los bordes, Shepp.
Fermeture de la porte.
Se cierra la puerta.
— L’heure de fermeture.
—La hora de cierre.
J’attendrai la fermeture.
Esperaré a que cierre.
C’était l’heure de la fermeture.
Era la hora de cierre.
— La fermeture de cette ligne.
—El cierre de la línea.
Je t’attendrai jusqu’à la fermeture.
Esperaré hasta que cierre el Círculo.
L’écoutille n’avait plus de fermeture.
La escotilla no tenía cierre.
C’est à propos de la fermeture de Village.
Es sobre el cierre de Pueblo.
Cela sentait la fermeture.
Aquello sonaba ya a la hora del cierre.
LA FERMETURE DES PORTES DE LA MORT
EL CIERRE DE LA PUERTA DE LA MUERTE
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