Traduction de "redondilla" à française
Exemples de traduction
Estaba escrito torpemente, con pretensiones de letra redondilla.
C’était écrit gauchement, avec des prétentions à la ronde.
—Señoritas, se les pide que escriban una línea en cursiva gruesa, una en cursiva media, una en cursiva fina, una en redondilla gruesa, una en redondilla media, y una en redondilla fina, una en bastardilla gruesa, una en media y una en fina.
– Vous êtes priées, Mesdemoiselles, d’exécuter une ligne de grosse cursive, une de moyenne cursive, une de fine cursive, une de grosse ronde, un de moyenne ronde, une de ronde fine, une de grosse bâtarde, un de moyenne et une de fine.
Ahora me lo copiáis todo, primero en redondilla y luego en bastardilla.
Maintenant, recopiez-moi ça en ronde d’abord et en bâtarde après. »
Me encantan los títulos bien escritos, con letra redondilla;
J’adore ça, les beaux titres, bien moulés, à la ronde : on ferait ça pour le plaisir.
cogió la pluma y empezó a escribir nuestros nombres en el registro con letra redondilla.
il prit sa plume et se mit à écrire nos noms dans son livre en belles lettres rondes.
Mathilde lo abrió, leyó el título escrito en redondilla: «Investigaciones sobre el Número Áureo».
Mathilde l’ouvrit, lut le titre écrit en ronde : Recherches sur le nombre d’or.
—Marie Belhomme, va a copiarme usted toda la conjugación del verbo reír en letra redondilla.
– Marie Belhomme, vous me copiez le verbe rire, en ronde moyenne.
El tomo estaba bastante manoseado, con los márgenes llenos de palabras como “ceugma” escritas en una redondilla infantil.
Il avait abondamment servi, et des termes tels que « zeugma » emplissaient les marges d’une écriture ronde, enfantine.
Su escribano, sentado al extremo de la mesa, tenía los dientes picados y hacía ejercicios de redondilla en el secante.
Son greffier, assis au bout de la table, avait des dents gâtées et faisait des exercices de ronde sur son buvard.
En el diploma, enmarcado en madera negra con filetes de oro, aparecía en letra redondilla el nombre de Lognon y su título.
Le diplôme, encadré de bois noir à filets d’or, portait en ronde le nom de Lognon et son titre.
y flanqueada a la derecha, siempre según la misma perspectiva, por otra que perpetúa la memoria de Bernard de Montfauçon, abad de Saint-Germain-des-Prés, cuyo nombre de consonancias feudales y guerreras nos recuerda que los monjes de esta abadía tenían plenos derechos de justicia, de inspección y de supervisión del comercio en todas las tierras que se han convertido en los distritos 6.º y 7.º de París, así como a lo largo del Sena, desde el Petit-Pont hasta el puente de Saint-Cloud, derecho que daba a los citados monjes la posibilidad de tener bailío, preboste, gentes de armas, tribunal y cárcel —habiendo conocido ésta una cierta celebridad cuando ya no era cárcel eclesiástica, el 2 de setiembre de 1792, por ejemplo, y no habiendo sido destruida hasta 1857, al procederse a la apertura del boulevard— y de poseer, en consecuencia, un patíbulo que el nombre de Montfauçon evoca ciertamente en todas las memorias y que se encontraba en el emplazamiento de la actual encrucijada del boulevard Saint-Germain con las calles de Buci, Du Four y la de Montfauçon, precisamente, patíbulo de cuyas prerrogativas los abades de Saint-Germain parecían sentirse celosos, e incluso ferozmente, como lo indica un episodio del reinado de San Luis (y aquí, a la evocación de este santo rey, no se puede por menos de recordar una redondilla anónima, y, sin embargo, hispánica, que habla, de forma incongruente pero reveladora, de una histórica animosidad nacional: San Luis rey de Francia es / el que con Dios pudo tanto / que para que fuese santo / le perdonó el ser francés), episodio relatado por las mejores crónicas de la época y que se remonta a mayo de 1256, cuando dos monederos falsos fueron ahorcados en dicho patíbulo por la justicia de los monjes, pero la del rey, la justicia, se entiende, creyéndose lesionada en sus privilegios, hizo descolgar los dos cadáveres para volverlos a colgar en su propia jurisdicción, viendo lo cual el abad de Saint-Germain protestó enérgicamente, y el Parlamento, reunido en Melun por San Luis, tomó cartas en el asunto y dio la razón a los religiosos: en consecuencia, los dos ahorcados fueron de nuevo descolgados y vueltos a colgar en el patíbulo en que habían perecido quince meses antes;
et flanquée, à droite, toujours selon la même perspective, la dalle funéraire de Descartes, par une autre qui perpétue la mémoire de Bernard de Montfaucon, abbé de Saint-Germain-des-Prés, dont le nom aux consonances féodales et guerrières nous rappelle que les moines de cette abbaye avaient plein droit de justice, de voirie et de surveillance du commerce sur toutes les terres qui sont devenues les 6e et 7e arrondissements de Paris, ainsi que sur la Seine, du Petit-Pont jusqu’au pont de Saint-Cloud, droit qui leur donnait, auxdits moines, la possibilité de posséder bailli, prévôt, gens d’armes, tribunal et prison – cette dernière ayant connu une certaine célébrité, alors qu’elle n’était plus prison ecclésiastique, au moment du 2 septembre 1792, par exemple, et n’ayant été détruite qu’en 1857, lors du percement du boulevard – et de posséder, par voie de conséquence, un gibet que le nom de Montfaucon évoque certainement dans toutes les mémoires, et qui se trouvait à l’emplacement de l’actuel carrefour où le boulevard Saint-Germain croise les rues de Buci, du Four et celle de Montfaucon, précisément, gibet aux prérogatives duquel les abbés de Saint-Germain semblaient tenir jalouse- et même farouchement, comme l’indique un épisode datant du règne de Saint Louis (et ici, à l’évocation de ce saint roi, on ne peut s’empêcher de rappeler un petit quatrain anonyme, et néanmoins hispanique, qui dit de façon fort incongrue, mais révélatrice d’une historique animosité nationale : San Luis rey de Francia es – el que con Dios pudo tanto – que para que fuese santo – le perdonó el ser francés, dont voici la traduction à l’emporte-pièce : « Ce Louis, roi de France, c’est lui – qui fut par Dieu tant aimé – que pour en faire un Saint Louis – lui pardonna d’être français ! »), épisode rapporté par les meilleures chroniques du temps et datant de mai 1256, lorsque deux faux-monnayeurs furent par la justice des moines pendus à ce gibet, mais la justice du roi se croyant lésée dans ses privilèges fit dépendre les deux cadavres pour les rependre dans son propre ressort, ce que voyant l’abbé de Saint-Germain protesta énergiquement, et le Parlement, réuni à Melun par Saint Louis, fut saisi de l’affaire et donna raison aux religieux : les deux pendus furent donc à nouveau dépendus et rependus au gibet où ils avaient péri, quinze mois auparavant ;
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