Traduction de "protegieron" à française
Exemples de traduction
—A nosotras nos protegieron demasiado —dijo Kainene. —¿Papá y mamá?
 Ils nous protégeaient trop, dit Kainene. – Papa et maman ?
Las runas lo protegieron y oyó resoplar de frustración a su adversario.
Les runes le protégeaient, et il entendit la créature gronder de déception.
Lo protegieron de usted para poder seguir comprando lo que él vendía.
Et tout le temps que tu l’as cherché, eux le protégeaient pour pouvoir continuer à lui acheter sa marchandise.
Aquellos hombres cuidadosos, por su preparación y por propio instinto, protegieron a su ministro.
Par métier ou par intuition, ces hommes protégeaient prudemment leur ministre.
Se refugiaron bajo un viejo olmo cuyas ramas los protegieron hasta cierto punto de la lluvia.
Ils se réfugièrent sous les sapins dont les branches les protégeaient un peu de la pluie.
Con el paso del tiempo, cuando los campos se ampliaron, se convirtieron en los instructores, los maestros, y protegieron con todas sus fuerzas a los niños.
Avec le temps, lorsque les camps s’agrandirent, ils devinrent moniteurs ou instituteurs, et ils protégeaient les enfants de toutes leurs forces.
Posiblemente los dioses me protegieron en medio de aquella horrible confusión en que griegos y bárbaros se dedicaban con desenfreno a la rapiña y combatían entre si.
Assurément, les dieux me protégeaient tandis que je traversais sans encombre l’horreur confuse des corps à corps. Grecs et barbares se disputaient encore le butin.
Los relés automáticos del sistema de sonar protegieron sus oídos de la fuerza total de la explosión pero lo que se transmitió fue suficiente como para hacerle sentir que le habían martillado la cabeza hasta dejarla plana.
Les relais automatiques, à l’intérieur du système sonar, protégeaient ses oreilles de la pleine force de l’explosion, mais ce qu’il en avait perçu suffisait à lui donner l’impression d’avoir reçu un coup de marteau en plein sur le crâne.
Las madres me recomendaron con unas teresianas de París, empecé a pasearme por los bulevares, recuperé el gusto femenino, sentí envidia por la ropa elegante, tenía treinta y cuatro años, quería verme guapa y bien vestida, me hice de amigos en el cuerpo diplomático, obtuve un puesto en la Casa de México de la Ciudad Universitaria, conocí a un mexicano rico cuyo hijo estudiaba allí, nos liamos, me trajo a México, era celoso, ahora vivía encerrada en una jaula tropical de Acapulco llena de loros, me regaló joyas, sentí que he vivido en jaulas toda mi vida, jaulas de aldea, de convento y de oro, pero siempre prisionera, encarcelada sobre todo por mí misma, para no delatar a mi padre primero, para no robarle a mi madre su rencor satisfecho en seguida, ni la santidad que me adjudicó creyéndome muerta para sentirse ella misma santa, me acostumbré demasiado a vivir en secreto, a ser otra, a no romper el silencio que me imponían mis padres, la guerra, España, los aldeanos que me protegieron, las monjas que me dieron refugio, el mexicano que me trajo a América.
Les mères m’avaient munie d’une recommandation auprès des carmélites de Paris ; je commençai à me promener sur les boulevards, je retrouvai des goûts féminins, les beaux vêtements me faisaient envie, j’avais trente-quatre ans, je voulais me voir belle et bien habillée, je me fis des amis dans le corps diplomatique, j’obtins un poste à la Maison du Mexique de la Cité universitaire et j’y rencontrai le père d’un des étudiants, un riche Mexicain avec lequel je nouai une liaison, il m’emmena au Mexique, il était jaloux, je vivais à Acapulco, enfermée dans une cage tropicale pleine de perroquets, il m’offrit des bijoux, j’avais le sentiment d’avoir vécu toute ma vie enfermée dans des cages, cage villageoise, cage conventuelle ou cage dorée, mais toujours prisonnière, enfermée surtout de par ma propre volonté, d’abord pour ne pas dénoncer mon père, ensuite pour ne pas voler à ma mère ni sa rancœur satisfaite ni la sainteté qu’elle m’attribuait en me croyant morte afin de se sanctifier elle-même, je m’étais trop habituée à vivre en cachette, à être une autre, à ne pas briser le silence que m’imposaient mes parents, la guerre, l’Espagne, les paysans qui me protégeaient, les nonnes qui m’avaient donné refuge, le Mexicain qui m’avait emmenée en Amérique.
Se protegieron con modificaciones genéticas.
Vous vous êtes tous modifiés génétiquement pour vous en protéger, non ?
—Esa noche los dioses me protegieron —afirmó él—.
— Les dieux m’ont protégé ce jour-là.
La Stasi sospechaba, pero mis padres me protegieron.
La Stasi avait des soupçons, mais mes parents m’ont protégé.
¿Y sus dos primos, que le ayudaron y le protegieron?
Et ses deux cousins qui vous ont aidé et protégé ?
Sin duda por esa razón la intensidad de sus campos los protegieron.
C’est sûrement pour cela que leurs champs les ont protégés.
—¿Por qué no la protegieron de todo el mundo? —preguntó Kendra.
-     Pourquoi ne pas la protéger de tout le monde ? demanda Kendra.
–Hasta cierto punto, los trabajos odontológicos la protegieron.
— Elle était en partie protégée par ses dents plombées.
Por ello, otros oficiales lo protegieron de las investigaciones de la Gestapo.
Du coup, d’autres officiers l’ont protégé des investigations de la Gestapo.
No podía olvidar—. Apoyaron a Enrique, le protegieron.
Il ne pouvait oublier. — Ils ont fait éclore Enrique, ils l'ont protégé.
Los dioses protegieron a la gema y, hasta el momento, le ha esquivado.
Les dieux ont protégé la Pierre, et il lui a échappé jusqu’à présent.
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