Traduction de "pilosidad" à française
Pilosidad
Phrases de contexte similaires
Exemples de traduction
- A pesar de mi pilosidad, no ronco.
— Malgré ma pilosité, je ne ronfle pas.
Un cutis bastante mate, liso y sin la mínima pilosidad.
Une peau assez mate, lisse et dénuée de la moindre pilosité.
En resumen, prefiero las rubias y las negras: al menos el color de la piel armoniza con su pilosidad.
Bref, je préfère les blondes et les négresses : du moins leur carnation et leur pilosité sont-elles accordées !
Lida, que acababa de cumplir los trece, ilustraba la fase contigua a la última de la pilosidad horstel.
Lida, treize ans juste, illustrait le pénultième stade de la pilosité horstel.
De modo que no era solo una imagen, tenía cuerpo también, altura, anchura, grosor, densidad, perfume, pilosidad… una tercera dimensión… edad, tal vez… tal vez existencia…
Donc, ce n'était pas seulement une image, il avait un corps aussi, hauteur, largeur, épaisseur, densité, parfum, pilosité... une troisième dimension... un âge, peut-être... peut-être une existence...
Quizás las piernas sean un pelín demasiado cortas en relación con el conjunto; si eso lo sumáramos a su tendencia a caminar con los hombros caídos y su pilosidad general, a ratos podría rozar lo simiesco.
Des jambes peut-être un peu courtes proportionnellement. Associées à cette tendance à courber les épaules et à sa pilosité, elles pouvaient occasionnellement évoquer quelque chose de simiesque.
Soy de estatura media, ni gordo ni delgado, no tengo ninguna desagradable pilosidad facial, suelo ir limpio y aseado, visto tejanos y camisetas y una chupa de cuero más o menos todo el año, salvo en verano, que es cuando dejo la chupa en casa.
Je suis de taille moyenne, pas mince, pas gros, sans pilosité aberrante sur le visage, je suis propre, je porte un jean, un T-shirt et une veste de cuir plus ou moins tout le temps sauf l’été, où j’abandonne la veste de cuir.
Al hombre muy moreno de la cabina de vidrio, pilosidad tupida bajo el mono abierto hasta el estómago, manos completamente negras enjugadas en un trapo más negro, Mercedes hizo saber que quería comprar un coche de aquellos mientras en el transistor puesto sobre el escritorio proseguía el relato de nuestro corresponsal permanente en Marsella: los primeros auxilios empezaban a organizarse en una situación, Jean-Luc, que es aún, se lo repito, extremadamente confusa.
À l’homme très brun dans la cabine de verre, pilosité serrée sous le bleu ouvert jusqu’au plexus, mains toutes noires essuyées dans une étoffe plus noire, Mercedes fit savoir qu’elle désirait acheter une de ces voitures pendant que dans le transistor posé sur le bureau se poursuivait le récit de notre correspondant permanent sur place : les premiers secours commençaient de s’organiser dans une situation, Jean-Luc, qui est je vous le rappelle encore extrêmement confuse.
Las cascadas verbales de Carmen Cortina se multiplicaban en cataratas parecidas desde las bocas de todos sus invitados menos el cadavérico pintor de blanco y negro («he eliminado de mis cuadros todo lo superfluo»), que fue quien propició la frase célebre de Orlando, «Hay mexicanos que sólo se ven bien en su cajón de muerto», palabras musitadas un segundo antes de que se presentara el secretario de Educación Publica del actual gobierno, dando ocasión a la anfitriona y a su protegido el pintor tapatío para develar el cuadro, cosa que hicieron al alimón, culminando la excitación y el escándalo de la velada cuando lo que todos vieron fue la vera imagen de la actriz de Amapola, ya no estés tan sola, en toda su espléndida desnudez, recostada en un sofá azul que hacía resaltar la blancura de sus carnes y la ausencia de sus pilosidades, recatadas éstas, alardeantes aquéllas, pero unidas ambas por el arte del pintor en una sublime expresión de totalidad espiritual, como si la desnudez fuese el hábito de esta monja dispuesta a la flagelación como forma superior de la fornicación, pronta al sacrificio de su placer en aras de algo más que el pudor o, como lo resumió Orlando, mira Laura, es como el título de una novela del siglo pasado, Monja, Casada, Virgen y Mártir.
Les cascades verbales de Carmen Cortina se multipliaient pour devenir des cataractes dans la bouche de tous ses invités, à l’exception du peintre cadavérique adepte du noir et blanc (« j’ai supprimé de mes tableaux tout élément superflu »), qui avait inspiré la célèbre phrase d’Orlando, « certains Mexicains ne se trouvent bien qu’à l’intérieur de leur cercueil », paroles prononcées une seconde avant l’arrivée du secrétaire d’État à l’Éducation publique du gouvernement en exercice, ce qui donna l’occasion à l’amphitryonne et au peintre de Guadalajara de dévoiler le tableau d’un geste coordonné, marquant ainsi le point culminant de la soirée et le comble du scandale, lorsqu’on vit apparaître la figure de l’actrice d’Amapola, ne reste pas aussi seule, dans toute sa superbe nudité, allongée sur un canapé bleu qui rehaussait la blancheur de ses chairs et l’absence de pilosités, ces dernières dissimulées, les premières glorifiées, les unes et les autres unies par le peintre dans une sublime expression de totalité spirituelle, comme si la nudité était l’habit de cette nonne disposée à la flagellation comme forme supérieure de la fornication, prête au sacrifice du plaisir sur l’autel de ce qui serait au-delà de la pudeur, ou, comme Orlando l’exprima, regarde, Laura, on dirait le titre d’un roman du siècle dernier, Nonne, mariée, vierge et martyre.
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