Traduction de "narre" à française
Exemples de traduction
Heráclito no narra.
Héraclite ne raconte pas.
Ahora ya narra algo.
Il raconte quelque chose, désormais.
a quien narré los primeros cuentos.
à qui j’ai raconté mes premières histoires.
Lo que te narro sucedió realmente.
Je te raconte ce qui s’est réellement passé.
Recuerden que esto que les narro es una historia de amor.
Souvenez-vous que c’est une histoire d’amour que je vous raconte, pour l’instant.
La voz narra una historia velada de la Luna.
Qui raconte des choses mystérieuses sur la lune.
Sin embargo, considero importante que se narre esta historia.
Cependant, il est vital que cette tragédie soit racontée.
Yo narro solamente lo que pasó, sin inventar y sin falsedad.
Je ne raconte que ce qui s’est passé, sans rien rajouter et sans mentir.
Cuando las narra, la cara de mi madre parece de goma.
Lorsqu’elle les raconte, ma mère prend un visage de caoutchouc.
Pero yo soy el narrador y por lo tanto narro.
Mais je suis le narrateur ; alors je narre.
El narrador no puede hacerlo todo: narra, que ya es algo.
Il ne peut pas tout faire, le narrateur : déjà, il narre.
¿Será también por la voz que narra, tan atrayente, tan cercana?
Serait-ce aussi la voix de la narratrice, si engageante, d’une compagnie si agréable ?
Esa voz citando al poeta será la que narre el resto de las pesadillas que tenga en mi vida.
Cette voix, pour citer le poète, sera le narrateur des cauchemars futurs de ma vie.
—A mí me parece que el tío que narra la historia es un snob —intervino Adrienne Hewlett.
— Je crois que le narrateur de l’histoire est un snob, a dit Adrienne Hewlett.
Desde el párrafo siguiente hasta el final del libro, quien narra la historia es ya Orhan Bey.
Du paragraphe suivant jusqu’à la fin du livre, le narrateur sera donc Orhan Bey.
No, y otra vez no. Los acontecimientos que narra esta historia llegan a ser tales únicamente a través del narrador.
Deux fois non. Les événements dont parle l’histoire ici ne deviennent événements que par le narrateur.
Los otros dos músicos han oído también esta historia y ninguno cree en ella. Balzac, que narra este cuento en 1836, no piensa en acompañar a Facino Cane a Venecia y pagarle el viaje.
Les autres musiciens ont déjà entendu l’histoire sans y croire et Balzac, lui aussi, le narrateur de la nouvelle de 1836, ne songe pas à suivre Facino Cane à Venise et à lui payer le voyage.
2b(1a). Narr. [no J.] descubre aparición repent. de 1 brillo rojo & demoniaco en el iris hipertrofiado del ojo izquierdo [¿«malo»?] del A. A., que puede ser 1 truco de la luz o un brillo verdaderam. demoniaco [= cambio de PdV/ intrusión del narr.]. 2c.
2b (1a) Narrateur (≠ J.) note apparition soudaine de lueur rouge & diabolique dans l’iris hypertrophié de l’œil gauche [“mauvais œil” ?] de E.-A., illusion d’optique ou véritable éclat diabolique [= variation de PdV/intrusion du Narr.] ? 2c.
Intrusión del narr., expo. sobre Jeni Roberts [mismo tono desapasionado & pedante que ¶¶ 3 y 4 de Parte 3 de M.
Intrusion du Narr., développement sur Jeni Roberts [même ton neutre & pédant que ¶s 3, 4 de “A.W. (I)”
Narr.: lo que los une ahora es esa complicidad profunda e implícita que en el mundo adulto es el pacto/el amor → «Ahora estaban verdaderamente casados, fundidos en uno solo,[*] eran una sola carne, [unión que] propiciaba a Jeni O.
Narr. : ce qui les lie à présent est cette complicité profonde et tacite qui tient lieu de pacte/d’amour au sein de tout mariage adulte → “Ils se trouvaient aujourd’hui vraiment mariés, indivis(38), unis dans une seule chair, [ce qui] permettait à Jeni O.
Narr!-gritó la mujer, volviéndose y subiendo los escalones-. Schweinehund!-rugió, mientras abría la puerta, entraba y cerraba dando un portazo. El joven miró a su auditorio de las ventanas y se encogió de hombros.
— Narr ! hurla la femme en tournant les talons pour gravir les marches de son perron. Schweinehund ! rugit-elle avant d’ouvrir la porte pour disparaître chez elle, la claquant dans son dos. Le jeune homme avait levé les yeux vers son public, aux fenêtres, et haussé les épaules.
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vibratoire, puis un “Pink Pistollero® Percuteur avec Crosse Antidérapante” et enfin un “Vibromasseur Jardin Écarlate – 30 cm MX-1000® avec Succion Clitoridienne et Stimulateur Utérin Électrique » [“179,99 $ TTC”]. Narr.
4a(II(1a)). Intr. narr., expo.: fantasía masturbatoria más frecuente/placentera de J. en su 6.º año de matrimonio = una figura masculina sin rostro hipertrofiada que ama a J. pero no puede tenerla, rechaza a todas las demás mujeres del mundo y en cambio elige masturb. cada día imaginando que hace el amor c. 4a(III).
4a (II (1a)) Intrusion du Narr., développement : fiction masturbatoire la plus fréquente/efficace de J.O.R. dans 6e année de mariage = figure virile surdimensionnée, anonyme, amoureux d’elle mais ne peut pas l’avoir, éconduit toutes les autres femmes sur terre & préfère se mstrbr quotidiennemt en imaginant faire l’amour avec elle.
Vertí el agua en una jarra que tenía encima un molde de plástico marrón, con un filtro de papel con tres cucharadas de café dentro y, mientras esperaba a que bajara el agua, miré por la ventana la calle Finnmark y los árboles casi desnudos de Ola Narr, miré el marco de la ventana que había pintado de un rojo claro y luminoso y que sabía que tendría que volver a pintar de blanco, con numerosas capas de pintura, si alguna vez me mudaba de allí, cosa que suponía que acabaría haciendo.
Après avoir mis trois cuillerées de café dans un filtre en papier, j’ai versé l’eau dans un récipient muni d’un porte-filtre en plastique marron. En attendant que l’eau passe, je me suis dirigé vers la fenêtre. J’ai regardé Finnmarkgata et les arbres presque dénudés du parc d’Ola Narr, j’ai regardé le rebord que j’avais peint dans un rouge lumineux et qu’il me faudrait repeindre avec plusieurs couches de blanc quand je déménagerais.
Luego estalló el tumulto y el vocerío, mientras relampagueaban las espadas; separaron violentamente al joven de los brazos de ella y lo hirieron, pero con un grito la muchacha arrebató la daga de su cinto y la clavó en su níveo seno, hogar del corazón, y cayó al suelo, mientras con gritos, sollozos y toda clase de lamentaciones, la procesión desapareció del escenario de mi visión: una vez más el pasado cerró su libro. Ruego a los lectores que perdonen la intrusión de un sueño en una historia que narra hechos. Pero todo era tan familiar para mí… Lo vi todo tan claro en un instante como si hubiera sido real.
Ensuite, tumulte, brouhaha indescriptible, des éclairs fulminent sur les glaives sortis du fourreau ; l’adolescent est arraché des bras de sa bien-aimée, et poignardé sans pitié sous les yeux de la jeune fille qui, saisissant la dague qu’il porte à sa ceinture, l’enfonce dans son propre sein jusqu’au cœur et va s’abattre, mourante, sur le corps de son amant… Alors sur des plaintes, des gémissements et tous les signes du plus profond désespoir, la vision s’effaça et le Passé referma de nouveau son Livre. Que le lecteur me pardonne cette digression d’un rêve intercalé dans la narration de réalités : tel il s’offrit à moi et les péripéties s’en déroulèrent devant mes yeux aussi nettement que si j’en eusse été le spectateur éveillé.
Y allí nos quedamos mi madre y yo, cada uno a su lado de la mesa de aquella cocina con el marco de la ventana rojo, y nos comimos los pasteles de Napoleón con vistas a la calle Finnmark y a Ola Narr y a nada más, a medio camino entre el museo Munch y la plaza de Cari Berner, y la habitación se había quedado en silencio, no decíamos nada y tampoco nos mirábamos, y a mí me dio por pensar en todas aquellas películas en blanco y negro que habíamos visto juntos en televisión, o en el cine Sinsen, en el Grorud, en el Ringen —que estaba a la vuelta de la esquina de mi apartamento—, y pensé en aquella tarde diez años atrás, cuando fuimos al cine Colosseum, en Majorstua en Oslo, solo ella y yo, a ver la película Grand Prix, protagonizada por Yves Montand y James Garner que interpretaban a dos pilotos de carreras.
Et nous étions là, elle et moi, face à face, en train de manger nos mille-feuilles dans la cuisine rouge avec vue sur Finnmarkgata et Ola Narr et rien d’autre, à mi-chemin entre le musée Munch et Carl Berners plass. Et le silence régnait, nous nous taisions, nous nous évitions du regard, et je me suis mis à penser aux films que nous avions vus ensemble, à la télévision ou au cinéma de Sinsen, au cinéma de Grorud ou au Ringen, à côté de chez moi. J’ai pensé à une soirée dix ans plus tôt ; nous étions allés au Colosseum, à Majorstua, elle et moi, voir Grand Prix, avec Yves Montand et James Garner dans les rôles de deux pilotes de Formule 1.
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