Traduction de "miren" à française
Exemples de traduction
Miren lo que tengan que mirar.
« Regardez ce que vous voulez voir. »
Miren quién nos visita.
Regardez qui vient nous voir !
¡A que me miren el oído, ja!
Que j'aille voir pour mon ouïe... ha !
Pero estoy acostumbrada a que me miren sin verme. ¿Por qué será?
Mais, bon, j’ai l’habitude qu’on me regarde sans me voir. Pourquoi les gens ne me voient-ils pas ?
—Será mejor que vengan y miren —dijo.
- Vous feriez bien de venir voir, leur dit-elle.
Quiere ver cómo son. Que se miren.
Il veut les voir. Il veut croiser son regard.
Desde luego, tengo que ir a que me miren el oído.
Il faut vraiment que j'aille voir pour mon ouïe.
Allí, ya no les digo nada en absoluto, les dejo que miren.
Là, je ne leur dis rien du tout, je les laisse voir.
—Esta así, desenfocada, para que los demás la vean, pero para que no la miren demasiado.
– Elle est comme ça, sans mise au point, pour que les autres voient sans trop voir.
—Eso... Miren en Saint-Rémy, a ver si queda alguno.
– Ça… faudrait voir à Saint-Rémy s’il en reste.
¿Te gusta que te miren?
Tu aimes qu’on te regarde ?
Ya estoy acostumbrada a que me miren.
J’ai déjà l’habitude qu’on me regarde.
—¿A ti no te gusta que te miren?
« Toi, Silvia, tu n’aimes pas être regardée ? »
—¡Miren a esta mujer repulsiva!
— Regarde cette ordure !
Lo que más la angustia es que la miren.
Être regardée l’angoisse plus que tout.
Sus ojos están esperando a que los míos lo miren.
Ses yeux attendent que je le regarde.
(Mira al cielo.) Miren.
(Regarde le ciel.) Regardez.
«Déjales que miren», dije.
— Laisse-les regarder, dis-je.
Miren toda esta basura.
Regarde-moi toute cette merde.
– Miren, miren: se está muriendo.
 Regardez, regardez… il est en train de mourir.
«Les digo: “Miren, miren alrededor, miren lo que está sucediendo.
« Je dis : “Regardez, regardez ce qu’il y a autour, regardez ce qui est en train d’arriver.
Miren esta foto… Miren lo guapo que era.
Regardez cette photo… Regardez comme il était beau.
¡Miren a mis beldades y luego miren a sus mujeres!
Regardez mes Belles, puis regardez vos femmes !
¡Miren aquí, todos ustedes, y luego miren ahí!
Regardez ici, vous tous, et regardez là !
—¡Miren, miren! ¿No es sorprendente? ¿No es de una belleza asombrosamente saludable?
— Regardez, regardez ! N’est-il pas d’une beauté surprenante ?
Miren, miren: cuando era chico vivía en la otra cuadra.
Regardez, regardez donc : quand j’étais petit j’habitais ici.
- No, creo que se trataba de un destructor, y… -¡Miren…, miren!
— Non, plutôt un contre-torpilleur à mon avis, et… — Regardez, regardez !
Claro que, al hacerlo, se puede acelerar el crecimiento del cerebro en determinadas zonas. Y también eliminar algunos aspectos del crecimiento natural. Miren a Nilin.
Remarquons toutefois que ce processus accélère peut-être le développement du cerveau dans certains domaines, mais risque par contre d’atrophier des aspects de la croissance normale. Prenez Nilin, là-bas.
Era tal el dolor de mi expresión, tan desgarradores mis gemidos, que la gente caritativa se acumulaba alrededor de la vieja para verme llorar y llenarle las manos de monedas… dicen que nunca me daba mucho de comer esa señora para que no fuera a engordar y estuviera siempre al borde del llanto, hambreado, transparente, así era más conmovedor más comercial mi aspecto… dicen, fíjese Lucy, dicen las malas lenguas que esa vieja se enfermó y ya no tenía salud para salir a callejear pidiendo limosna conmigo en brazos, que a pesar del hambre iba creciendo, ya no era liviano, y como ella ya no salía pero mi fama se había extendido por toda la ciudad me arrendaba a otras viejas que me llevaban en sus brazos hambriento, lagrimoso, para incitar al público a dar limosna, las viejas a las que me arrendaba también me pellizcaban para que llorara, pero a la salida de la misa también me hacían cariño sobre todo cuando los crédulos se arremolinaban alrededor nuestro para dar una limosnita por el amor de Dios, no llore mijito lindo, tan lindo mijito el pobre, miren cómo llora, claro, si tiene mancha al pulmón, pobrecito, mi único nieto, y mi hija en el hospital y el padre qué sé yo dónde andará, ése es un fresco que se hizo el leso y adiós, y yo, ya ven ustedes, una pobre vieja inválida incapaz de trabajar para comprarle un poco de leche, un pedazo de pan que ponerle en la boca para qué esta criatura no llore tanto y cuando no llora es peor porque la expresión de sus ojos… y de vuelta a la población arrastrando las chancletas por la vereda para no pagar la micro, las monedas sonando en su bolsillo pesado escondido entre los pliegues de sus harapos, para devolverme a la vieja que no era mi madre ni mi abuela sino mi dueña, y que después se murió y me dejó en herencia a otra vieja, y esa vieja a otra… hasta que dicen fíjese Melania que lo trajo para acá para la casa la primera de todas las asiladas, una señora muy callada y muy buena dicen que era y se llamaba Peta Ponce, entonces dueña del Mudito que estaba demasiado grande para salir a pedir limosna con él, pero esa señora era muy vieja, y dicen que una tarde salió sola a andar por los pasillos de esta casa que son tan largos y se ponen oscuros desde tan temprano y hay tantos patios y tantos sótanos y tantos corredores, no sé si ha visto la pila de cojines que los rematadores juntaron en el corredor del otro patio, cojines y plumones y almohadas, vaya, Melania, vale la pena verlos, hay cosas buenas, y como le digo, dicen que esta señora un buen día salió a andar por los pasillos y se perdió aquí en la casa y nunca más la volvieron a encontrar, como si la profundidad se la hubiera tragado, la buscaron en los sótanos y en todos los pisos pero nada, no apareció y tampoco aparece en los registros como muerta, así es que no sé dónde estará…
On dit que cette dame ne me donnait jamais beaucoup à manger pour que je ne risque pas de grossir et que je reste toujours au bord des larmes, famélique, transparent, j’avais ainsi un aspect plus émouvant, plus commercial… on dit, figurez-vous, Lucy… les mauvaises langues disent que cette vieille tomba malade et qu’elle n’avait plus la santé pour sortir traîner les rues à demander l’aumône avec moi dans ses bras, car malgré la faim, je grandissais, je n’étais plus si léger, et comme elle ne sortait plus mais que ma renommée avait fait le tour de la ville, elle me loua à d’autres vieilles qui me portaient dans leurs bras, affamé, larmoyant, pour inciter le public à leur faire l’aumône, les vieilles à qui elle me louait me pinçaient aussi pour me faire pleurer mais elles me faisaient aussi des câlins à la sortie de la messe, surtout quand les fidèles se bousculaient autour de nous pour donner leur petite obole pour l’amour de Dieu, ne pleure pas mon petit mignon, si mignon mon petit, le pauvre, voyez comme il pleure, pour sûr, avec une tache au poumon, le pauvre petit, mon seul petit-fils et ma fille à l’hôpital, et le père est-ce que je sais où il court, c’est un cynique qui a fait la bêtise et adieu, et moi, vous voyez bien, pauvre vieille invalide incapable de travailler pour lui acheter un peu de lait, un morceau de pain à lui mettre dans la bouche pour que ce petit ne pleure plus comme ça, et quand il ne pleure pas, c’est pire, l’expression de ses yeux, et en rentrant, elle traînait ses savates sur les trottoirs pour ne pas payer le bus, les pièces tintaient dans la lourde poche que cachaient les plis de ses haillons et elle me rendait à la vieille qui n’était ni ma mère ni ma grand-mère mais ma patronne, qui mourut ensuite et me laissa en héritage à une autre vieille, et cette vieille à une autre… jusqu’à, dit-on, voyez-vous, Melania, la première de toutes les assistées qui l’amena ici à la Maison, une dame très réservée et très bonne qu’on dit que c’était, et qu’elle s’appelait Peta Ponce, c’était la patronne d’alors du Mudito qui était devenu trop grand pour l’accompagner demander l’aumône, mais cette dame était très vieille et on dit qu’un soir elle est partie toute seule faire un tour dans les couloirs de cette Maison qui sont si longs et s’assombrissent de si bonne heure, et il y a tant de cours, de souterrains et de corridors, je ne sais pas si vous avez vu la pile de coussins que les brocanteurs ont faite dans la galerie de l’autre cour, des coussins, des édredons et des oreillers, allez-y Melania, ça vaut la peine d’aller y jeter un coup d’œil, il y a des choses en bon état, et comme je vous dis, on dit que cette dame est partie un beau jour faire un tour dans les galeries et qu’elle s’est perdue dans la Maison et qu’on ne l’a jamais plus retrouvée, comme si elle avait été avalée par les profondeurs, on l’a cherchée dans les caves et à tous les étages, mais sans rien trouver, elle n’a pas reparu et elle ne figure pas non plus sur les registres comme morte, de sorte que je ne sais pas où elle peut bien être…
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