Traduction de "macerar" à française
Phrases de contexte similaires
Exemples de traduction
Vamos a ponerlas a macerar.
Nous allons les mettre à macérer.
—¿A macerar?, ¡joder, qué invento!
– À macérer ? Bon sang, quelle invention !
Puede salir a cuenta dejar macerar el tema.
Il peut être payant de laisser macérer le sujet.
Luego, con golpe de efecto, se va y la deja macerar un rato en los, jugos del resquemor. – Y mientras tanto…
Ensuite, le coup porté, vous vous en irez en la laissant macérer dans le jus du remords. — Et pendant ce temps…
Después de la cena dejé a una Isabella meditabunda macerar sus dudas e inquietudes en la sala de lectura y subí al estudio de la torre.
Après le dîner, je laissai dans la galerie une Isabella méditative macérer dans ses doutes et ses inquiétudes et montai à mon bureau.
En la trastienda, a espaldas del viejo, se distinguían unas grandes tinas de madera llenas de cortezas puestas a macerar.
Au fond de la boutique se trouvaient de grandes cuves de bois pleines d’écorces en train de macérer. Le vieux commerçant s’écarta pour les laisser entrer.
–Lo he hecho macerar en zumo de ciruelas durante dos semanas -explicó el comandante Mike mientras enrollaba el resto del tabaco en espiral.
— Je l’ai fait macérer dans du jus de prunes pendant deux semaines, expliqua le commandant Mike, tout en enroulant la chique comme un escargot.
Hacía mucho tiempo que ya no llovía, la enorme masa de agua se entretenía ahora en macerar a los muertos y empujarlos dulcemente, con su eterno balanceo, hasta la boca de los peces.
Il avait cessé de pleuvoir depuis longtemps, l’énorme masse d’eau s’amusait maintenant à macérer les morts et à les pousser doucement, par leur éternel balancement, vers la bouche des poissons.
A veces, deteniendo la masticación, la mejilla hinchada por el bocado a medio macerar, la espalda apoyada contra el tronco de un árbol, se quedaban un buen rato con la mirada fija en el vacío.
Parfois, s’arrêtant de mâcher, la joue gonflée par la bouchée à demi macérée, le dos appuyé contre le tronc d’un arbre, ils restaient un long moment le regard perdu dans le vague.
De regreso a París, no tuve más remedio que comprobar que el tratamiento a base de Fongylone —que había seguido sin interrupción durante veintiún días, humillado, escondiéndome en el cuarto de baño para, a espaldas de los demás, hacer macerar la lengua en ese pastoso ungüento amarillento que lo manchaba todo y me producía náuseas en ayunas— no había logrado eliminar esos papilomas blancos de mi lengua, que comencé a odiar como instrumento sensual, a pesar de que el doctor Chandi me había explicado que ese hongo no podía de ninguna manera transmitirse por contacto erótico; me prescribió otro producto, el Daktarin, que era blanco, casi grumoso, volvía la boca pegajosa transformándose en una cola de gusto metálico, y tampoco logró, a pesar de otros veintiún días de tratamiento, eliminar ese hongo de mi lengua, órgano que dejé de utilizar eróticamente, limitando así aún más las escasas relaciones físicas que seguía teniendo con dos personas, de las cuales sólo una estaba al corriente de lo que me sucedía.
À mon retour à Paris, force me fut de constater que le traitement au Fongylone, que j’avais suivi sans relâche vingt et un jours durant pour mon humiliation, me cachant dans le cabinet de toilette pour faire macérer ma langue à l’insu des autres dans cette grasse potion jaunâtre qui tachait tout et me donnait à jeun la nausée, n’était pas parvenu à débarrasser de ses papillomes blancs ma langue, que je me mis à haïr comme instrument sensuel, bien que le docteur Chandi m’ait précisé que ce champignon ne pouvait en aucun cas se transmettre par aucun contact érotique, et il me prescrivit un autre produit, du Daktarin, celui-là blanc, presque grumeleux, qui engluait la bouche d’une colle au goût métallique, et ne réussit pas à son tour, malgré vingt et un autres jours de traitement, à dégommer ce champignon de ma langue, à laquelle je renonçai de faire jouer un rôle sensuel, limitant encore les rares relations physiques que je continuais d’entretenir avec deux personnes, dont l’une était prévenue et l’autre pas.
Con minúsculos toques muy sutiles, con sondas de la mirada que debía de pronto frenar o hacer retroceder ante el parpadeo del otro, me interrogaba a propósito de esos grados de conciencia y de inconsciencia, haciendo variar algunas milésimas de milímetro el oscilómetro de mi angustia. Decía: «No, no he dicho que se trate de una señal decisiva, pero le mentiría ocultándole que se trata de un signo estadístico». Si, un cuarto de hora más tarde, le preguntaba con pánico: «Entonces ¿es una señal totalmente decisiva?», él respondía: «No, yo no diría eso, pero se trata de una señal bastante determinante». Me recetó un líquido amarillo grasiento y repugnante llamado Fongylone, en el que debía dejar macerar la lengua mañana y noche durante veinte días; llevé a Roma una decena de frascos que escondí primero en la maleta y luego detrás de otros productos en las estanterías del armario del cuarto de baño y en las repisas de la cocina, donde me escondía por la mañana y por la noche con un sentimiento de humillación y unas terribles ganas de vomitar para ingerir el producto a espaldas de Jules y de Berthe, que me habían acompañado a Roma.
À toutes petites touches très subtiles, par sondes du regard qui devait tout à coup freiner ou reculer devant les cillements de l’autre, il m’interrogeait sur ces degrés de conscience et d’inconscience, faisant varier de quelques millièmes de millimètre l’oscillomètre de mon angoisse. Il disait : « Non, je n’ai pas dit que c’était un signe décisif, mais je vous mentirais en vous cachant que c’est un signe statistique. » Si, un quart d’heure plus tard, je lui demandais avec panique : « Alors c’est un signe tout à fait décisif ? », il répondait : « Non, je ne dirais pas cela, mais c’est toutefois un signe assez déterminant. » Il me prescrivit un gras liquide jaune écœurant, le Fongylone, dans lequel je devais faire macérer la langue soir et matin pendant vingt jours, j’en emportai à Rome une dizaine de flacons que j’avais dissimulés, d’abord dans mon bagage, puis, derrière d’autres produits, sur les rayons de l’armoire de toilette de la salle de bains et sur les étagères de la cuisine, où je me cachais donc matin et soir avec humiliation et au bord de la nausée pour ingérer le produit à l’insu de Jules et Berthe, qui m’avaient rejoint à Rome.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test