Traduction de "frotamos" à française
Phrases de contexte similaires
Exemples de traduction
Pero vamos…, pero vamos… ¡Nos frotamos los ojos!
Mais quoi... mais quoi... nous nous frottons les yeux !
La imagen vacila, vuelve… No frotamos la barbilla. Necesitamos afeitarnos… ¡Qué diablos importa!
L’image pâlit. Revient. Nous nous frottons le menton. Besoin d’un coup de rasoir… Ce sera pour une autre fois !
y es la época de la fiesta del pleno invierno, cuando frotamos con la grasa de la oca la piel de un cerdo entero, relleno de las manzanas de aquel otoño;
et c’est le moment du festin du solstice, où nous frottons de graisse d’oie la peau d’un cochon entier, farci avec les pommes de l’automne ;
Con espanto, nos apresuramos a quitarnos también los zapatos, pues no hay nada tan traidor como un miembro helado, y nos frotamos con nieve aunque dolía muchísimo.
Avec effroi, nous nous hâtons d’ôter à notre tour nos souliers car rien n’est aussi traître qu’un membre gelé, et nous nous frottons avec de la neige même si ça fait terriblement mal.
Metemos por turnos nuestras respectivas tarjetas de crédito en el polvo hasta que ya no queda bastante para que puedan cogerlo las tarjetas y apretamos los dedos y esnifamas o nos frotamos las encías.
À tour de rôle, nous trempons nos cartes dans l’enveloppe puis, quand il n’y a plus assez de poudre, le bout de nos doigts, que nous reniflons, léchons, frottons sur nos gencives.
—Eres bueno y justo, dispensador de dones. Frótame las piernas.
— Tu es bon et juste, ô dispensateur de présents. Frotte mes jambes.
El aire recuperó la calidez, el manto blanco desapareció, y Keeton y yo nos frotamos vigorosamente las manos heladas.
L’air se réchauffa, le vernis de glace disparut, et Keeton et moi nous mîmes à frotter vigoureusement nos mains gelées.
Todas las noches lo aprieta para pedir algo: tráeme un vaso de vino, frótame la espalda, prepárame un poco de caldo.
Toutes les nuits il sonne pour me demander quelque chose : apporte-moi un verre de vin, frotte-moi le dos, prépare-moi un bol de soupe.
Cuando él la interrogaba sobre su madre, ella decía: «Ya te dije que soy huérfana». Luego estaba Sasha, una amiga poco confiable de cuya existencia, pasada o presente, él no sabía nada, excepto que ella y Mado eran hermanas de sangre: «Nos cortamos la muñeca y las frotamos, ¿sabes?, las frotamos para mezclar nuestra sangre. Sasha es la única y está escondida».
Quand il lui posait des questions sur sa mère, elle disait, « Je suis orpheline, je te l’ai dit. » Puis il y avait Sasha, amie imprévisible, dont il ne savait rien de l’existence passée ou présente, sauf que Mado et elle étaient « sœurs de sang, tu sais, nous nous sommes coupé le poignet et avons frotté, frotté, mêlé le sang, Sasha est la seule et elle reste cachée – ».
Raspamos con las palas, seguidamente frotamos las baldosas con papel, pero tenemos los pies llenos de mierda, ensuciamos en otra parte, es imposible limpiarlo todo.
On gratte avec les pelles, on frotte les dalles ensuite avec du papier, mais on en a plein les pieds, on salit ailleurs, c’est impossible de tout nettoyer.
Primero frotamos la ropa con ceniza de madera, tierra de batán y orina, para quitar las manchas; luego saltamos sobre ella, como cuando se pisan uvas en una cuba.
Après avoir frotté les vêtements avec un mélange de cendres, de terre à foulon et d’urine pour en ôter les taches, nous les piétinons comme on le fait du raisin dans les cuves.
Luego nos despertamos un día, nos frotamos somnolientos los ojos, apartamos la cortina y miramos fuera: aire claro, sol brillante, nieve chispeante.
Et puis on se réveille un jour, on se frotte les yeux, encore ensommeillé, on tire les rideaux pour regarder dehors : air limpide, soleil éclatant, neige étincelante.
Nos frotamos los unos contra los otros, no paramos de luchar sordamente para sacar al que está en el centro —sin gruñirle, sin decir nada más que, «¡cabrones!» de vez en cuando— el cual a su vez cogerá frío en el exterior del racimo, y servirá de pantalla.
On se frotte les uns contre les autres, on ne cesse pas de lutter sourdement pour extraire celui qui est au milieu — sans râler contre lui, sans rien dire que, parfois, « les vaches ! » — et qui à son tour prendra le froid à l’extérieur de la grappe, et servira de paravent.
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