Traduction de "encogiéndose" à française
Phrases de contexte similaires
Exemples de traduction
Algo que tiene que ver con la dilatación del tiempo, y las reglas de medir encogiéndose, y…
C’est en rapport avec la dilatation des durées, la contraction des longueurs et…
Encogiéndose dentro suyo, buscando escape.
Se rétrécissant à l’intérieur de lui-même, cherchant à s’échapper.
Kathrine, esperando, miraba cómo el ancho velo iba encogiéndose al tiempo que el destello cobraba fuerza.
Kathrine attendit, regarda le voile immense se rétrécir, la lumière se faire plus vive.
Flexionándose y relajándose, con el número «600» expandiéndose y encogiéndose, su brazo dispone de vida propia. Respira—.
Se tendant et se détendant, le numéro 600 s’élargissant et rétrécissant. Son bras a une vie autonome. Il respire.
La hermana Lucy, con la espalda tan recta como siempre, como Sally la había conocido siempre, podía estar encogiéndose incluso.
Que sœur Lucy, raide comme un piquet, ainsi que Sally l’avait toujours connue, était peut-être même en train de rétrécir.
—preguntan una docena de personas distintas. El adolescente se queda paralizado, encogiéndose dentro de la capucha. La mujer alta agita una mano en el aire. —Perdón —grita—.
répondent des dizaines de gens. L’adolescent est pétrifié. Il semble rétrécir sous sa capuche. Une fille lève la main et lance à la cantonade :
Tenía en gran consideración al cuerpo de policía y el trabajo que hacía, sobre todo cuando la policía en sí se parecía a Louise Considine, que estaba desnuda en mi cama, abrazando mis caderas con sus muslos y con mi pene encogiéndose dentro de ella.
J’avais de plus en plus de considération pour la police et son travail, surtout quand elle revêtait les formes de Louise Considine, à présent nue dans mon lit, les cuisses encore autour de ma taille et mon sexe se rétrécissant lentement en elle.
Dijo él, Es como si estuviésemos caminando en la oscuridad, el paso siguiente tanto podrá ser para avanzar como para caer, comenzaremos a saber lo que nos espera cuando el primer encargo esté puesto a la venta, a partir de ahí podremos echar cuentas del tiempo que nos van a necesitar, si mucho, si poco, si nada, será como estar deshojando una margarita a ver qué contesta, La vida no es muy diferente a eso, observó Marta, Pues no, pero lo que nos vinimos jugando durante años ahora nos lo jugamos en semanas o en días, de pronto el futuro se ha acortado, si no me equivoco ya he dicho algo parecido a esto. Cipriano Algor hizo una pausa, después añadió encogiéndose de hombros, Prueba de que es la pura verdad, Aquí sólo hay dos caminos, dijo Marta, resoluta e impaciente, o trabajar como hemos hecho hasta ahora, sin darle más vueltas a la cabeza que las necesarias para el buen acabado de la obra, o suspenderlo todo, informar al Centro de que desistimos del encargo y quedarnos a la espera, A la espera de qué, preguntó Marcial, De que te asciendan, de que nos mudemos al Centro, de que padre decida de una vez si se quiere quedar o venir con nosotros, lo que no podemos hacer es seguir en esta especie de sí pero no, que ya dura semanas, Dicho de otra forma, dijo Cipriano Algor, que ni padre muere, ni comemos caldo, Le perdono lo que acaba de decir porque sé lo que pasa dentro de su cabeza, No se enfaden, por favor, pidió Marcial, para mal vivir ya me basta con lo que tengo que aguantar en mi propia familia, Calma, no te preocupes, dijo Cipriano Algor, aunque ante los ojos de alguien pudiera parecerlo, entre tu mujer y yo nunca habría un enfado real, Pues no, pero hay ocasiones en que me dan ganas de pegarle, amenazó Marta sonriendo, y miren que a partir de ahora será peor, tengan los dos mucho cuidado conmigo, según me cuentan las mujeres embarazadas tienen cambios bruscos de humor, tienen caprichos, manías, mimos, ataques de llanto, golpes de mal genio, prepárense para lo que viene, Yo ya estoy resignado, dijo Marcial, y dirigiéndose a Cipriano Algor, Y usted, padre, Yo ya lo estaba desde hace muchos años, desde que ella nació, Finalmente, todo el poder para la mujer, temblad, varones, temblad y temed, exclamó Marta.
Il dit, C’est comme si nous marchions dans le noir, le prochain pas peut aussi bien nous faire avancer que tomber, nous aurons une idée plus claire de ce qui nous attend quand la première commande sera mise en vente, à ce moment-là nous pourrons calculer pendant combien de temps on nous aimera, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, ou pas du tout, ce sera comme effeuiller une marguerite, C’est un peu comme dans la vie, dit Marta, Certes, mais ce qui se jouait sur des années se joue maintenant sur quelques semaines ou quelques jours, soudain l’avenir a rétréci, si je ne m’abuse j’ai déjà dit quelque chose de semblable. Cipriano Algor s’interrompit puis ajouta avec un haussement d’épaules, Preuve que c’est vraiment vrai, Ici il n’y a que deux solutions, dit Marta, résolue, impatiente, ou bien travailler comme nous l’avons fait jusqu’à présent, sans nous creuser la cervelle plus que de raison pour achever la tâche comme il faut, ou bien tout arrêter, informer le Centre que nous renonçons à la commande et attendre, Attendre quoi, demanda Marçal, Ta promotion, le déménagement, que père décide une bonne fois s’il reste ou s’il nous accompagne, nous ne pouvons plus continuer cette espèce de valse-hésitation qui nous paralyse depuis des semaines, En d’autres termes, dit Cipriano Algor, plus l’oiseau est vieux, moins il veut se défaire de sa plume, Je vous pardonne ce que vous venez de dire, répondit Marta, car je sais ce qui se passe dans votre tête, Ne vous fâchez pas, je vous en prie, implora Marçal, des chamailleries j’en supporte bien assez comme ça dans ma famille, Du calme, ne t’inquiète pas, dit Cipriano Algor, quelles que soient les apparences, ta femme et moi nous ne pourrons jamais nous fâcher vraiment, Oui, bien sûr, mais il y a des fois où j’ai envie de vous battre, dit Marta avec un sourire, et dites-vous bien qu’à partir de maintenant ça va être pire, faites très attention tous les deux, d’après ce que je sais les femmes enceintes ont facilement des sautes d’humeur, des caprices, des lubies, des envies, des crises de larmes, des accès de colère, préparez-vous donc, Moi je suis résigné, dit Marçal et s’adressant à Cipriano Algor, Et vous, père, Moi je le suis depuis belle lurette, depuis qu’elle est née, Tout le pouvoir aux femmes, enfin, tremblez, hommes, tremblez et craignez, s’exclama Marta.
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