Traduction de "confitero" à française
Exemples de traduction
– ¡Hubiera tenido que enseñárselo a mi confitero mayor!
— J’aurais dû montrer ça à mon chef confiseur !
Había pedido al confitero que me pusiera sus mejores bombones.
J’avais demandé au confiseur ses meilleurs chocolats.
Vicentet, bendito sea entre todos los confiteros, me adoraba.
Vicentet, béni soit-il entre tous les confiseurs, m’adorait.
Entraron los Raithel, confiteros establecidos en la ciudad.
Vinrent ensuite les Raithel, qui étaient confiseurs à la ville.
y, sobre todo, ¡Bombelli’s, confiteros, con su pastel Marqués y Una Yarda de Bombones!
et surtout la boutique de Bombelli, le confiseur, avec ses marquises au chocolat !
La Colina, con su Universidad de Vermuteros y Confiteros, es una buena escuela de realidad.
La Colline, avec son Université des Vermouthiers et Confiseurs, est une bonne école de réalité.
—Su señoría —le corrigió, acercándose, un personaje metido en carnes con apariencia de confitero—.
— Sa Majesté, rectifia un homme bien en chair à l’allure de confiseur, qui s’approchait.
La hija del confitero de Meaux quería dinero. De eso no cabía duda. Era una necesidad.
La fille du confiseur de Saint-Maur voulait de l’argent ! Ça, c’était un point établi ! C’était une nécessité !
Hemos traído con nuestros elefantes golosinas en abundancia para darlas como ofrenda al Divino Confitero que imaginábamos.
Nous avions apporté sur nos éléphants des friandises en abondance pour les donner en offrande au Divin Confiseur que nous imaginions.
El confitero antioqueno se sobresaltó y miró a Taor como si le viese por vez primera.
Le confiseur antiochéen sursauta et regarda Taor comme s’il le voyait pour la première fois.
Además, veo de día en día, a medida que se suceden nuestras tribulaciones, que desaparece nuestra impedimenta, y con ella todos los pasteleros y confiteros que la escoltaban.
De surcroît, je vois de jour en jour au gré de nos tribulations fondre nos bagages et avec eux la troupe de pâtissiers et de confituriers qui les escortaient.
las mesas de madera sin pintar, las sillas normandas, las cortinas rojas y blancas no parecían recelar más misterio que la trastienda de un confitero.
les tables de bois blanc, les chaises normandes, les rideaux rouges et blancs ne semblaient pas receler plus de mystère qu’une arrière-boutique de pâtissier.
Granjeros del cercano Condado marchaban al lado de campesinos del este de Cornualles y había tenderos y confiteros y pequeños aprendices que empujaban, entre la muchedumbre, con bandejas de salchichas y pastas calientes.
Des fermiers du comté voisin coudoyaient des paysannes de l’est de la Cornouailles ; il y avait des marchands et des pâtissiers et de jeunes marmitons se frayaient un chemin parmi la foule, portant, sur un plateau, des saucisses et des pâtés chauds.
—Pensaba traerle una buena botella —dijo, dejando la bolsa en la mesilla, un poco apurado, como excusándose—. Pero aquí el vino está prohibido, así que me he dicho… ¡Mira, la confitera los rellena de licor de ciruela! —exclamó echándose a reír.
« Je voulais vous apporter une bonne bouteille, mais le vin ici, c’est interdit, alors je me suis dit que… Remarquez, ceux-là, la pâtissière les fourre à la mirabelle ! » Il rit.
Al lado de Julien, el salchichero, famoso por sus pasteles calientes, el confitero Foulon expone sus renombradas especialidades, admirables pastelillos cónicos de manteca malva, coronados por una violeta de azúcar.
À côté de Julien, le charcutier, dont les pâtés chauds sont renommés, le pâtissier Foulon expose ses spécialités fameuses, d’admirables petits fours coniques en beurre mauve, surmontés d’une violette de sucre.
Mi padre, cofrade de nuestra señora de la Asunción, se llamaba Rufino de la Asunción Raposo, y vivía en Évora con mi abuela, Filomena Raposo, por mal nombre la Repolluda, confitera en la calle del Lagar dos Dizimos.
Mon père, filleul de Notre-Dame de l’Assomption, s’appelait Rufino d’Assomption Raposo et vivait à Evora avec ma grand’mère, Philomena Raposo, pâtissière dans la rue du “Lagar dos Dizimos”(1).
Le era conocido de oídas el nombre de Kant y lo consideraba la última palabra de la filosofía, como suelen opinar quienes sólo tienen un remoto contacto con las ciencias del espíritu. Y la creencia en esa autoridad había sido uno de los motivos por los cuales Törless, hasta entonces, no se había sentido atraído por los libros serios.  Los muchachos muy jóvenes, una vez pasado el período en que quieren ser cocheros, jardineros o confiteros, suelen abrazar con la fantasía aquellas profesiones que parecen ofrecer a su ambición la mejor posibilidad de sobresalir y distinguirse.
Sans doute avait-il déjà entendu parler de Kant et connaissait-il sa « cote » dans les milieux qui ne s’intéressent que de loin aux choses de l’esprit : c’était, disait-on, le « dernier mot de la philosophie ». Ce prestige avait été même l’une des raisons qui avaient tenu Törless éloigné des ouvrages sérieux. D’ordinaire, en effet, les très jeunes gens, passé l’âge où ils veulent être cocher, jardinier ou pâtissier, commencent par situer leur carrière, en imagination, là où semblent s’offrir à leur ambition les meilleures chances de briller.
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