Exemples de traduction
Todos miraban a Tom, que estaba cantando You’ll never walk alone a voz en grito.
Tous les regards étaient braqués sur Tom qui chantait à tue-tête « Non, tu ne seras jamais seul ».
«Duke Travels» y «Dukes End» puede que tengan algún significado, pero como no incluyen las letras es difícil decir qué es lo que canta Collins, aunque hay un trabajo de piano complejo y espléndido de Tony Banks en el segundo corte. El único momento bajo de Duke es «Alone Tonight», que recuerda excesivamente «Tonight Tonight Tonight» de la más reciente obra maestra del grupo Invisible Touch, y el único ejemplo de verdad de hasta dónde se ha plagiado a sí mismo Collins.
Duke Travels et Dukes End ne sont sans doute pas dénués de sens, mais les paroles n’étant imprimées nulle part, il est difficile de dire ce que chante Collins. Cependant, sur ce dernier morceau, les interventions au piano de Tony Banks sont effectivement superbes dans leur complexité. Le seul thème inférieur dans Duke est Alone Tonight, qui rappelle beaucoup trop Tonight Tonight Tonight, tiré de Invisible Touch, un chef-d’œuvre que le groupe enregistrera plus tard, seule occurrence, réellement, où Collins se soit plagié lui-même.
Eran las seis de la tarde cuando Shorer informó a Michael, que no se había atrevido a salir del edificio salvo para ir hasta la esquina a proveerse de Noblesse, desde que habían detenido al sospechoso para interrogarlo. Shorer lo había preparado todo, incluido el piso de la calle Palmach que utilizaban en ocasiones excepcionales como aquélla. Raffi, que había participado en el arresto, le contaría más tarde a Michael que la mujer de Yoav Alon estaba conmocionada. Había solicitado que le concedieran tiempo para sacar a los niños de casa antes de realizar el registro. Raffi mencionó sus labios fruncidos, y que no había insistido en saber lo que pasaba y sólo había formulado una pregunta a la que nadie respondió.
Il était six heures du soir lorsque Shorer fit savoir à Ohayon – qui n’avait pas osé quitter son bureau, si ce n’est pour se réapprovisionner en cigarettes au tabac du coin – que le suspect avait été interpellé. Shorer s’était occupé de tout, y compris de mettre à la disposition de l’équipe l’appartement de la rue Ha-Palmach réservé aux interrogatoires secrets. Plus tard dans la nuit, Raphi, qui avait participé à l’arrestation d’Alon, raconta à Ohayon comment les choses s’étaient passées. En état de choc, la femme du colonel les avait suppliés d’attendre que les enfants sortent avant qu’ils ne commencent leur perquisition. Elle n’avait pas exigé d’explications, se contentant de poser une seule question à laquelle, d’ailleurs, personne n’avait jugé utile de répondre.
«I Know What I Like» es una canción que Huey nunca habría cantado seis años atrás -una categórica declaración de independencia-, mientras «I Never Walk Alone», – tan estratégicamente situada- que la sigue, de hecho complementa la canción y la explica en términos más amplios (también tiene un gran solo de órgano y, si se exceptúa «Hip to Be Square», contiene la más intensa interpretación vocal de Huey).
I Know What I Like est une chanson que Huey n’aurait jamais chantée six ans auparavant — une franche proclamation de son indépendance — tandis que le délicat I Never Walk Alone, qui lui fait suite, complète la chanson et l’explique en termes plus généraux (elle bénéficie également d’un superbe solo d’orgue, et du vocal le plus convaincant de Huey, si l’on exclut Hip to Be Square).
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