Traduction de "volcado hacia" à française
Exemples de traduction
Miro a unos ojos cuya mirada volcada hacia el interior vuelve ciegos.
Je regarde des yeux que leur regard tourné vers l’intérieur rend aveugles.
Otakar está totalmente volcado hacia Alemania porque las cortes alemanas encarnan, a sus ojos, la nobleza y la modernidad.
Otakar est entièrement tourné vers l’Allemagne parce que les cours allemandes incarnent à ses yeux la noblesse et la modernité.
Estaba como encerrada en este lugar, tenía con él complicidades que le permitían extraer de él una verdad movediza, secreta, mientras que los demás seguían volcados hacia la añoranza, la esperanza o la desesperanza de una vida distinta.
Elle s’était comme renfermée dans ce lieu, elle avait avec lui des rapports d’intelligence qui lui permettaient d’en extraire une vérité mouvante, secrète, alors que les autres restaient tournés vers le regret, l’espoir et le désespoir d’une autre vie.
Eran casas volcadas hacia adentro, cerradas a la calle, con altas rejas de hierro, incómodas y toscas, pero provistas de frescos corredores y patios internos sembrados de jazmines, naranjos y rosales.
C'étaient des maisons tournées vers l'intérieur, fermées à la rue, avec de hautes grilles, incommodes et rustiques, mais possédant de frais corridors et des cours intérieures où poussaient jasmin, orangers et rosiers.
¿Qué había hecho? Siguiendo un impulso de ocultarse avergonzado, atontado —todos debían de haber visto cómo le rechazaba Taniquel, cómo se había volcado hacia Auster, todos debían de haber comprendido lo que eso significaba—, se marchó con rapidez por el corredor y subió la escalera hasta su habitación.
Qu’avait-il fait encore ? Etourdi et honteux – ils devaient tous avoir vu que Taniquel le rejetait, qu’elle s’était tournée vers Auster, et ils savaient sans doute ce que cela signifiait –, il enfila le couloir et monta dans sa chambre ;
Nadie podría sospechar lo que hubo entre ellos el día anterior, ni la pasión desbocada que los arrastró primero, ni la reacción de ella cuando, exhaustos y plenos, él le dijo vámonos. Vámonos, vámonos lejos, le había repetido volcado hacia su rostro, apoyado con un codo en el colchón.
Nul ne pouvait soupçonner ce qui s’était passé la veille, la passion effrénée qui les avait d’abord emportés, ni sa réaction à elle quand il lui avait dit, alors qu’ils gisaient, épuisés et comblés : Partons au loin, lui avait-il répété tourné vers elle, le coude appuyé sur le matelas.
Resultó que mi compatriota conocía esa ciudad, dijo, «como la palma de su mano», palma que ahora decididamente me tendió, más bien volcada hacia abajo, en una especie de dinámica horizontal que anunciaba un apretón de vehemencia temible y del todo innecesaria, según tenían por costumbre hace años los ejecutivos y los jefes de ventas españoles.
Il s’est avéré que mon compatriote connaissait cette ville « comme le creux de sa main », disait-il en me la tendant d’un geste décidé, la paume plutôt tournée vers le bas, en une espèce de dynamique horizontale qui annonçait cette pression d’une virulence redoutable et totalement superflue que pratiquaient habituellement les cadres et les commerciaux des entreprises espagnoles, il y a des années.
En aquella ocasión, había mostrado una energía totalmente volcada hacia la colectividad, cuando —como se sabría durante la jornada— el tejado de su fábrica había volado por los aires y urgía tomar medidas para proteger las máquinas, poner a cubierto las existencias y salvar lo que aún pudiera salvarse, así que tenía razones para pensar en sí mismo, como hacían casi todos los demás.
Il avait montré, dans la circonstance, une énergie tout entière tournée vers la collectivité, alors que – on l’apprendrait dans la journée – le toit de son usine s’était envolé et qu’il y avait des mesures urgentes à prendre pour sécuriser les machines, abriter les stocks, préserver ce qui pouvait encore l’être et qu’il aurait été justifié qu’il pense à lui, comme faisaient la plupart des autres.
Antes de llegar a Callao, ya había decidido que no podía existir una causa mejor que aquella, la causa de mis brazos, de la brisa, de aquel piropo y las sonrisas juveniles que lo acompañaban, la causa de una ciudad volcada hacia fuera, viviendo en la calle, las aceras abarrotadas como si fuera de día, aquella noche brillante, luminosa, en la que el peligro aún parecía muy lejano y sin embargo ya estaba ahí, sacándole punta a todo, a las palabras, a los gestos, a los cuerpos, a la vida.
Avant d’arriver à Callao, j’avais compris qu’il ne pouvait exister plus grande cause au monde pour moi que celle de mes bras, de la brise, de la plaisanterie des miliciens et des rires juvéniles qui l’avaient accompagnée. Il ne pouvait exister plus grande cause qu’une ville tournée vers l’extérieur, vivant tout entière dans la rue, avec des trottoirs remplis de monde comme en plein jour, par cette soirée étincelante et lumineuse. Le danger semblait être encore loin, mais en réalité, il était déjà là, dissimulé derrière les mots, les gestes, les corps et la vie. Cette soirée se révélait bien plus intense que je l’avais imaginé, et j’avais imaginé de si grandes choses qu’à présent un tel débordement de vie m’étourdissait.
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