Traduction de "lengua hablada" à française
Lengua hablada
Exemples de traduction
—Pero los chinos no tienen una lengua hablada común —objeta Helen.
– Mais les Chinois n’ont pas de langue parlée qui leur soit commune », objecte Helen.
Ahora comprendía con retraso que la lengua hablada por el que había entrado antes era francés.
Il a compris avec un temps de retard que la langue parlée par celui qui venait de sortir était du français.
Se hubiera dicho que entre este hombre y sus inferiores la lengua hablada no existía o resultaba inútil.
On eût dit qu’entre cet homme et ses inférieurs la langue parlée n’existait pas ou devenait inutile.
—Señor Gaverin, le he pedido que pase a verme —indicó Pitman con lentitud (era él quien había perdido un poco la práctica de la lengua hablada)— porque nosotros dos podríamos, quizás, hacernos un mutuo servido.
– M’sieur Gavérine, je vous ai demandé de passer me voir, reprit Pitman avec lenteur – c’était lui qui avait un peu perdu la pratique de la langue parlée – parce que nous pourrions peut-être nous rendre mutuellement service.
Se dice que en una de las lenguas habladas por los indígenas de américa del sur, tal vez en la amazonia, existen más de veinte expresiones, unas veintisiete, creo recordar, para designar el color verde.
On dit que dans une des langues parlées par les indigènes de l’amérique du sud, peut-être en amazonie, il existe plus de vingt expressions, vingt-sept, crois-je me souvenir, pour désigner la couleur verte.
El renacimiento de la lengua hebrea, y que en tres o cuatro generaciones dejase de ser la Bella Durmiente para convertirse en una lengua hablada cotidianamente por más de diez millones de personas, es un acontecimiento intelectual tan importante en la historia del pueblo judío como la formación del Talmud.
La renaissance de la langue hébraïque, cette Belle au bois dormant qui, en l’espace de trois ou quatre générations, se métamorphosa en une langue parlée au quotidien par plus de dix millions d’individus est un événement spirituel équivalant à l’émergence du Talmud.
Había muchos extranjeros ahora en las calles de Atlanta. Los ciudadanos que un año antes habían prestado atención al menor acento que no fuese del país, ahora no se preocupaban de todas las lenguas habladas por europeos que habían traspasado el bloqueo para venir a fabricar máquinas y municiones.
Maintenant on voyait nombre de visages étrangers dans les rues d’Atlanta et les citoyens qui, un an auparavant, eussent dressé l’oreille en reconnaissant un accent de l’Ouest, ne prêtaient plus la moindre attention aux diverses langues parlées par les Européens, qui, forçant le blocus, étaient venus construire des machines à fabriquer des munitions pour les Confédérés.
Lo recuerda en el catálogo de la exposición Jean Bottern (de quien conocemos el brillante ensayo sobre las técnicas adivinatorias de la Mesopotamia incluido en el volumen dirigido por Vernant, Adivinación y racionalidad), quien observa que la enorme mayoría de las lenguas habladas nunca han sido escritas, aunque en nuestros días muchas de ellas han terminado por sufrir una alfabetización «alógena».
C’est ce que rappelle Jean Bottéro (dont nous connaissons le brillant essai sur les techniques divinatoires de la Mésopotamie, dans le volume dirigé par Jean-Pierre Vernant Divination et Rationalité2), qui observe que l’énorme majorité des langues parlées n’ont jamais été écrites, même si de nos jours beaucoup d’entre elles ont fini par subir une alphabétisation « allogène ».
Quizás la grandeza de sus mejores obras resida en parte en el vínculo estrecho y vivificador que mantienen con lo inmediatamente real, su capacidad de fabular con los materiales más cercanos de la vida: la poesía con la lengua hablada, la novela con la crónica, el cine con el documento sobre las cosas comunes y los trabajos de la gente, la danza con el ritmo y el sonido de los pasos, las artes visuales con la fotografía, con las imágenes de la publicidad y de la cultura de masas, con los escenarios cotidianos, la música, tantas veces, con las efusiones sentimentales y las melodías simples de la canción popular, con los sonidos y hasta los ruidos de las calles, el tachunda de las bandas de viento y los tambores, la cacofonía de los cláxones, la polifonía de las herramientas, la simple topografía de la ciudad, que se vuelve romántica con sólo ser enunciada, agregada al título de una obra: Manhattan Transfer, West Side Story, Forty Second Street, Washington Square… En una canción de Rodgers y Hart, titulada simplemente Manhattan, un catálogo de nombres de calles nada distinguidas se convierte en el itinerario sentimental e irónico de una pareja de amantes, que celebran los chorros de aire caliente de los respiraderos del metro en el mes de julio y el deslizarse de los carritos de refrescos y comida barata como si fueran las brisas marinas y los veleros de un litoral soñado al que su pobre economía les impide escapar.
La grandeur de ses meilleures œuvres réside peut-être en partie dans le lien étroit et vivifiant qu’elles entretiennent avec ce qui est immédiatement réel, dans la capacité d’imaginer à partir des matériaux les plus proches de la vie : la poésie à partir de la langue parlée, le roman à partir de la chronique, le cinéma à partir du document sur les choses banales et sur le travail des gens, la danse à partir du rythme et du bruit des pas, les arts visuels à partir de la photographie et des images de la publicité ainsi que de la culture de masse et des spectacles quotidiens, la musique, très souvent, à partir de l’effusion sentimentale et des mélodies simples de la chanson populaire, des sons et même des bruits de la rue, du vacarme rythmé des fanfares et des tambours, de la cacophonie des klaxons, de la polyphonie des machines, de la simple toponymie de la ville qui devient romantique rien que d’être énoncée quand on l’ajoute au titre d’une œuvre : Manhattan Transfer, West Side Story, Forty Second Street, Washington Square… Dans une chanson de Rodgers et Hart, intitulée simplement Manhattan, un catalogue de noms de rues nullement remarquables se transforme en l’itinéraire sentimental et ironique d’un couple d’amants, qui célèbrent les souffles d’air chaud des ventilateurs du métro au mois de juillet et le passage des petites voitures de boissons et de nourriture bon marché comme s’il s’agissait des brises marines et des voiliers d’un littoral de rêve vers lequel leur pauvreté les empêche de s’échapper.
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