Traduction de "el agobio" à française
Exemples de traduction
sintió un ligero escalofrío al pensar en otros placeres más íntimos que quedarían para después, cuando la fiesta y todo el ajetreo y el agobio de una semana de vértigo hubieran terminado.
Il l'avait à peine vue depuis une semaine et frissonna à l'idée des plaisirs plus intimes qui ne manqueraient pas de conclure leur soirée, en récompense d'une semaine particulièrement chargée.
–Ah, sí -dijo Patta, lanzando a Brunetti la mirada de agobio del que sólo puede hacer un breve inciso en las tareas del cargo, lo justo para atenderle-.
— Ah, oui, dit Patta avec un coup d’œil spéculatif en direction de Brunetti, comme s’il ne pouvait se libérer des obligations de sa charge que le temps d’un bref entretien.
En el pálido y hermoso rostro de Ehlana iba dejando su huella el agobio de las inquietud, a pesar de que Sparhawk hacía cuanto estaba en sus manos por cargar sobre sí todo el peso que podía aligerar al de ella.
Le beau, visage pâle d’Ehlana devenait soucieux, bien qu’Émouchet fit tout son possible pour transférer sur ses propres épaules la majeure partie de ses charges.
Ya llevaba un tiempo resentida por el agobio de todo lo que tenía por hacer —demasiados artículos, una crisis con la cuidadora en casa de Charles, la arremetida habitual de correos electrónicos y contactos en redes sociales (la ex de Cody Flayner le escribía a diario y le enviaba recetas y fotos de sus hijos)— y ahora se sumaba a toda esa carga de trabajo la urgencia del asunto de Albuquerque. Leila era la madre soltera de una noticia que reclamaba mucha atención.
Certes, elle ne savait déjà plus où donner de la tête – trop de sujets, une crise d’aide à domicile chez Charles, l’avalanche habituelle d’e-mails et de messages sur les réseaux sociaux (l’ex-Mme Cody Flayner lui écrivait tous les jours, lui envoyait des recettes de cuisine et des photos de ses enfants) –, et la nouvelle urgence du sujet sur Albuquerque ne faisait que se rajouter à sa charge de travail. C’était un sujet exigeant, et elle était son seul parent.
La leyenda que hace desembocar el Danubio en el Adriático revela el deseo de disolver las escorias de miedo, obsesiones, pudores, delirios de defensa —de las que está tan lleno el continente atravesado por el río— en la gran persuasión marina, distendido abandono, puro presente de la vida que se basta a sí misma y no se consume en la carrera hacia metas que alcanzar, en el ansia de hacer, o sea de haber hecho ya y ya vivido, sino que es felicidad sin meta y sin agobio, eternidad y autosuficiencia del instante.
La légende qui fait se jeter le Danube dans l’Adriatique dit le désir de dissoudre les scories de peurs, d’obsessions, de pudeurs, de délires de défense – dont est si chargé le continent que traverse le fleuve – dans la grande persuasion de la mer, détente et abandon, pur présent de la vie qui se suffit à elle-même et ne se consume pas dans la course vers des buts à atteindre, dans l’anxiété de faire, c’est-à-dire d’avoir déjà fait et déjà vécu, mais est félicité sans but ni aiguillon, éternité et autosuffisance de l’instant.
Había puesto a un lado los objetos que debía distribuir: un esqueleto de plastilina y un ajuar funerario de valor incalculable, compuesto por objetos de oro, jade, cerámica polícroma, hueso y concha labrada. En el otro lado de la caja, cuyo tamaño era considerable, había una foto de una tumba real, muy poco posterior a su descubrimiento (que había causado sensación). Era la tumba de Chac Xel, una princesa maya del siglo IX, y el trabajo de Nora consistía en recrearla con minuciosidad para la exposición «Imágenes sagradas». Mientras miraba el trabajo que tenía por delante, oyó a sus espaldas la respiración pesada de un guardia agobiadísimo. La causa del agobio era haber sido desplazado de su puesto habitual, en la apacible sala de Aves Pelágicas, y verse inmerso en un frenético panal de actividad, en pleno centro de la exposición «Imágenes sagradas». Nora lo oyó redistribuir el peso de su cuerpo de gigante y suspirar de modo teatral, como si la incitara a trabajar deprisa. Pues no pensaba dejarse influir.
Elle avait aligné d’un côté le squelette en pâte à modeler et l’ensemble des objets mortuaires destinés à l’exposition : des bijoux faits d’or et de jade, des céramiques polychromes, des ossements, des coquillages sculptés, De l’autre, elle avait posé une photographie de la sépulture de la princesse maya Chac Xel, demeurée intacte depuis le IXème siècle, la photo avait été prise lors de l’ouverture de la tombe, et Nora voulait en reconstituer le moindre détail dans le cadre de l’exposition. Elle sentit soudain derrière elle la présence hostile d’un gardien appelé en renfort pour l’expo. Furieux d’avoir dû quitter son poste habituel dans le grand bail des Oiseaux pélagiques, le gardien agita sa carcasse imposante en poussant un soupir à fendre l’âme, mais Nora n’avait pas l’intention de se laisser impressionner. Cette tombe était l’un des clous d’« Images du Sacré» et les objets dont elle avait la charge étaient tous d’une fragilité extrême.
Es todo un agobio, Tony.
C’est un tel fardeau, Tony.
Era un niño y ya cargaba con todos los agobios que Marco le hubiese impuesto.
C’était un garçon, et il portait déjà le fardeau que Marco lui avait mis sur les épaules.
Su expresión sombría indicaba alguien ya amargado por los agobios de la vida.
Son air lugubre évoquait une personne déjà aigrie par les fardeaux de l’existence.
El agobio por un caso sin resolver y las citas de Poe eran, en realidad, todo lo que tenía como modelo.
Or, je n’avais pour tout critère de sélection que le fardeau d’une affaire non résolue et des citations de Poe.
Quería ir a la universidad, y él había conseguido dejar a un lado sus miedos, necesidades y agobios para dejarla ir.
Elle avait voulu faire des études, et il avait réussi à faire taire ses peurs, ses besoins et les fardeaux qu’il portait assez longtemps pour la laisser partir.
ella quería ser lo bastante poderosa como para desafiar al mundo —y, sabiendo que no lo era, este conocimiento hacía aumentar aquel agobio de temblona timidez y furor.
elle se voulait assez puissante pour défier le monde – et de savoir qu’elle ne l’était pas accroissait le fardeau, déjà grand, de timidité tremblante et de fureur.
No se había dado cuenta del agobio que le había provocado su herencia y el alivio que sentía al poder compartirlo con alguien. Miró hacia la bahía y se imaginó sus reliquias alejándose en el aire como pelícanos, porque ya no la necesitaban.
Elle ne s’était pas rendu compte du poids que l’étrange héritage de sa mère faisait peser sur elle ni compris à quel point elle avait besoin de partager ce fardeau. Elle contempla la baie, imaginant que les trois objets légués par Diana se changeaient en pélicans pour s’envoler au loin.
El cinismo que cultivaba con tanto esmero vaciló, y un peso le agobió los hombros, un peso fantasmal, la pesadez de haber sido alguien que ya no era. En verdad había cambiado con los años, y a ese cambio le había llamado madurez, pero de repente esa madurez parecía resquebrajarse.
Son cynisme soigneusement entretenu en avait pris un coup, un fardeau irréel était brusquement tombé sur ses épaules – le poids d’un être ayant autrefois existé, mais qui n’était plus. Les années l’avaient profondément métamorphosé – il préférait voir cela comme un surplus de sagesse, mais toute cette expérience chèrement acquise semblait brusquement s’altérer, s’aigrir.
Recordad, recordad, que dentro de mucho, mucho tiempo, no en vuestra vida ni en la de vuestros hijos, ni siquiera en la de vuestros nietos, pero llegará, un día, llegará, en que vuestros afanes, vuestras miserias, el agobio que es vuestra vida, todo será redimido y dará frutos, y los niños de esta aldea y del mundo serán lo que pueden llegar a ser… Acordaos, acordaos de esto… Será como si de esa estrella pequeñita, esa que titila por encima de las copas negras de esos árboles, sí, ¡de esa!, descendieran unos hombres, y colmaran de pronto de cosas buenas y de esperanza a esta aldea tan agobiada por fatigas y penurias.
« Rappelez-vous, rappelez-vous : dans longtemps, pas de votre vivant, ni de celui de vos enfants, ni même de vos petits-enfants – mais ce temps viendra –, votre labeur, vos souffrances et le fardeau de nos vies seront tous rachetés, porteront tous leurs fruits, et les enfants de ce village et du monde entier deviendront ce qui est en leur pouvoir de devenir… rappelez-vous, rappelez-vous ceci : tout se passera comme si des hommes descendaient de cette petite étoile, là-haut, qui scintille au-dessus des arbres noirs, oui, celle-là ! et emplissaient soudain ce village – si accablé de misère et de problèmes – de bonnes choses et d’espoir.
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