Traduction de "carnicero" à française
Phrases de contexte similaires
Exemples de traduction
Son todos unos carniceros.
Ce sont tous des bouchers.
Y este es Carnicero.
Et ça, c'est Boucher.
—¿Por qué el carnicero?
— Pourquoi le boucher ?
No soy ningún carnicero.
Je ne suis pas un boucher.
—No es uno de tus carniceros, ¿verdad?
– Ce n’est pas un de vos bouchers, n’est-ce pas ?
—¡No lo tendrás, carnicero!
“Vous ne pouvez pas l’avoir, boucher !”
— ¿Por qué qué, Carnicero?
— Pourquoi quoi, Boucher ?
Pero yo no soy un carnicero, soy un pescador, y esto no es más que una carnicería.
Mais je ne suis pas un boucher, je suis un chasseur, et ceci n’est qu’une boucherie.
—¿El hijo del carnicero?
— Le fils du boucher ?
Fíjate en los carniceros.
Regarde les bouchers.
—¿En su sano juicio? —¿Cómo puedo saberlo...? —¿Le pareció a usted un hombre que de buenas a primeras iría a tomar un trozo de caño y un hacha de carnicero para exterminar sesenta animales inofensivos?
— Comment savoir ? — Vous a-t-il donné l'impression d'être le genre d'homme capable de sauter tout à coup sur un morceau de tuyau de plomb et un hachoir à viande, pour aller massacrer une soixantaine d'animaux sans défense ?
La carne que consumían los musulmanes provenía de reses sacrificadas de una determinada manera: el animal tenía que estar consciente cuando lo degollaban y tenía que desangrarse vivo. No podían golpearlo y dejarlo inconsciente antes de matarlo, como suelen hacer los no musulmanes, y además las labores de matarife y carnicero debían ser hechas, desde el principio al final, por musulmanes.
La viande destinée à la consommation des musulmans est abattue selon un rite spécifique : l’animal doit être vivant quand on lui tranche la gorge, et le rester tant que le sang s’écoule de son corps ; pas question d’assommer la bête avant de l’égorger, comme cela se pratique chez les non-musulmans.
Además de emborracharse, bailaban en las tabernas de los cristianos y consumían cantidades ingentes de carne de cerdo, razón por la cual nuestro vecino, el carnicero Piasetski—rubio y gordo, cuyo rostro, de nariz respingona, ojos pequeños y cabellos rubios tan rígidos como los pelos de un cepillo, se parecía al de un cerdo—sacrificaba un sinfín de estos animales. Debía de disfrutar mucho degollándolos, porque al hacerlo les infligía los más salvajes tormentos.
ils s’enivraient aussi et dansaient dans les tripots goy, ils engloutissaient des montagnes de cochonnailles. Notre voisin, l’éleveur de porcs Piasetski, un goy blond et gras qui avec son nez hautain, ses petits yeux et ses cheveux en brosse couleur de lin rappelait lui-même un cochon, égorgeait des porcs en veux-tu en voilà. Ce goy devait bien aimer égorger ses porcs, car il leur infligeait pour les tuer les tortures les plus cruelles.
Cuando la abuela Cornelia, asomada distraídamente a una de las ventanas de arriba por la mañana temprano (poco antes de las siete, la pobre mujer casi nunca dormía hasta más tarde), vio a su cuñado anciano y endeble dirigiéndose hacia la casa, con paso vacilante, por el sendero de gravilla que corría unos veinte metros paralelo a la muralla del jardín, supo de inmediato (sin haber visto aún el cuchillo de carnicero manchado que llevaba pegado al cuerpo) que algo había pasado.
Quand grand-mère Cornelia, jetant par hasard un regard par une fenêtre d’en haut tôt un matin (juste avant sept heures : la pauvre femme dormait rarement plus tard), aperçut son beau-frère âgé, infirme, se diriger d’un pas mal assuré vers la maison, sur l’allée de gravier qui était parallèle d’une vingtaine de mètres au mur du jardin, elle sut immédiatement – sans même avoir vu le couteau à égorger les cochons taché de sang qu’il tenait tout près de lui – qu’il était arrivé quelque chose.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test