Traduction de "caballos mulas" à française

Caballos mulas

• chevaux mules

Exemples de traduction

chevaux mules

Cuando llegaron al camino, se encontraron con caballos, mulas, carros y compañías de la milicia.
La piste était empruntée par de nombreux chevaux, mules, véhicules et compagnies de miliciens.

Caballos, mulas para la carga y, para según qué terrenos, supongo que camellos. Podremos alquilar todo ello sin mayores problemas, para lo cual hablaré con el mozo de confianza.
Les chevaux, mules de bât et pour certains trajets, je pense, chameaux, peuvent sans aucun doute être loués : j’en parlerai à mon palefrenier.

Había por lo menos un millar de caballos, mulas, burros y bueyes, además de varios centenares de esclavos que perseguían a sus animales para engancharlos a sus respectivos carruajes.
Il y avait au moins mille chevaux, mules, ânes et bœufs, avec plusieurs centaines d’esclaves occupés à courir derrière les bêtes pour les harnacher à leurs attelages respectifs.

De hecho varias noches compartimos el caravasar con una verdadera multitud de mercaderes, árabes o persas, que viajaban en caravana con un número incontable de caballos, mulas, asnos, camellos y dromedarios, todos muy cargados, hambrientos, sedientos y adormilados.
En effet, à plusieurs reprises, nous partageâmes un caravansérail avec une foule de marchands, arabes ou persans, qui voyageaient avec d’innombrables chevaux, mules, ânes, chameaux et autres dromadaires, tous assez lourdement chargés et du même coup affamés, assoiffés et exténués.

A la vez que contenían a las turbas de incendiarios, arreaban hacia Canudos cabezas de ganado, caballos, mulas, asnos, chivos que las haciendas se resignaban a donar al Buen Jesús, y despachaban a los almacenes de Antonio y Honorio Vilanova las harinas, los granos, las ropas y, sobre todo, las armas que reunían en sus incursiones.
Tandis qu’ils contenaient les foules d’incendiaires, ils canalisaient vers Canudos les têtes de bétail, chevaux, mules, ânes, chevreaux que les fazendas se résignaient à donner au Bon Jésus, et remplissaient les magasins d’Antonio et Honorio Vilanova des farines, grains, vêtements et surtout armes qu’ils rapportaient de leurs incursions.