Traducción para "verge" a español
Frases de contexto similares
Ejemplos de traducción
Ta verge d’alguazil ne vaut pas ça.
Tu vara de alguacil no vale eso.
Dans sa jeunesse une verge d’ivoire à volonté.
En su juventud una vara de marfil a voluntad.
Il toucha de sa verge le bras de Mathew Gough.
Con su vara tocó el brazo de Mathew Gough.
Son pénis est une verge, une verge tourmentée qui s’introduit lentement dans le corps de la fille, qui l’enfonce dans l’herbe, dans la terre, dans le martèlement de l’instant, et du cœur qui bat.
El pene es una vara, una vara angustiada, penetrando en la chica muy despacio, hundiéndola en la hierba, en la tierra, segundo a segundo, latido a latido.
— Et à qui, tout à l’heure, ta veuve ira-t-elle remettre ta verge d’alguazil ?
—¿A quién le conseguirá ahora tu vida la vara de alguacil?
Il me tendit La Verge du châtiment et me dit : « Lis cette traduction.
Me dio un ejemplar de la Vara del Castigo y dijo: —Lee esta versión.
La panoplie était complétée par un épais justaucorps en daim et, passée dans sa ceinture, la verge indiquant sa charge.
Completaba la panoplia con un coleto grueso de ante y la vara de su cargo metida en la pretina.
La verge de lieutenant d’alguazils passée dans sa ceinture, il tenait son épée dans une main et un pistolet dans l’autre.
Tenía la vara de teniente de alguaciles metida en el cinto, la espada en una mano y un pistolete en la otra.
Des mères qui utilisent leurs enfants comme des bâtons – chaque frère, une verge pour châtier l’autre.
Las madres utilizan a sus hijos como palos… cada hermano es una vara con que castigar al otro.
Défilant en cape noire et agitant une longue verge pour entraîner les autres.
Avanzando con su capa negra y una enorme vara, y haciendo señas a los demás para que siguieran adelante.
— Voilà une verge. — Moi avec un soulier.
—Aquí tengo una varilla.
Des verges chauffées à blanc glissent dans le ciel.
Varillas de calor blanco que se deslizan en el cielo.
Mon premier mouvement fut de faire apporter des fers rouges et des verges;
En el primer momento quise pedir látigos y varillas de hierro candentes;
— Pourquoi ? » Le Mal se matérialise brièvement sous la forme d’un groupe de verges verticales qui entourent un œil.
—¿Por qué? Mal se materializa brevemente en forma de un montón de varillas verticales que rodean un ojo y un sollozo.
Son corps lui faisait mal comme s’il eût été battu à coups de verges ; les muscles de son visage tressautaient convulsivement et il claquait des dents sans pouvoir s’arrêter.
Le dolía el cuerpo como si lo hubieran golpeado con varillas, contracciones nerviosas le desfiguraban el rostro, y los dientes comenzaron a castañetearle incontrolablemente.
Quand ils sifflaient après le vent seulement, la pluie arriva en verges drues, bouillonnante et tambourinante, et, derrière elle, le tonnerre et les éclairs de mi-août.
Cuando solo deseaban viento, caían sobre ellos finas varillas de lluvia, haciendo burbujas y tamborileando, y más allá de la lluvia, los relámpagos y truenos de mediados de agosto.
Les gens les appelaient « Krampus », – ce nom étant celui du diable attaché à la personne de saint Nicolas, dont la mission consiste à effrayer les voleurs et à apporter des verges pour fouetter les enfants méchants.
El pueblo los llamaba «Krampus», que es el nombre del servidor satánico de san Nicolás, encargado de asustar a los ladrones y de fustigar con su varilla a los niños malos.
Hello ! » Et ses mots sont semblables à des verges de verre, chastes et épicènes. « Pouvez-vous me dire où je trouverai les Médiateurs ? » Il voit des rochers, des arbres, des oiseaux, des fleurs, de l’herbe, des insectes.
¡Hola! —y las palabras son varillas de vidrio, castas, asexuales—. ¿Puedes decirme dónde están los Intercesores? Clay ve rocas, árboles, pájaros, flores, hierba, insectos.
Iris hurle qu’elle va toutes nous accuser, debout près d’une balustrade pour se jeter en bas et tuer son fils si on ne lui ramène pas son poupon, quand enfin Rita pousse un cri, il est là, il est là, je l’ai trouvé assis par terre, les bras autour des jambes et la figure cachée contre les genoux, tout doux, si brave, ce Mudito, il se laisse prendre sans résistance et on lui donne à manger, mais très peu car maintenant il ne mange presque plus… et d’autres fois où il se perd, ce n’est pas pareil, quand on le retrouve et qu’il se rend compte qu’on va l’attraper, il se met à courir comme un petit gosse et il nous échappe dans les couloirs parce que nous, on ne peut pas courir aussi fort, et on doit attendre des jours – des fois on est obligées d’enfermer Iris à clé pour l’empêcher de faire des choses dangereuses, de crier comme ça et de nous donner les verges – avant de retrouver le Mudito dans une des pièces où l’on a entassé de vieux journaux, de vieilles revues et de vieux bouquins, dans des tanières que le Mudito se fabrique avec cette quantité de papier inutile, des balles de revues, des livres rongés par les souris, des bottes de journaux, des tas d’encyclopédies incomplètes, de livres luxueusement reliés tachés de rouge parce que la couverture a déteint, parfois on le trouve en train de lire car on dit que le Mudito a lu tous les livres, toutes les revues et tous les journaux qu’il y a dans la Maison et que c’est pour ça qu’il n’a plus de force, et pourtant quand on l’attrape dans ces cachettes, réfugié dans ces grottes de caractères d’imprimerie inutiles, il nous échappe encore, escaladant parfois les bottes de journaux jusqu’au plafond, mais nous, terrifiées par les menaces d’Iris, et malgré nos os qui grincent et en nous plaignant, nous faisons à sa poursuite l’ascension de la montagne de Zigzag, de La Esfera et de Je sais tout reliés et racornis que je sais par cœur, me cernant comme une bête, criant pour faire accourir d’autres vieilles à leur aide, jusqu’à ce qu’elles m’attrapent, Mudito, Mudito, ne fais pas l’idiot, laisse-toi faire, pourquoi tu te défiles, on t’aime, on ne te fait jamais de misères, on veut seulement te demander de bien vouloir nous aider à distraire Iris jusqu’à la naissance de l’enfant.
La Iris está chillando que nos va a acusar a todas, parada encima de una baranda para tirarse y matar a su hijo si no le traemos a su muñeca, hasta que la Rita da un grito, aquí está, aquí está, lo encontré, sentado en el suelo con los brazos rodeándole las piernas y la cara oculta sobre las rodillas, manso, tan bueno el Mudito se deja agarrar sin resistencia y le damos de comer pero muy poquito porque ahora casi no come… y cuando otras veces se pierde, es distinto, porque cuando lo encontramos y se da cuenta de que lo vamos a pillar se echa a correr como si fuera un chiquillo y se nos pierde por los pasadizos porque nosotras no podemos correr tanto, hasta que días después —a veces tenemos que encerrar con llave a la Iris para que no haga cosas peligrosas y no grite tanto y no nos azote con su varilla— encontramos al Mudito en una de las piezas donde han ido almacenando los diarios y revistas y libros viejos, en guaridas que el Mudito se organiza entre tanto papel inservible, fardos de revistas, libros roídos por los ratones, hacinamientos de diarios, montones de enciclopedias truncas, de libros de pasta lujosa manchados de colorado porque las tapas se fueron destiñendo, a veces lo encontramos leyendo porque dicen que el Mudito se ha leído todos los libros y todas las revistas y todos los diarios que hay en la casa y que por eso ya no tiene fuerza, y sin embargo, cuando lo pillamos en esos escondrijos, refugiado en esas cuevas de letras inútiles, se nos arranca otra vez, escala los fardos de diarios a veces hasta el cielo raso, pero nosotras, aterradas con la amenaza de la Iris, a pesar de que los huesos rechinan, quejándonos, trepamos persiguiéndolo por la montaña de los Zig-Zag y de La Esfera y del Je Sais Tout empastados y revenidos que conozco de memoria, cercándome como a un animal, gritando para que vengan más viejas a ayudar, hasta que me pillan, Mudito, Mudito, no seas tonto, entrégate, por qué te arrancas, nosotras te queremos y nunca te tratamos mal, sólo te queremos pedir el favor de que nos ayudes a entretener a la Iris hasta que nazca el niño.
Tout d'abord, sachez que Moriarty régente son monde avec une verge de fer.
En primer lugar, debo decir que Moriarty gobierna con una barra de hierro sobre su gente.
Des hameaux de boue tachaient un terrain couvert de champs, de vergers de dattiers, et de fossés d’irrigation.
Había aldeas de chozas de barro esparcidas entre los terrenos de cultivo, las palmeras datileras y las acequias.
Un sentier traversait un verger où broutait du bétail pour aboutir à un enclos boueux où se dressaient une douzaine de cabanes.
Un camino a través de un prado donde pastaba el ganado conducía a un recinto lleno de barro en el que se levantaban unas doce cabañas.
Des nuages bas s’amoncelaient au-dessus de la cime des arbres, tandis que les champs et les vergers gorgés de boue condamnaient les ouvriers agricoles et les cueilleurs de fruits à s’employer à l’usine.
Nubes bajas se posaron sobre las copas de los árboles ornamentales. En los campos y en las plantaciones de frutales había mucho barro, y los que trabajaban en los sectores agrícolas pasaron a trabajar en la fábrica.
J’aimais cette route vers l’ouest qui s’allongeait entre des vergers, des fermes bien construites et qu’entouraient des murs en torchis munis aux coins de sortes de guérites.
Me impresionó el camino que corría hacia el Oeste, y que pasaba por huertos de frutales y granjas bien cuidadas, protegidas por altos muros de barro, que en sus esquinas presentaban sólidas estructuras, a la manera de cajones.
J’étais toujours fâchée contre elle. Et elle n’est pas non plus venue me chercher pour aller danser sous la pluie dans le verger, comme on le fait chaque fois qu’il pleut à verse.
Continuaba enfadada y quería demostrarle mi enfado. Por eso no me moví de mi habitación y no me metí en su cama, como otras veces, ni ella me llamó para salir juntas al huerto a danzar bajo la lluvia hasta caer en el barro empapadas y exhaustas, como hacíamos siempre que llovía a cántaros, para desesperación de Deméter que se desgañitaba riñéndonos.
Je l’ai suivie dans le placard, je me suis faufilée sous les ourlets des jupes et entre les jambes des pantalons pour me plonger dans l’obscurité, parmi les chatons de poussière et les mites mortes, là où la boue du verger et l’odeur de moisi des pêches collaient aux bottes de T. Ray.
Yo la seguí al vestidor y me oculté bajo los dobladillos de los vestidos y las perneras de los pantalones, en la oscuridad, entre polvo y polillas muertas, junto a las botas de T. Ray, con restos de barro del huerto e intenso olor mohoso a melocotón.
Des voisins et des amis m'ont apporté leur aide. ») Il n'y avait qu'une seule fenêtre sur la façade, une vitre carrée, derrière laquelle on voyait un grand vase d'argile que mam avait fait à Yarrow Heights, rempli de branchages et de verges d'or. — Oh, mam !
me ayudaron algunos amigos y vecinos»). En la parte delantera de la cabaña había una sola ventana, un cuadrado de cristal, y tras ella se veía un jarrón alto de barro que mamá había hecho en Yarrow Heights con ramas secas de solidago y retama. —¡Oh, mamá!
 Ah çà ! voulez-vous me laisser tranquille ! dit le jeune garçon parant tour à tour avec ses deux coudes les coups que lui assenait son maître ; vous attraperez quelque chose dont vous ne serez pas content, je vous le jure. – Vous êtes un chien ! cria Quilp. Je vous frapperai avec une verge de fer ;
—Jo, por qué no me deja tranquilo —exclamó el chico intentando esquivar las acometidas de Quilp con los dos codos alternativamente—. Cogerá algo malo como no me deje, se lo advierto. —¡Cacho perro! —gritaba Quilp—, te pegaré con una barra de hierro, te arañaré con un clavo oxidado y te sacaré un ojo si sigues hablando… ¡Vaya si lo haré!
Le dernier tiers de son âme s’était mis en route vers le Lac de Sang : on le disait si vaste qu’il aurait fallu huit cent quarante mille jours pour le traverser. Là, elle allait subir cent vingt espèces de tortures différentes. Chaque jour, elle serait battue avec des verges d’acier et contrainte de boire du sang.
La última parte del alma de Ze se vio arrastrada al Lago de Sangre, que, según decían, era tan ancho que hacían falta 840.000 días para cruzarlo, y donde Ze sufriría 120 tipos de tortura, y donde todos los días le exigirían que bebiera sangre si no quería que la golpearan con unas barras de hierro.
Les jets font un verger de grenadiers, avec les fruits les plus exquis : le nard et le safran, le roseau odorant et le cinnamome, avec tous les arbres à encens ;
nardo y azafrán, caña aromática y canela, con todos los árboles de incienso, mirra y áloe, con todas las principales especias aromáticas.
Et bien que, sous le coup de l’émotion, il fût brisé et fiévreux, comme s’il avait été battu à coups de verges incandescentes, il marchait le dos bien droit et l’air fier.
Aunque la emoción lo había extenuado y se sentía febril, como si lo hubieran azotado con una caña de fuego, iba erguido y orgulloso.
Le détail de cet envoi nous est connu par une lettre de Maurice de Saxe — qui s’était mis sous les ordres du prince pour apprendre le métier des armes qu’il connaissait pourtant déjà mieux que quiconque — à sa femme la comtesse de Loben : « … Un fer de la Sainte Lance, la Couronne d’épines, les courroies et les verges de la Flagellation, le Manteau et le Roseau dérisoires de la Passion, les Saints Clous, le Très Saint Vase, le Sindon et le Très Saint Voile. »
Conocemos el detalle de este envío por una carta de Mauricio de Sajonia —que se había puesto a las órdenes del príncipe para aprender la profesión de las armas a pesar de conocerlas mejor que nadie— a su esposa, la condesa de Loben: «… Una punta de la Santa Lanza, la Corona de Espinas, las pretinas y azotes de la Flagelación, el Manto y la Caña infamantes de la Pasión, los Santos Clavos, el Santísimo Vaso, el Santo Sudario y el Santísimo Velo».
Je crois que l’une des raisons qui nourrit ma crédulité (je devrais dire notre crédulité) fut qu’à la fin des années 60 et au début des années 70, époque du pré-universitaire et de mes études supérieures, j’étais un romantique convaincu qui coupa la canne à sucre jusqu’à l’épuisement lors de l’interminable récolte de 1970, qui s’éreinta à semer du café Caturra, qui suivit des entraînements militaires dévastateurs pour mieux défendre la patrie et qui assista avec joie aux défilés et aux meetings politiques, toujours convaincu, toujours armé de cet enthousiasme compact et de cette foi invincible qui nous animaient presque tous, dans chaque acte de notre vie, en particulier pour attendre patiemment le bel avenir lumineux qui, sur le plan matériel et spirituel, ne manquerait pas de fleurir dans l’île comme dans un verger.
Creo que una de las razones que alimentaron mi credulidad (debería decir nuestra credulidad) fue que a finales de la década de los sesenta y a principios de los setenta, cuando hice el preuniversitario y la carrera, yo era un romántico convencido que cortó caña hasta el desfallecimiento en la interminable zafra de 1970, se partió la cintura sembrando café Caturra, recibió demoledores entrenamientos militares para defender mejor a la patria y asistió jubiloso a desfiles y concentraciones políticas, siempre convencido, siempre armado con aquel compacto entusiasmo militante y aquella fe invencible, que nos imbuía a casi todos, en la realización de casi todos los actos de nuestras vidas y, muy especialmente, en la paciente aunque segura espera del luminoso futuro mejor en el que la isla florecería, material y espiritualmente, como un vergel.
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