Traducción para "nous poussant" a español
Nous poussant
Frases de contexto similares
Ejemplos de traducción
Un commissaire nous poussant revolver au cul.
Un comisario empujándonos pistola en mano.
— Go ! lâcha Badji aussitôt, en nous poussant devant lui.
—soltó Badji al momento, empujándonos ante él.
hurle-t-il afin de se faire valoir, en nous poussant de son fusil.
– gritó a fin de hacerse valer, empujándonos con su fusil.
Les reptiles riaient, nous poussant toujours vers la Porte. Ils choisissaient leurs victimes au hasard, accroissant la terreur et le chaos.
Las serpientes se reían y nos rodeaban, empujándonos más y más cerca de la Puerta, y escogían víctimas al azar para aumentar el terror y el caos.
Comme les kapos à Dachau, qui croyaient échapper à la mort en donnant la mort et qui hurlaient et frappaient, en nous poussant à coups de bâton sur l’esplanade où avait lieu l’appel.
Como los Kapo en Dachau, que creían escapar de la muerte dando muerte ellos y chillaban y golpeaban, empujándonos a bastonazos a la explanada donde se pasaba lista.
On lutte, chacun tirant et poussant l’autre, en une danse macabre entre les tombes, puis il lâche prise, bascule en arrière et s’effondre sur le ciment de l’allée qui serpente jusqu’au bureau du cimetière.
Luchamos, empujándonos, agarrándonos el uno al otro y tirando, una danza macabra entre las tumbas, hasta que su mano cae y se desploma de espaldas sobre el camino, una franja sinuosa de asfalto que lleva a la oficina del cementerio.
La conscience toujours plus aiguë de la fragilité, l’initiation à l’épuisement, l’initiation à la fin, le temps en alerte, pressé, nous poussant chaque jour et chaque nuit plus près de ce lointain qui nous terrorise.
La conciencia cada vez más aguda de la fragilidad, la iniciación en el desgaste, la iniciación en el final, el tiempo alertado, presuroso, empujándonos, día y noche, más cerca de la lejanía que nos aterra.
Le vent dans nos voiles, le courant du fleuve nous poussant et les rames frappant en cadence les eaux du Nil, nous fîmes route vers la haute mer, nous libérant ainsi de l’emprise maligne et pernicieuse de Pharaon.
Con el viento en nuestras velas, la corriente del río empujándonos y la triple fila de bancos de remos golpeando las aguas del Nilo levantando espuma, nos dirigimos hacia el norte, hacia el mar abierto y la libertad de la esclavitud maligna y perniciosa del Faraón.
Ramona esquive de biais puis m’attrape par la taille et nous dégringolons sous le plafond réfléchissant, luttant, poussant et pressant. Je sors la tête hors de l’eau le temps de me remplir les poumons, puis elle me tire sous l’eau et commence à me chatouiller.
Ramona me esquiva y luego me agarra por la cintura, y nos retorcemos bajo la superficie, agarrándonos, empujándonos y tirando. Saco la cabeza del agua el tiempo suficiente para aspirar una bocanada, y ella me arrastra hacia abajo y se pone a hacerme cosquillas.
et de nous prosterner devant sa danse de Möbius, nous refoulant dans les cavernes, nous faisant sentir la caresse des vents glacés, le baiser frigide du Pléistocène, nous tirant par les oreilles, nous tournant vers l’ouest pour nous faire voir le soleil brûlant au-dessus de l’Atlantide, nous poussant, trébuchants, titubants, vers l’océan, vers les terres du couchant, vers les merveilles englouties, et puis vers le Mexique avec ses dieux-démons, ses dieux-crânes, vers Huitzilopochtli à l’œil courroucé, vers le terrible et reptilien Coatlicue, vers les autels rougis de Tenochtitlán, vers le dieu écorché, vers tous les paradoxes de la vie-dans-la-mort et de la mort-dans-la-vie, et le serpent à plumes ricane et agite sa queue comme une crécelle, clic-clic-clac, et nous sommes devant le Crâne, devant le Crâne, devant le Crâne, tandis que retentit dans nos têtes le grand gong des labyrinthes pyrénéens, et nous buvons le sang des taureaux d’Altamira, nous valsons avec les mammouths de Lascaux, nous entendons les tambourins des chamans, nous nous agenouillons, nous touchons la pierre avec nos têtes, nous urinons, nous pleurons, nous frissonnons sous l’écho des tambours atlantes martelant cinq mille kilomètres d’océan dans la fureur de leur inexorable perte.
Y de postrarnos ante el Cráneo, pero nos arranca de nuevo, arrastrándonos por su cinta de Moebius, echándonos a las cavernas, haciéndonos sentir la caricia de los vientos helados, las frías cópulas del Pleistoceno, nos tira de las orejas, volviéndonos hacia el oeste para ver el resplandeciente sol de Atlantis, empujándonos, tropezando, titubeando, hacia el océano, hacia las tierras del poniente, hacia las maravillas engullidas, y después hacia México, con sus dioses-demonio, sus dioses-cráneo, hacia Huitzilopochtli con sus ojos enfurecidos, hacia el terrible y reptilesco Coatlicue, hacia los rojizos altares de Tenochtitlan, hacia el dios despellejado, hacia todas las paradojas de la vida en la muerte y de la muerte en la vida, y la serpiente emplumada se burla y agita la cola como una carraca «clic, clic, clac», y estamos ante el Cráneo, ante el Cráneo, ante el Cráneo, mientras retumba en nuestras cabezas el gran gong de los laberintos pirenaicos, y bebemos la sangre de los toros de Altamira, bailamos con los mamuts de Lascaux, escuchamos los tambores de los shamanes, nos arrodillamos, tocamos la piedra con nuestras cabezas, orinamos, lloramos, temblamos con el eco de los tambores atlantes, martilleando cinco mil kilómetros de océano con el furor de su inexorable pérdida.
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