Traducción para "ligne aérienne" a español
Ejemplos de traducción
Il travaille pour une firme de restauration de lignes aériennes. — Vraiment ?
Trabaja en un servicio de preparación de alimentos para las aerolíneas. —¿Realmente?
Bientôt arrivèrent dans le salon de la ligne aérienne Timothy Bruce et Joël González.
Al poco rato llegaron al salón de la aerolínea Timothy Bruce y Joel González.
Putain de lignes aériennes bon marché qui ne vont jamais là où vous voulez.
Putas aerolíneas de bajo presupuesto que nunca vuelan adonde quiero ir.
Nous devions avoir la plomberie, l’électricité, le téléphone, des routes goudronnées et des lignes aériennes commerciales.
Era necesario tener agua corriente, electricidad, teléfonos, carreteras asfaltadas y aerolíneas comerciales.
C’était un Gulfstream V, le nec plus ultra des avions d’affaires. Un rayon d’action quasiment illimité, une altitude de croisière de quarante mille pieds, largement au-dessus des lignes aériennes, un habitacle ultrasilencieux.
Un Gulfstream V, la última maravilla, con una autonomía de vuelo prácticamente ilimitada y a una altitud de cuarenta mil pies, muy por encima de la habitual para los aviones de las aerolíneas.
Le pilote ivrogne de la ligne aérienne Cubana avait reçu une généreuse gratification de cinq cents pesos pour l’histoire des constructions sur la montagne, mais peut-être pourrait-il être sacrifié en lest pour raison d’insécurité.
El piloto borracho de las Aerolíneas Cubanas había recibido una bonita bonificación de quinientos pesos por la historia de la construcción en las montañas, pero quizá pudiera deshacerse de él aduciendo que era poco seguro.
Mais si l’offre est acceptée, il investira des dizaines de millions de dollars chaque année pour développer des stations touristiques, fonder une ligne aérienne, construire un énorme barrage, entretenir les routes, installer un réseau électrique… C’est l’endroit que je suis venu voir.
Pero si se acepta la oferta, ese hombre aportará decenas de millones de dólares anuales para crear un centro turístico, organizar una aerolínea, construir un enorme dique, trazar una red vial, y tender cables eléctricos… Eso es lo que he venido a ver.
Personne ne parut disposé à le contredire, car Wong, avec soin, apparaissait avec le café, et Ronald, haussant les épaules, lâcha brusquement les Waring’s Pennsylvanians et le thème qui enchantait Oliveira surgit derrière un grincement terrible, une trompette anonyme, puis le piano, voilés par une brume de vieux phonographe et de très mauvais enregistrement, d’orchestre bon marché et comme antérieur au jazz, mais, après tout, c’était de ces vieux disques, des show-boats et des nuits de Storyville qu’était née la seule musique universelle du siècle, cette chose qui rapprochait les hommes plus et mieux que l’espéranto, l’Unesco ou les lignes aériennes, une musique assez primitive pour être universelle et assez bonne pour faire sa propre histoire avec schismes, reniements et hérésies, son charleston, son black-bottom, son shimmy, son fox-trot, son stomp, ses blues, pour admettre les classifications et les étiquettes, le style ceci et cela, le swing, le be-bop, le cool, va-et-vient du romantisme et du classicisme, hot et jazz cérébral, une musique-homme, une musique avec une histoire, à la différence de la stupide musique animale du bal, polka, valse, samba, une musique qui permet de se reconnaître et de s’estimer, à Copenhague comme à Mendoza ou à Capetown, qui rapproche les adolescents avec leurs disques sous le bras, qui leur donne des noms et des mélodies comme autant de messages chiffrés pour se reconnaître, se mieux connaître et se sentir moins seuls au milieu des chefs de bureau, des familles et des amours infiniment amères, une musique qui accueille toutes les imaginations et tous les goûts, la collection des 78 tours aphones avec Freddie Keppard ou Bunk Johnson, l’exclusivisme réactionnaire du Dixieland, la spécialisation académique chez Bix Beiderbecke ou le saut dans la grande aventure de Thelonius Monk, Horace Silver ou Thad Jones, le mauvais goût d’Erroll Garner ou d’Art Tatum, les repentirs et les abjurations, les préférences pour les petits ensembles, les enregistrements mystérieux avec pseudonymes et dénominations imposées par les maisons de disques ou les caprices du moment, et toute cette franc-maçonnerie du samedi soir dans la chambre d’étudiant ou les caves, avec des filles qui préfèrent danser en écoutant Star Dust ou When your man is going to put you down et qui exhalent une odeur douce et lente de parfum, de peau et de chaleur, elles se laissent embrasser vers la fin de la soirée, quelqu’un a mis The blues with a feeling et l’on danse presque immobile en se balançant seulement, et tout est trouble, sale et canaille, et tous les garçons ont envie d’arracher ces corsages tièdes tandis que les mains caressent une épaule, et toutes les filles ont la bouche entrouverte et elles s’abandonnent à la peur délicieuse et à la nuit et alors se dresse une trompette qui les possède toutes pour tous les hommes qui sont là, qui les prend d’une seule phrase chaude et les laisse retomber comme de l’herbe fauchée entre les bras de leur compagnon, et il y a une course immobile, un saut dans l’air de la nuit au-dessus de la ville, jusqu’à ce qu’un piano minutieux les rende à elles-mêmes, épuisées, réconciliées et toujours vierges, jusqu’au samedi suivant, tout cela en une musique qui effraie les bonnes gens des places d’orchestre pour qui il ne saurait y avoir de vérité sans programme imprimé et ouvreuse, et ainsi va le monde et le jazz est comme un oiseau qui émigre ou immigre ou transmigre, saute-barrière, moque-douanes, quelque chose qui court et se répond, et ce soir Ella Fitzgerald chante à Vienne tandis que Kenny Clarke inaugure une cave à Paris et qu’à Perpignan bondissent les doigts d’Oscar Peterson et que Satchmo est partout avec ce don d’ubiquité que lui a donné le Seigneur, à Birmingham, à Varsovie, à Milan, à Buenos Aires, à Genève, dans le monde entier, c’est inévitable, c’est la pluie et le pain et le sel, cela se fiche éperdument des rites nationaux, des traditions inviolables, de la langue et du folklore, un nuage sans frontières, un espion de l’air et de l’eau, un archétype, une chose d’avant, du plus profond, qui réconcilie les Mexicains avec les Norvégiens, les Russes avec les Espagnols, les réincorpore au sombre feu central oublié, les rend, mal et maladroitement et de façon précaire, à une origine trahie, leur montre qu’il y avait peut-être d’autres chemins et que celui qu’ils ont pris n’était pas l’unique et le meilleur ou peut-être qu’il y avait d’autres chemins et que celui qu’ils ont pris était le meilleur mais aussi peut-être qu’il y avait d’autres chemins doux à prendre et qu’ils ne les ont pas pris ou qu’ils les ont pris à moitié et qu’un homme est toujours un peu plus qu’un homme et un peu moins qu’un homme, plus qu’un homme parce qu’il renferme ce que le jazz pressent, éclaire et même anticipe, et moins qu’un homme parce qu’il a fait de cette liberté un jeu esthétique ou moral, un échiquier où il se réserve d’être la tour ou le cheval, une définition de la liberté que l’on apprend dans les écoles, précisément dans les écoles où l’on n’a jamais appris et où l’on n’apprendra jamais aux enfants la première mesure d’un ragtime et la première phrase d’un blues, etc., etc.
Nadie parecía dispuesto a contradecirlo porque Wong esmeradamente aparecía con el café y Ronald, encogiéndose de hombros, había soltado a los Waring’s Pennsylvanians y desde un chirriar terrible llegaba el tema que encantaba a Oliveira, una trompeta anónima y después el piano, todo entre un humo de fonógrafo viejo y pésima grabación, de orquesta barata y como anterior al jazz, al fin y al cabo de esos viejos discos, de los show boats y de las noches de Storyville había nacido la única música universal del siglo, algo que acercaba a los hombres más y mejor que el esperanto, la Unesco o las aerolíneas, una música bastante primitiva para alcanzar universalidad y bastante buena para hacer su propia historia, con cismas, renuncias y herejías, su charleston, su black bottom, su shimmy, su foxtrot, su stomp, sus blues, para admitir las clasificaciones y las etiquetas, el estilo esto y aquello, el swing, el bebop, el cool, ir y volver del romanticismo y el clasicismo, hot y jazz cerebral, una música-hombre, una música con historia a diferencia de la estúpida música animal de baile, la polka, el vals, la zamba, una música que permitía reconocerse y estimarse en Copenhague como en Mendoza o en Ciudad del Cabo, que acercaba a los adolescentes con sus discos bajo el brazo, que les daba nombres y melodías como cifras para reconocerse y adentrarse y sentirse menos solos rodeados de jefes de oficina, familias y amores infinitamente amargos, una música que permitía todas las imaginaciones y los gustos, la colección de afónicos 78 con Freddie Keppard o Bunk Johnson, la exclusividad reaccionaria del Dixieland, la especialización académica en Bix Beiderbecke o el salto a la gran aventura de Thelonius Monk, Horace Silver o Thad Jones, la cursilería de Erroll Garner o Art Tatum, los arrepentimientos y las abjuraciones, la predilección por los pequeños conjuntos, las misteriosas grabaciones con seudónimos y denominaciones impuestas por marcas de discos o caprichos del momento, y toda esa francmasonería de sábado por la noche en la pieza del estudiante o en el sótano de la peña, con muchachas que prefieren bailar mientras escuchan Star Dust o When your man is going to put you down, y huelen despacio y dulcemente a perfume y a piel y a calor, se dejan besar cuando es tarde y alguien ha puesto The blues with a feeling y casi no se baila, solamente se está de pie, balanceándose, y todo es turbio y sucio y canalla y cada hombre quisiera arrancar esos corpiños tibios mientras las manos acarician una espalda y las muchachas tienen la boca entreabierta y se van dando al miedo delicioso y a la noche, entonces sube una trompeta poseyéndolas por todos los hombres, tomándolas con una sola frase caliente que las deja caer como una planta cortada entre los brazos de los compañeros, y hay una inmóvil carrera, un salto al aire de la noche, sobre la ciudad, hasta que un piano minucioso las devuelve a sí mismas, exhaustas y reconciliadas y todavía vírgenes hasta el sábado siguiente, todo eso en una música que espanta a los cogotes de platea, a los que creen que nada es de verdad si no hay programas impresos y acomodadores, y así va el mundo y el jazz es como un pájaro que migra o emigra o inmigra o transmigra, saltabarreras, burlaaduanas, algo que corre y se difunde y esta noche en Viena está cantando Ella Fitzgerald mientras en París Kenny Clarke inaugura una cave y en Perpignan brincan los dedos de Oscar Peterson, y Satchmo por todas partes con el don de ubicuidad que le ha prestado el Señor, en Birmingham, en Varsovia, en Milán, en Buenos Aires, en Ginebra, en el mundo entero, es inevitable, es la lluvia y el pan y la sal, algo absolutamente indiferente a los ritos nacionales, a las tradiciones inviolables, al idioma y al folklore: una nube sin fronteras, un espía del aire y del agua, una forma arquetípica, algo de antes, de abajo, que reconcilia mexicanos con noruegos y rusos y españoles, los reincorpora al oscuro fuego central olvidado, torpe y mal y precariamente los devuelve a un origen traicionado, les señala que quizá había otros caminos y que el que tomaron no era el único y no era el mejor, o que quizás había otros caminos, y que el que tomaron era el mejor, pero que quizá había otros caminos dulces de caminar y que no los tomaron, o los tomaron a medias, y que un hombre es siempre más que un hombre y siempre menos que un hombre, más que un hombre porque encierra eso que el jazz alude y soslaya y hasta anticipa, y menos que un hombre porque de esa libertad ha hecho un juego estético o moral, un tablero de ajedrez donde se reserva ser el alfil o el caballo, una definición de libertad que se enseña en las escuelas, precisamente en las escuelas donde jamás se ha enseñado y jamás se enseñará a los niños el primer compás de un ragtime y la primera frase de un blues, etcétera, etcétera.
On les branche sur la ligne aérienne.
Algunos están en combinación con la línea aérea.
— Méfiez-vous des lignes aériennes.
—No pierda de vista las líneas aéreas.
— Il n’y avait pas de pilote ivrogne sur la ligne aérienne Cubana.
—No había ningún piloto borracho en la línea aérea Cubana.
En n’empruntant jamais la même ligne aérienne deux fois de suite.
Nunca en la misma línea aérea en forma consecutiva.
Nous avons notre propre petite ligne aérienne : VAA, Voyagez Avec les Animorphs.
Tenemos nuestras propias líneas aéreas, VCA: Viaja Con Animorphs.
— Passagers des lignes aériennes, dit-il à un employé. — Quelle ville ? — Bangkok.
—Pasajeros de líneas aéreas —le dijo al empleado. —¿Qué ciudad? —Bangkok.
L’avion des lignes aériennes libyennes se tenait prêt à décoller.
El avión de las líneas aéreas libias se encontraba listo para el despegue.
Une mention dans le livre de Robbins sur Air America, la ligne aérienne de la CIA.
Una mención en el libro de Robbins sobre Air America, la línea aérea de la CIA.
L'employé de la ligne aérienne qui les avait escortés dans le bureau ouvrit soudain la porte.
El oficial de las líneas aéreas que los había llevado a la habitación abrió súbitamente la puerta.
Il vérifia son agenda et les horaires des lignes aériennes qu’il transportait toujours dans sa serviette.
Examinó su diario y el horario de las líneas aéreas que llevaba siempre en su portafolios.
(Une vente à une ligne aérienne trois mois après la sortie ?
(¿Una venta de los derechos a alguna compañía aérea, sólo tres meses después del estreno?
Elle ne connaissait pas du tout les lignes aériennes, aussi se rendit-elle dans une agence de voyages, juste pour demander.
Como no estaba familiarizada con las compañías aéreas, visitó a un agente de viajes, sólo para informarse.
Soupir d’Avi. — Toutes les lignes aériennes en sont équipées aujourd’hui, annonce-t-il d’une voix monotone.
Avi lanza un suspiro. —Ahora los tienen en todas las compañías aéreas —señala con voz monótona.
Je me suis dit que tu aurais peut-être du mal à avoir un avion pour Rochester. Je suppose que ce doit être la pagaille sur les lignes aériennes.
He estado pensando que quizás tuvieras problemas para conseguir plaza en un vuelo a Rochester, supongo que todas las compañías aéreas andarán hechas un lío.
Aucun avocat de Samoa ayant sa tête à lui ne va se ramener dans les cabines de détection de pièces métalliques d’une ligne aérienne commerciale avec un gros Magnum. 357 noir sur lui…
Ningún abogado samoano en su sano juicio se arriesga a cruzar las puertas de una compañía aérea comercial, provistas de un detector de metales, con una Magnum 357 gorda y negra sobre su persona…
Il franchit les portes et s’arrêta juste après. Les comptoirs des différentes lignes aériennes s’alignaient tout le long du large hall. À première vue, personne qui eut l’air de flâner de façon suspecte ou de vouloir se faire trop discret pour être honnête. Prudent quand même, Robert resta là où il était.
Robert entró en el edificio de la terminal y se detuvo al lado de la puerta. Había varios mostradores de distintas compañías aéreas diseminados por la amplia terminal. No parecía haber nadie holgazaneando ni oculto detrás de las columnas. Por precaución, permaneció donde estaba.
Un pilote de ligne aérien aurait, dès réception du message du Centre de Washington, lancé son appareil dans un violent virage vers la droite. Il aurait remarqué le ton angoissé du contrôleur, il n’aurait pas perdu son temps à résoudre, à poser des questions. Un pilote de ligne aurait ignoré les conséquences mineures de la manœuvre pour se concentrer entièrement et uniquement sur la nécessité d’échapper au danger imminent que l’ordre du Centre impliquait. Derrière lui, dans la cabine, les passagers renverseraient peut-être leur café bouillant ou leurs assiettes, peut-être y aurait-il quelques blessés légers. Par la suite, il y aurait sûrement des réclamations, des excuses à fournir.
Un piloto de compañía aérea, al recibir el mensaje del Centro Washington, hubiera dado la vuelta a la derecha sin perder un segundo, espoleado por la nota de urgencia en la voz de Keith; hubiera actuado sin esperar, ni dar explicaciones; sin vacilaciones ni demoras de ninguna clase, sin tener en cuenta las consecuencias, pensando sólo en la desesperada urgencia de escapar del peligro indicado sin ambages por el operador de radar, sin importarle que a sus espaldas, en la cabina de pasajeros, el café hirviendo se volcara, la comida se desparramara y algunos resultaran con heridas leves.
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