Traducción para "la frappe" a español
La frappe
Ejemplos de traducción
Mais les porcs avaient toujours leurs quotas, et maintenant, ils nous avaient donné les instruments pour frapper.
Pero los cerdos seguían con sus cuotas, y ahora se nos había brindado el arma de la huelga.
Juste avant l’aube, plusieurs centres de télédiffusion, plateformes Internet et autres principaux commutateurs téléphoniques ont subi des frappes simultanées.
Poco antes del amanecer hubo huelgas simultáneas en los estudios de televisión, servidores de Internet y en las centrales telefónicas.
C’est dire le réconfort que je ressens deux fois par jour quand Sandrine frappe à la porte, passe une frimousse d’écureuil pris en faute et chasse d’un coup tous les mauvais esprits.
Huelga decir lo reconfortante que me resulta cuando, dos veces al día, Sandrine llama a la puerta, asoma una carita de ardilla pillada en falta y ahuyenta de golpe todos los malos espíritus.
On dresse le bilan, ce jour est passé sans qu’un seul salaire soit gagné, combien d’autres jours seront ainsi, c’est selon les endroits, là-bas le latifundium a cédé au bout de deux jours, ailleurs au bout de trois, ailleurs encore au bout de quatre, et il y a eu des endroits où ce jeu de je-te-pousse-tu-me-pousses pour voir qui a plus de force et plus de patience a duré des semaines, à la fin les hommes n’allaient plus au travail pour savoir si on les acceptait à leurs conditions, ils restaient dans les bourgs, cette fois en grève, et quand les choses ont pris cette tournure, il n’en a pas fallu davantage pour que la garde retrouve son habitude de frapper et les machines de guerre se sont mises à sillonner le latifundium d’un bout à l’autre, inutile de répéter, tout le monde est au courant.
Echan cuentas, en este día no hay salario, cuántos vendrán así, depende de los lugares, en algún sitio se rindió el latifundio al cabo de dos días, en otros sitios tres, en otros cuatro, y hubo lugares donde pasaron semanas en este juego de comprobar quién tiene más fuerza y más paciencia, al final los hombres no iban ya al trabajo a ver si los aceptaban con estas condiciones, se quedaban en los pueblos, ahora sí es huelga, y cuando esto se hizo hábito, ya no fue preciso más, volvió la guardia a su costumbre de apalear, y de un extremo a otro del latifundio anduvieron las máquinas de guerra, no vale la pena repetirlo, no hay ya quien no lo sepa.
Et alors les hommes commencent à arriver, ensemble et à l’heure qu’ils ont choisie, ils disent aimablement bonjour, pourquoi être rancunier, et quand il est huit heures ils se mettent au travail, il en a été décidé ainsi partout aux alentours, mais Dagoberto pousse un hurlement, Halte-là, et tous s’arrêtent pour le regarder d’un air innocent, Qu’est-ce qu’il y a, patron, tant de sérénité est à vous rendre fou, Qui vous a ordonné de venir travailler à cette heure, demande Norberto, et dans cette équipe-ci c’est Manuel Espada qui est chargé de répondre, C’est nous qui l’avons décidé, les huit heures sont déjà en vigueur dans certains endroits, nous ne sommes pas inférieurs aux camarades des autres villages, et Berto s’avance vers lui de l’air de quelqu’un s’apprêtant à frapper, mais non, il n’ose pas, Sur mes terres à moi, l’horaire de travail est ce qu’il a toujours été, du lever au coucher du soleil, maintenant à vous de décider, soit vous restez et demain vous devrez me restituer le temps que vous avez perdu ce matin, soit vous partez, je ne veux personne ici, Voilà comment il faut parler, dira dona Clemência, quand son mari se vantera de son attitude, et après, Après, ce Manuel Espada, celui qui a épousé la fille de Mau-Tempo, c’était lui le meneur du groupe, a répondu, oui, monsieur, nous partons, et ils sont tous partis, et quand ils se dirigeaient vers Monte Lavre António Mau-Tempo a demandé, Et maintenant, que ferons-nous, non pas qu’il fût inquiet ou apeuré, il aidait son beau-frère en posant cette question, et celui-ci a répondu, Maintenant on fait ce qui a été décidé, on se réunit sur la place, si la garde se pointe pour nous chercher des poux sur la tête, chacun rentre chez soi, et demain nous retournons travailler, nous démarrons à huit heures, comme aujourd’hui, c’est plus ou moins ce que João Mau-Tempo a dit dans une autre équipe, et Sigismundo Canastro dans la sienne, et ils se sont tous retrouvés sur la place de l’embauche des journaliers et ils ont vu passer la garde, le caporal Tacabo s’est approché, Alors comme ça vous ne voulez pas travailler, Si, monsieur, nous voulons travailler, mais seulement huit heures, et le patron n’accepte pas, il n’y a pas de vérité plus vraie que celle-ci, mais le caporal vérifie les affirmations, Alors, ceci n’est pas une grève, Non, monsieur, ce n’est pas une grève, nous voulons travailler, c’est le patron qui nous a renvoyés, il dit qu’il n’accepte pas les huit heures, et c’est à cause de cette réponse claire que le caporal Tacabo dira plus tard, Je ne sais pas quoi faire, monsieur Dagoberto, les hommes disent qu’ils veulent travailler, que c’est vous qui, et il ne peut même pas terminer sa phrase, Dagoberto bondit, Ce sont des fainéants, soit ils travaillent du lever au coucher du soleil, soit ils meurent de faim, sur mes terres il n’y a pas de travail pour eux, et que je sache le gouvernement n’a pas donné l’ordre de travailler huit heures et même s’il l’avait donné, sur mes terres c’est moi qui commande, c’est moi le patron, et sur ces paroles la conversation avec le caporal Tacabo a pris fin et la journée s’est terminée ainsi, chacun chez soi, les femmes demandant ce qui s’était passé, comme nous avons vu faire dona Clemência et c’est aussi le droit des autres.
Qué pasa, amo, tanta serenidad puede enloquecer a un hombre, Quién os ha dado orden para venir a trabajar a esta hora, quiere saber Norberto, y en esta cuadrilla es Manuel Espada quien tiene incumbencia para responder, Lo hemos decidido nosotros, ya hay sitios donde trabajan las ocho horas, no somos menos que los camaradas de otras tierras, y Berto se va hacia él, parece como si fuera a pegarle, pero no, a tanto no se atreve, En mis tierras el horario de trabajo es el que siempre fue, el que quiera trabajar ya sabe, de sol a sol, y ahora decidid, o bien os quedáis y mañana compensáis el tiempo que habéis perdido hoy, o bien os largáis, que aquí no quiero a nadie, Así se habla, dirá doña Clemencia cuando el marido se jacte de sus hazañas, y después, Después, ese Manuel Espada, que está casado con la hija de Maltiempo, y él era el cabecilla del grupo, respondió sí señor, nos vamos, y se fueron todos, y cuando volvían a Monte Lavre preguntó Antonio Maltiempo, Y ahora, qué haremos, no porque estuviera inquieto o temeroso, pues ayudaba al cuñado con la pregunta, y él respondió, Ahora hacemos lo acordado, nos reunimos en la plaza, si aparece la guardia y quiere armar follón, se va cada uno a su casa y mañana volvemos al trabajo, a las ocho empezamos a segar, como hoy, éstas fueron más o menos las palabras que Juan Maltiempo dijo en otra cuadrilla, y Sigismundo Canastro en la suya, y así se encontraron todos en la plaza y vieron pasar a la guardia, y vino el cabo Tacabo, O sea que no queréis trabajar, Sí señor, queremos, pero sólo las ocho horas, y el amo no quiere admitirlo, no hay verdad más verdadera que ésta, pero el cabo sigue con sus averiguaciones, Entonces esto no es una huelga, No señor, nosotros queremos trabajar, fue el amo quien nos mandó para casa, dice que no da las ocho horas, y por esta clara respuesta el cabo Tacabo dirá más tarde, No sé qué hacer, señor Dagoberto, ellos dicen que quieren trabajar, que es usted el que, y no llega a acabar la frase, salta Dagoberto, Unos gandules son, o trabajan de sol a sol, o se van a morir de hambre, en mis tierras no hay trabajo para ellos, que yo sepa el gobierno no ha dado orden de que se trabaje sólo ocho horas, y aunque la diera, en mis tierras mando yo, que soy el amo, y con esto se acabó la charla con el cabo Tacabo y el día terminó así, cada uno en su casa, las mujeres queriendo saber lo sucedido, como ya vimos con doña Clemencia, cosa que es también derecho de las otras.
el golpe
C’est une frappe totale.
Esto es un golpe general.
On frappe à la porte.
Un golpe en la puerta.
Je le frappe de nouveau.
Lo interrumpo con otro golpe.
— Pourquoi m’as-tu frappé ?
—¿Por qué me has dado ese golpe?
Il avait frappé fort.
Fue un golpe muy fuerte.
On frappe à la fenêtre.
Un golpe en la ventana.
Ce fut comme si elle l’avait frappé.
Era como un golpe físico.
— Et c’est à ce moment-là que tu l’as frappé ?
—¿Y tú le has dado un golpe?
Parce qu’on l’avait frappé ?
¿Por haber recibido un golpe?
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