Traducción para "est nous apporter" a español
Est nous apporter
Ejemplos de traducción
— Pouvez-vous m’apporter le menu ?
—¿Puede traernos la carta?
Pour nous apporter une offre d’alliance.
Para traernos una propuesta de una alianza.
Est-ce qu'on peut nous apporter les mallettes ? »
¿Podrían traernos los maletines?
— Nous apporter à manger, mais nous avons refusé.
Traernos comida, pero no quisimos.
Pouvez-vous nous en apporter un pour notre village ?
¿Podrías traernos uno para el culto?
— On va nous apporter des sandwiches…
—Van a traernos bocadillos…
— Elle veut nous apporter l’électricité. — Et toi ?…
—Quiere traernos la luz. —¿Y tú?…
C’est à la gloire à nous apporter la fortune.
A la gloria le corresponde traernos la fortuna.
Les singes ne s’occupèrent de nous que pour nous apporter à manger.
Los monos no se ocuparon de nosotros más que para traernos comida.
Qui es-tu ? Pourquoi nous apportes-tu de telles malédictions ?
¿Quién eres, para traernos tales maldiciones?
Il faut qu’on apporte un pique-nique.
Tenemos que llevarnos la comida.
« Nous parlons d’un apport de fonds majeur, une subvention exceptionnelle qui peut nous amener directement à l’achèvement du projet.
Estamos hablando de fondos importantes, una subvención especial que podría llevarnos directamente a completar el proyecto.
N’indiquent-ils pas que l’auberge est moins démunie qu’en Espagne et qu’on y trouve parfois des plats que, faute de connaître le futur, on n’a pu y apporter ?
¿No indican que el albergue está menos desabastecido que en España y que a veces se encuentran allí platos que, como no conocemos el futuro, no hemos podido llevarnos?
Mais ils étaient tous d’avis que nous étions en grand danger ; et les chers vieillards s’engagèrent à nous aider de toutes les manières possibles – à nous apporter de la nourriture et de l’eau et à nous dissimuler à nos ennemis.
Sin embargo, todos los que habían ido de visita estuvieron de acuerdo en que Nalte, Duare y yo peligrábamos y nos aseguraron que nos ayudarían, es decir, en llevarnos alimentos y agua, y en ocultarnos de nuestros enemigos.
L’infirmière, venue en auto nous apporter à manger le dernier soir, s’appelait Mme Bauche et était, à mes yeux, le personnage principal, de sorte que, comme un écolier qui veut conquérir la faveur de son maître, je portais sur elle toute mon attention.
La enfermera, que había llegado en coche la noche anterior para llevarnos la comida, se llamaba señora Bauche y era, a mis ojos, el personaje principal del lugar, de modo que, como un escolar que quiere obtener el favor de su maestro, le dedicaba toda mi atención.
À six heures, il se réveillait le premier, il se rasait, s’habillait, il passait le tablier de maman pour presser des oranges dont il tiédissait le jus au bain-marie avant de nous l’apporter au lit, car il est bien connu qu’on risque de s’enrhumer en buvant glacé.
A las seis se levantaba el primero, se afeitaba, se vestía, se ponía el delantal de mi madre y se dirigía a la cocina a hacernos a mi madre y a mí un zumo de naranja que calentaba un poco en agua hirviendo, al baño María, para llevarnos a cada uno un vaso de zumo tibio a la cama, porque un zumo frío, como es sabido, puede provocar un catarro.
Nous avons évoqué l’année de notre entrée à l’atelier — nous avions le même âge — et notre désarroi, alors, d’être arrachés à notre mère pour commencer une nouvelle vie. Les coups que nous avons reçus dès le premier jour, la joie des premiers cadeaux apportés par le Grand Trésorier, et les jours de sortie, quand nous rentrions dans nos foyers en courant à toutes jambes.
En aquel estado mental recordamos cómo habíamos sido entregados como aprendices al taller el mismo año, la extraña tristeza de ser apartados de nuestras madres y de comenzar de repente una vida nueva, el dolor de los golpes que habíamos empezado a llevarnos ya el primer día, la alegría de los primeros regalos del Tesorero Imperial y los días en que regresábamos a todo correr a nuestras casas.
Alors, Sara da Conceição, qui avait si longtemps gardé le silence sur sa vie, demanda à une voisine qui savait lire et écrire de lui rédiger une lettre et ce fut comme si on lui arrachait l’âme, ce n’était pas pour ça qu’elle avait voulu son homme, Père, pour l’amour de Dieu, je vous demande de venir me chercher avec vos ânons et la charrette, afin que je sois auprès de vous dans mon village, et de me pardonner la peine et le chagrin que je vous ai causés, et aussi votre résignation, je me repens grandement de ne pas avoir écouté les conseils que vous m’avez donnés si souvent de ne pas faire ce mariage malheureux, un homme qui ne m’a apporté que de l’amertume, de la souffrance, de la misère et de la tristesse et des coups, vous m’aviez avertie, j’ai dédaigné ces avertissements, phrase finale ajoutée par la voisine et tirée de son fonds littéraire, conciliant classicisme et modernité avec une louable hardiesse.
Entonces, Sara de la Concepción, que había callado tanto tiempo aquella vida, le pidió a una vecina letrada que le escribiera una carta, y fue como si le salieran las entretelas del alma, no eligió marido para esto, Padre, por amor de Dios le pido que venga a buscarnos con sus burros y el carro, para llevarnos a su lado, a mi tierra, y me perdone los trabajos y disgustos que le he dado, también su resignación, con mi arrepentimiento de no haber obedecido los consejos que tantas y tantas veces me dio, de que no hiciera este infeliz casamiento, un hombre que sólo amarguras me ha dado, he sufrido lo peor, miserias y disgustos y palizas, bien avisada fui, mal avisada anduve, frase final que de su caudal literario añadió la vecina, conciliando lo clásico y lo moderno con plausible resultado.
Il décida donc de se taire, mais la volonté inconstante fluctue tellement dans l’aquarium virtuel de notre tête que la minute d’après il disait à Marta, Je viens de me souvenir que nous ne pourrons pas emmener Trouvé dans le Centre, ils n’acceptent pas les chiens, ça va être un problème difficile à résoudre, pauvre bête, il faudra l’abandonner, On trouvera peut-être une solution, dit Marta, J’en conclus que tu as déjà réfléchi à la question, Oui, depuis un bon bout de temps, Et ça serait quoi cette solution, Je me suis dit que ça ne dérangerait pas trop Isaura de s’occuper de Trouvé, je pense même que ce serait une grande joie pour elle, d’ailleurs ils se connaissent déjà, Isaura, Oui, Isaura, la femme de la cruche, tu te souviens, qui nous a apporté un gâteau, qui est passée me voir la dernière fois que nous sommes allés déjeuner chez tes parents, L’idée me semble bonne, Je pense que pour Trouvé ce sera le mieux, Reste à savoir si ton père y consentira, Une moitié de lui-même protestera, nous le savons, elle dira non, pas question, une femme seule n’est pas une bonne compagnie pour un chien, il est parfaitement capable, je l’imagine déjà, de nous inventer une théorie sur leur manque d’affinités, de nous dire que d’autres personnes ne seraient que trop ravies de recueillir l’animal, mais nous savons aussi que l’autre moitié de lui-même désirera, avec toute la force du désir, que la première moitié ne l’emporte pas, Comment vont leurs amours, demanda Marçal, Pauvre Isaura, pauvre père, Pourquoi dis-tu pauvre Isaura, pauvre père, Parce qu’il est évident qu’elle l’aime, mais elle ne réussit pas à passer par-dessus la barrière qu’il a érigée, Et lui, Lui c’est de nouveau l’histoire des deux moitiés, une moitié ne pense probablement qu’à ça, Et l’autre, L’autre a soixante-quatre ans, l’autre a peur, Les êtres humains sont vraiment très compliqués, Tu dis vrai, mais si nous étions simples nous ne serions pas des êtres humains.
Tomó pues la decisión de callarse, pero, qué verdad es ésa de la fluctuación inconstante de la voluntad en el acuario virtual de nuestra cabeza, un minuto después le estaba diciendo a Marta, Me acabo de dar cuenta de que no podemos llevarnos a Encontrado al Centro, no aceptan perros, va a ser un problema serio, pobre animal, tenerlo que dejar por ahí abandonado, Quizá se consiga encontrar una solución, dijo Marta, Concluyo que ya habías pensado en el asunto, se sorprendió Marcial, Sí, había pensado, hace mucho tiempo, Y esa solución, cuál sería, Pienso que a Isaura no le importaría hacerse cargo de Encontrado, incluso creo que sería para ella una gran alegría, además ya se conocen, Isaura, Sí, Isaura, la del cántaro, te acuerdas, la que nos trajo el bizcocho, la que vino a hablar conmigo la última vez que fuimos a almorzar a casa de tus padres, La idea me parece buena, Para Encontrado será lo mejor, Falta saber si tu padre estará de acuerdo, Ya se sabe que una mitad de él protestará, dirá que no señor, que una mujer sola no es buena compañía para un perro, imagino que es capaz de inventarnos una teoría de diferencias como ésta, qué seguramente habrá otras personas que no tendrán inconveniente en acoger al animal, pero también sabemos que la otra mitad deseará, con todas las fuerzas del deseo, que la primera no gane, Cómo van esos amores, preguntó Marcial, Pobre Isaura, pobre padre, Por qué dices pobre Isaura, pobre padre, Porque está claro que ella lo quiere, pero no consigue traspasar la barrera que él ha levantado, Y él, Él, él es una vez más la historia de las dos mitades, hay una que probablemente no piensa nada más que en eso, Y la otra, La otra tiene sesenta y cuatro años, la otra tiene miedo, Realmente las personas son muy complicadas, Es verdad, pero si fuéramos simples no seríamos personas.
Ce qui dans le noir a l’air d’un arbre peut être une mendiante édentée et grelottante qui, en débitant son chapelet de misères et de maladies, vous conduira à un terrain vague où la bande sanguinaire se jettera sur vous… mieux vaut ne pas sortir seul la nuit dans ce quartier qui n’est plus ce qu’il était avant, au bon temps, il est mal famé, avec ces vieilles… mais comment ça peut être vrai… ça doit être une blague… personne n’y croit… non, c’est la pure vérité… mais comment peut-on croire qu’un groupe de vieilles mendiantes sorties d’on ne sait où a envahi ce quartier si tranquille, on dit qu’il y a des gens qui veulent déménager, on dit que chez le type qui fait l’achat et la vente des revues, elles sont entrées demander l’aumône quand il était seul et qu’à six elles sont parties avec la caisse, il vaut mieux chercher une chambre dans une autre pension loin d’ici, il est dangereux de sortir la nuit car tout à coup un morceau de nuit prend forme humaine et vous vole le peu que vous avez dans vos poches, ça suit les gens, tout doucement, et soudain ce qui avait l’air d’une ombre se rebelle, change de forme et attaque, voilà ce qui se passe, il est possible que ces vieilles dont on parle tant dans le quartier ne soient que les ombres de la peur de chacun, mais s’il y a beaucoup de vieilles… enfin, je ne sais pas s’il y en a beaucoup, mais on dirait qu’il y en a plus qu’avant… elle sort, la tête emmitouflée dans son châle, se glissant le long des murs, seule, mais en la voyant avancer seule, voûtée et éclopée, on sait qu’il y a un groupe armé au coin de la rue, de sorte qu’on traverse immédiatement en direction du réverbère de l’autre trottoir, mais on aperçoit un couple de vieilles cachées dans l’embrasure d’une porte un peu plus loin, alors on veut se tenir au milieu de la rue et on donne sur un groupe d’ombres en marche, on veut revenir en arrière et il n’y a qu’un mur sans fenêtres car je les ai toutes murées et j’ai imité la vétusté au pinceau pour que personne ne puisse soupçonner les manques, ce ne sont que des visages, que des haillons, parfois ça attaque et parfois non, c’est une question de chance, car on ne peut pas avoir peur de petites vieilles qui se défilent comme des souris et puis viennent ici à la chapelle partager leur butin et manger un morceau, ce paletot de femme forte, je vais l’apporter en cadeau à Mercedes Barroso, et cette chaîne de montre en or à la Brígida, elle va être contente, la pauvre. — J’ai vu Iris. — Où ? — Par ici tout près. — Comment était-elle ?
Algo que en la sombra parece tronco de árbol puede ser una pordiosera desdentada y tiritona que con su cantinela de miserias y enfermedades puede llevarlo a uno a un baldío y la bandada sangrienta se puede lanzar sobre uno… mejor no andar solo de noche por este barrio que no es lo que era antes, en los buenos tiempos, está maleado por estas viejas… pero cómo va a ser cierto… debe ser mentira… nadie cree… la pura verdad… cómo vamos a creer que un grupo de pordioseras ancianas salidas quién sabe de dónde haya invadido este barrio tan tranquilo, dicen que hay gente que quiere cambiarse a otros barrios, dicen que al cabro ese del negocio de compraventa de revistas entraron a pedirle limosna cuando estaba solo y que entre seis viejas le robaron la caja, mejor buscar en otra pensión lejos de aquí, es peligroso salir de noche porque un pedazo de noche de repente se encarna y cae sobre uno para robarle lo poco que lleva en los bolsillos, siguen a la gente, despacito, y de pronto eso que parecía sombra se rebela y se deforma y ataca, eso es lo que pasa, puede ser que esas viejas de que están hablando tanto aquí en el barrio no sean más que las sombras de los miedos, pero de haber muchas viejas… en fin, no sé si muchas pero parece que hubiera más viejas que antes… sale con su cabeza arrebozada en su chal, arrastrando chancletas, deslizándose junto a la pared, sola, pero cuando uno la ve avanzando sola, encorvada y renga, uno sabe que hay un grupo armado esperando detrás de la esquina, así es que uno inmediatamente cruza hacia el farol de la otra vereda, pero divisa a un par de viejas ocultas en el umbral de la casa de más allá, entonces uno sale al medio de la calle y se encuentra con un grupo de sombras que avanzan, y uno quiere volver atrás pero hay sólo un muro sin ventanas porque yo las tapié todas y con mi pincel simulé vejez para que nadie note ausencias, sólo rostros, sólo harapos, a veces atacan y a veces no, es cuestión de suerte porque no se puede tenerles miedo a viejecitas que se escabullen como lauchas y después llegan aquí a la capilla con su botín, a repartirlo, a comer cosas para llevarnos, este paltó de señora gorda se lo voy a llevar de regalo a la Mercedes Barroso, y esta cadena de reloj de oro a la Brígida que va a estar contenta la pobre. —Vi a la Iris. —¿Dónde? —Por aquí cerca. —¿Cómo?
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test