Traducción para "elle couvre" a español
Elle couvre
Ejemplos de traducción
Il la couvre de salive.
La cubre de saliva.
Il se couvre les oreilles.
Se cubre las orejas.
Il le couvre de sa nuée,
Lo cubre de nubes,
Je me couvre les oreilles.
Me cubro las orejas.
Il les couvre d’une bâche.
Los cubre con una lona.
Le sable les couvre.
La arena los cubre.
— Tu couvres mes arrières ?
– ¿Me cubres las espaldas?
Je couvre sa bouche dans la mienne.
Cubro su boca con la mía.
Ou que tu te couvres de poils.
O puede que te cubras de vello.
— Tu te couvres de cendres.
—Te cubres con cenizas de penitente.
tapas de ella
– Couvre-toi donc, voyons !
—¡A ver si te tapas!
Parfois tu te couvres la tête avec, parfois non.
A veces te tapas la cabeza, y otras, no.
Et en même temps que je lui disais ça, je me demandais si "t'emballe pas" ça voulait dire: ne te couvre pas la peau ainsi, laisse-la moi, je t'en prie.
Y mientras le decía eso, me preguntaba si «no te embales» quería decir: no te tapes la piel así, déjamela, por favor.
Il parcourut la pièce des yeux, voyant tout ce qu'elle contenait sous un jour nouveau : le couvre-lit style cow-boy, la photo de sa mère sur un mur, et celle, portant un autographe, de Clayton Moore avec son masque (obtenue en collectionnant des coupons sur des paquets de céréales) ;
Echó una ojeada alrededor, viendo sus cosas con ojos nuevos: la colcha con el vaquero estampado, el retrato de su madre en una pared y en otra la fotografía firmada —obtenida reuniendo las tapas de las cajas de cereales— de Clayton Moore con su antifaz de Llanero Solitario, los patines en un rincón (uno con la correa rota), el pupitre.
Dehors, l’hiver, dans la rue qui se vidait bien avant huit heures du soir à cause du couvre-feu imposé par les Anglais ou par la force de l’habitude, sifflait une bise affamée qui s’en prenait aux couvercles des poubelles devant les portes des maisons, effrayait les cyprès et les chiens errants et éprouvait de ses doigts opaques les cuvettes suspendues aux balcons.
Fuera, en la calle, que se quedaba siempre vacía antes de las ocho de la tarde, por el toque de queda impuesto por los británicos o por costumbre, en las noches de invierno silbaba un viento famélico. El viento atormentaba las tapas de los cubos de basura que estaban junto a las puertas de las casas, espantaba a los cipreses negros y a los perros callejeros y ponía a prueba con sus dedos negros los barreños metálicos que colgaban de las barandillas de los balcones.
et il te dit cela pendant que tu te couvres la tête et tu dis ça passera, comme si c’était un mot d’ordre de la guerre d’Espagne, no pasàran, ils ne passeront pas, mais ça ne passe pas et ça continue, ça ne vous lâche pas, marque fidèle du métier, la peur des mots qui n’existent pas, des phrases qui disent le contraire, des idées insaisissables, des paysages indiscernables, des personnages erratiques, des intrigues vagabondes, blessées à mort, et maudit soit le livre qui vous tombe alors entre les mains parce qu’il n’y a pas une odeur d’encre ou une phrase capable de transformer le cauchemar en rêve et le rêve en ce calme que l’on ressent lorsque l’on met le point final, même si après il faut corriger cent fois, et le meilleur roman est celui qui ne se termine jamais, que l’on n’écrit jamais, auquel on pense tout le temps, celui que l’on porte en soi pour toujours et qui mourra avec vous à cause de ce mariage absurde entre le livre qui ne sera jamais fait et l’homme qui jamais ne l’écrira.
y dícete eso mientras te tapas la cabeza y dices ya pasará, como si fuera consigna de la guerra española, no pasarán, pero no pasa y sigue aquí con uno acompañándolo fiel huella de oficio el miedo a las palabras que no existen, a las frases que dicen lo contrario, a las inasibles ideas, a los paisajes incapturables, a los personajes erráticos, las tramas vagabundas, heridas de muerte, y maldito que sea el libro que entonces cae en las manos porque no hay olor a tinta ni frase que haga de la pesadilla sueño y del sueño esa tranquilidad que da poner los puntos finales, aunque luego haya que corregirlos mil veces y la mejor novela sea la que nunca termina, la que nunca se escribe, la que siempre se piensa, la que trae uno dentro para siempre y morirá con uno a causa de ese matrimonio absurdo entre el libro que nunca será hecho y el hombre que nunca lo escribirá.
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