Traducción para "des millions de familles" a español
Des millions de familles
Ejemplos de traducción
Et puisqu’il y avait plus de trente millions de familles chrétiennes en Amérique, contre un million de familles juives, pourquoi s’en faire ?
Puesto que había más de treinta millones de familias cristianas en Estados Unidos y solo alrededor de un millón de familias judías, ¿por qué, realmente, habría de molestarles?
Pour quelle raison, et ce dans n’importe quel coin de la planète, des millions de familles éprouvaient-elles le besoin de poser un bibelot de chien sur leur télé ?
¿Por qué en prácticamente todos los rincones del mundo millones de familias sentían la necesidad de poner una figurita de un perro sobre sus televisores?
Qu’est-ce qu’on a fait, nous trois, pendant ces treize ans, que n’aient pas fait des millions d’autres familles dans des maisons semblables, d’un bout à l’autre du pays ?
¿Qué hicimos nosotros tres en esa casa durante trece años que no hicieran millones de familias en casas idénticas de todo el país?
Non seulement pour fabriquer des monstres du ring, mais — comme avec le “vaccin” — pour satisfaire, chez des centaines de millions de familles, cette ancestrale envie, cette “obligation”
No solamente para fabricar monstruos del ring, sino (como con la “vacuna”) para satisfacer, en cientos de millones de familias, ese deseo ancestral, esa “obligación”
au sud de la Méditerranée et notamment dans les Balkans, des millions de copies de cette salière avaient participé à la vie quotidienne de millions de familles durant de longues années.
y a lo largo de los años a partir del Mediterráneo sur y los Balcanes millones de familias usaron en su vida cotidiana millones de copias del mismo salero.
Elle prenait, je pense, un plaisir par procuration à la vie que je m’étais créée – comme si ma vie avait quelque chose de spécial, comme s’il n’existait pas des millions de familles identiques à la mienne qui essayaient de s’en sortir en cette époque difficile.
Creo que, de alguna forma, le atraía la vida que había decido llevar (como si le pareciera exótica, como si ignorara que había millones de familias como la mía que se las apañaban como podían en estos tiempos tan duros).
Nous écoutâmes à la radio son discours d’investiture. Depuis près de huit ans, ce timbre de voix, plein de l’assurance propre à la grande bourgeoisie, permettait à des millions de familles ordinaires, comme la nôtre, de garder espoir au milieu des épreuves.
Escuchamos por la radio su discurso de aceptación, pronunciado en el tono de clase alta y lleno de confianza que, en el curso de casi ocho años, había estimulado a millones de familias corrientes como la nuestra a mantener la esperanza en medio de las penalidades.
Mais il avait aussi créé un trou noir de silence, duquel tout devait rester à bonne distance, dans lequel tant de choses étaient englouties, et dont une cuillérée pesait plus lourd qu’un million de soleils consumant un million de photos d’un million de familles sur un million de lunes.
Pero también había creado un agujero negro de silencio respecto al cual todo debía mantener una distancia de seguridad, que se había tragado un montón de cosas, y una cucharadita del cual pesaba más que un millón de soles consumiendo un millón de fotos de un millón de familias en un millón de lunas.
Nous portions le même regard sur l’horloge qui apparaissait à l’écran que sur le drapeau qui s’affichait au son de la Marche de l’Indépendance quand les programmes s’arrêtaient : dans notre coin, juste au moment où nous commencions à dîner ou éteignions la télévision pour clore la soirée, nous sentions la présence de millions de familles en train de faire de même, la multitude de ceux qu’on appelait le peuple, la puissance du pouvoir qu’on appelait l’État et notre propre insignifiance.
Nuestra forma de ver el reloj que aparecía en la pantalla se parecía a la manera en que contemplábamos la bandera que, acompañada por el himno nacional, aparecía en la pantalla al cierre de la emisión: en nuestro propio rincón, justo cuando empezábamos a cenar o cuando apagábamos el televisor a punto de terminar la velada, sentíamos la presencia de millones de familias que estaban haciendo lo mismo, la multitud llamada nación, la fuerza de ese poder llamado Estado y nuestra propia insignificancia.
Je me l’imaginais un soir, à l’heure du dîner, venant frapper à la porte de service de notre appartement, ses cheveux noirs de nouveau répandus sur les épaules, vêtue de la longue robe brodée qu’elle portait dans Le Prince étudiant, ma gracieuse, ma rieuse sœur dont l’apparition sur une scène faisait jaillir de mes yeux des larmes d’orgueil, notre Lily Pons, notre Galli-Curci, revenant vers nous plus ravissante que jamais et intacte : « Il fallait que je le fasse, expliquait-elle tandis que nous nous précipitions tous les trois pour l’embrasser, autrement cela n’aurait eu aucun sens. » En un mot, je n’arrivais pas facilement à me résigner à l’idée que j’avais une sœur en banlieue dont les occupations et le cadre de vie – vulgaires aux yeux d’un étudiant snob de seconde année, un élitiste qui lisait déjà les écrits d’Allen Tate sur le sublime, et les ouvrages du docteur Leavis sur Matthew Arnold à son petit déjeuner – ressemblaient plus ou moins à ceux de millions et de millions de familles américaines.
La imaginaba una noche a la hora de la comida, golpeando la puerta de servicio de nuestro apartamento, con el pelo suelto sobre los hombros, como antes, vestida con el mismo vestido largo bordado que había usado en El príncipe estudiante: mi hermosa y vivaz hermana, cuya aparición en el escenario hacía que se me saltaran las lágrimas de orgullo, nuestra Lily Pons, nuestra Galli-Curci, nos era devuelta, encantadora como siempre y no corrompida: «Tenía que hacerlo —nos explicaba cuando los tres corríamos a abrazarla—, si no, no habría tenido sentido». En resumen, me costaba reconciliarme con el hecho de tener una hermana en las afueras. Yo, un universitario arrogante, un elitista que ya leía a Allen Tate sobre lo sublime, y los del profesor Leavis sobre Matthew Arnold mientras desayunaba un tazón de cereales. Los pasatiempos y los adornos de ella me parecían tan vulgares como los de millones y millones de familias norteamericanas.
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