Traducción para "recurrente" a francés
Ejemplos de traducción
Recurrentes e incontrolables.
Récurrentes et incontrôlables.
UN ENCUENTRO RECURRENTE
UN RENDEZ-VOUS RÉCURRENT
—Un sueño recurrente.
— Un rêve récurrent ?
¿Es algo recurrente o crónico?
Est-il chronique ou récurrent ?
Eran sueños recurrentes.
C’étaient des rêves récurrents.
¿Qué elementos recurrentes hay?
Quels sont les éléments récurrents ?
Sufría de fiebres recurrentes.
J’avais des fièvres récurrentes.
¿Había algún tema recurrente?
Y avait-il un thème récurrent ?
Le gustaba que las cosas sucedieran en momentos precisos y recurrentes, de un modo preciso y recurrente.
Il aimait que les choses arrivent à des moments précis et récurrents, de manières précises et récurrentes.
Cincuenta y siete. Si se convertían en dígitos, se obtenía un decimal recurrente.
Cinquante-sept. En chiffres, c’était une fraction décimale périodique.
Que Nūt conociera la existencia de los decimales recurrentes trastornaba a Billy casi tanto como el ascensor atascado, suponiendo que estuviera atascado.
Le fait que Nût eût conscience des fractions périodiques troublait Billy presque autant que la panne de l’ascenseur, en supposant qu’il fût en panne.
¡El pájaro es Jesús!» Aquella antigua fantasía suya, aquel deseo de actuar en escenarios como «Perry O'Parsons, el Hombre Orquesta», volvió a su cabeza en forma de sueño recurrente.
L’oiseau est Jésus ! » Sa vieille chimère théâtrale préférée, celle où il se voyait comme « Perry O’Parsons, l’Homme Orchestre », revint sous la forme d’un rêve périodique.
Los problemas que tenía ahora (si eran problemas) derivaban en otra dirección: e incluso ésos tendían simplemente a anunciar una infección de próstata recurrente (y afortunadamente benigna) que había surgido en él una vez cada año o así desde que tenía treinta—.
Les problèmes qu’il avait maintenant (si c’étaient des problèmes) allaient dans la direction opposée : et même ceux-là étaient simplement le signe annonciateur d’une infection périodique (et heureusement bénigne) de la prostate, qui réapparaissait presque chaque année depuis l’âge de trente ans.
Ahora no podía leer aquellos diarios recurrentes y angustiosos, con sus gritos de asfixia y sus épocas de autocensura, pero los guardaba en un banco porque eran un documento, un documento preciso, del desarrollo de la mente y la personalidad de William Adamson, que aún pretendía ser un gran hombre.
Il ne supportait pas à présent la lecture de ce journal douloureux qui tournait en rond, de ces cahiers où résonnaient des cris de suffocation, où se déroulaient des périodes de condamnation de soi, mais il les conservait dans un coffre à la banque, car ils faisaient partie d’une chronique, d’une chronique exacte du développement de la pensée et du caractère de William Adamson, qui avait toujours l’intention d’être un grand homme.
Cuando las grandes religiones se debilitaron, no solo en las franjas del noroeste sino en toda Shikasta, se observó entre los jóvenes un fenómeno recurrente: apenas salidos de la adolescencia, miraban a sus mayores con una fría hostilidad, resultado del descenso de la cultura y la nueva barbarie; y muchos de ellos, al descubrir por primera vez la «verdad», renegaban de todo lo que veían y buscaban la solución de sus problemas en ideologías políticas que creían haber inventado.
Dès que les grandes religions perdirent leur pouvoir, non seulement dans les franges nord-ouest mais sur l’ensemble de Shikasta, on observa, parmi les jeunes, un phénomène périodique ; au moment où ils atteignaient l’âge adulte et considéraient leurs aînés d’un regard froid et hostile, résultat du glissement de la civilisation dans la barbarie, des groupes, frappés pour la première fois par la « vérité », se mettaient à tout rejeter autour d’eux et à chercher, dans une idéologie politique (sur le plan émotionnel, ceci était identique à la réaction des groupes qui se faisaient et se défaisaient sous les dictatures religieuses), des solutions à leur situation, solutions qu’ils croyaient toujours neuves.
Su expresión más bien afable, disimuladamente risueña de hacía un instante había sido sustituida por una de abstracción o dilucidación, o por la de una de esas pesadumbres que uno va aplazando porque no desea hacerles frente ni abismarse en ellas y que por lo tanto siempre retornan, se hacen recurrentes y a cada embestida son más profundas al no haber desaparecido durante el periodo en que se las mantuvo a raya o alejadas del pensamiento, sino que por así decir han crecido en ausencia y no han cesado de acechar el ánimo subrepticia o subterráneamente, como si fueran el preámbulo de un abandono amoroso que uno acabará consumando pero que aún no acierta ni a imaginarse: esas oleadas de frialdad e irritación y hartazgo hacia un ser muy querido que vienen, se entretienen un rato y se van, y cada vez que se van uno quiere creer que su visita ha sido una fantasmagoría —producto del malestar consigo mismo, o de un descontento general, o incluso de las contrariedades o del calor— y que ya no volverán. Sólo para descubrir a la próxima que cada nueva oleada es más pegajosa y arrastra una duración mayor y envenena y abruma el espíritu y lo hace dudar y maldecirse un poco más.
Son affabilité, son sourire en coin de quelques instants plus tôt avaient été remplacés par un air abstrait, pensif, ou par l’un de ces chagrins que l’on chasse pour éviter de les affronter ou d’y sombrer et qui, de ce fait, ne cessent de revenir à la charge, s’acharnent et, à chaque assaut, vous affectent plus en profondeur car, loin d’avoir disparu durant la période où on les a tenus en respect ou bannis de nos pensées, ils ont repris vigueur et, furtifs et sournois, n’ont cessé de nous saper le moral, telles les prémices d’une rupture amoureuse que l’on finira par concrétiser, mais dont on ne parvient pas encore à prendre conscience : ces vagues de froideur, d’agacement, de ras-le-bol à l’égard d’un être très cher qui déferlent, s’attardent, s’en vont et dont, chaque fois qu’elles se retirent, il est de bon ton de croire que leur visite a été pure fantasmagorie — engendrée par le malaise d’être soi ou par un mécontentement général, voire des contrariétés ou, qui sait, la chaleur —, et qu’elles ne reviendront plus. Et tout cela pour s’apercevoir que ces vagues sont de plus en plus gluantes, qu’elles perdurent, qu’elles empoisonnent et embrument l’esprit, lui font perdre confiance et le poussent à s’exécrer lui-même.
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