Traducción para "que mojado" a francés
Ejemplos de traducción
Se deshacían en la boca, siempre estaban recién hechos y los guardaban entre paños mojados para mantenerlos debidamente húmedos.
Ils fondaient dans la bouche et étaient toujours frais. On les conservait sous des linges mouillés qui maintenaient le bon degré d’humidité.
Pero el tiempo no está para ocios estivales, para complacencias de balneario y playa, la temperatura andará por los diez grados, y los bancos del jardín están mojados.
Le temps n’est guère propice aux plaisirs estivaux, aux cures thermales ou aux joies de la plage, la température avoisine les dix degrés, et les bancs du jardin sont mouillés.
Concentrado en regresar por las rocas mojadas hasta los escalones que conducen al borde del mar y en subirlos con el mismo cuidado, Mason no repara en Maskelyne hasta que casi se tropieza con él.
Tout occupé qu’il est à s’en retourner prudemment sur les rochers glissants jusqu’aux degrés du bord de mer, puis à monter avec la même prudence qu’à l’aller, Mason n’avise pas Maskelyne avant d’atteindre le rivage et d’être quasi sur lui.
Pero ella no oía nada y, no fijándose más que en mí entre toda la multitud, me sonreía desde lo alto del primer escalón, se santiguaba por última vez con sus dedos mojados en agua bendita y con los ojos bajos descendía modestamente las gradas, en cuya parte baja yo la esperaba.
Mais elle n’entendait rien, et, ne voyant que moi dans la foule, me souriait du haut de la première marche, faisait son dernier signe de croix avec ses doigts trempés d’eau bénite et descendait modestement, les yeux baissés, les degrés au bas desquels je l’attendais.
Temblando, busqué mis mojadas ropas y, ya sobrio, empapado, triste, amedrentado, imaginándome truhanes y atracadores acechándome en todas las esquinas, comencé mi lento y largo periplo a través de toda la ciudad. La temperatura parecía descender cinco grados cada diez manzanas de casas que recorría;
Grelottant, je récupérai mes vêtements tout mouillés, et dégrisé à présent, trempé, transi, terrifié, imaginant brigands et coupe-jarrets dissimulés dans chaque ruelle, j’entrepris la longue, l’interminable marche furtive à travers New York. Tous les dix blocs le long desquels je passais le thermomètre semblait baisser de cinq degrés.
—Saltémosle los malditos dientes —sugiere Hermanito, con una risa malévola— y subámosle el culo a patadas hasta las orejas. Un vehículo anfibio se desliza calle abajo, resbala al detenerse sobre la nieve fangosa y se queda con el morro apuntando en la dirección por la que ha venido. El Oberleutnant Löwe salta ágilmente del vehículo y se acerca a largas zancadas al Viejo, que permanece en pie sobre sus sucias y mojadas botas y parece muy enojado.
– Rentrez-lui dans le chou, suggère Petit-Frère avec un rire mauvais, et bottez-lui le cul après ! Un véhicule amphibie arrive à toute vitesse et freine ; il dérape dans la neige et fait un tête-à-queue complet de cent quatre-vingts degrés. L’Oberleutnant Löwe en saute lestement et se dirige à grandes enjambées vers le Vieux qui se tient là debout, le visage fermé.
Por fin se dio cuenta de que el niño estaba allí. Con el rostro sonrosado y los brazos abiertos, permanecía echado de través, con la cabeza fuera de la almohada. Entre sueños movía los labios como si estuviese mamando y respiraba normalmente. El príncipe Andréi se sintió feliz al verlo, pues imaginaba haberlo perdido; se inclinó sobre su hijo y, según le había enseñado su hermana, probó con los labios si el pequeño tenía fiebre. La delicada frente estaba húmeda; tocó la pequeña cabecita con las manos: hasta los cabellos los tenía mojados por la intensa sudoración. Era evidente que la crisis había sido superada y el niño estaba en vías de franca mejoría.
Le petit garçon, les joues rouges, couché en travers du berceau, la tête plus bas que l’oreiller, tétait en rêve ; sa respiration était douce et égale. Tout joyeux et tout rassuré, il se pencha, et appliquant ses lèvres sur la peau de l’enfant, ainsi qu’il l’avait vu faire à sa sœur, pour se rendre compte du degré de chaleur, il sentit la moite humidité de son petit front et de ses petits cheveux tout mouillés, et il reconnut à cette abondante transpiration que non seulement il n’était pas mort, mais que cette crise salutaire amènerait une prompte guérison.
Está en este pensamiento cuando de pronto escapa el rostro de su alcance porque los otros dos hombres tiran de éste y lo ponen de espaldas, le echan agua en la cara, un jarro lleno de agua que por casualidad viene fresca, sacada del hondo y negro pozo, con la bomba, no sabía esta agua para qué estaba guardada, venida de las entrañas de la tierra, viajante subterránea durante mucho tiempo, después de haber conocido otros lugares, los escalones pedregosos de una fuente, la aspereza luminosa de la arena, la blandura tibia del lodo, la calma pútrida del cenagal y el fuego del sol que lentamente la borró de la tierra, adonde fue que nadie la vio, y finalmente está en aquella nube que pasa, cuánto tiempo después, de repente cayó sobre la tierra, vino desamparada de lo alto, bella es la tierra que el agua ve, y si el agua puede elegir el lugar donde ha de caer, si pudiese, no habría tanta sed o tanta abundancia tiempo después, de repente cayó sobre la tierra, fue viajando, decantándose, agua pura, purísima, hasta encontrar la vena, el caudal secreto, el cauce perforado ahora por una bomba aspirante, pozo sereno y oscuro, y súbitamente un jarro, prendida en la trampa brillante el agua, ahora qué destino, matar una sed, o no, la derraman desde lo alto sobre un rostro, caída brusca pero amortiguada pronto en este fluir lento por los labios, por los ojos, por la nariz y la barbilla, por las mejillas chupadas, por la frente mojada de otra agua que es el sudor, y así conoce la máscara aún viva de este hombre.
Pendant qu’elle pense cela le visage cesse soudain d’être à sa portée car les deux autres hommes le traînent et le mettent sur le dos, lui jettent de l’eau sur la figure, une pleine cruche qui par hasard est fraîche, tirée du fond du puits noir avec une pompe, une eau qui ne savait guère à quoi elle allait servir, une eau venue des entrailles de la terre, voyageuse longtemps souterraine, après avoir connu d’autres lieux, les degrés pierreux d’une source, la rugosité lumineuse du sable, la douceur tiède de la vase, la stagnation pourrie d’un marécage et le feu du soleil qui lentement l’a effacée de la terre, où est-elle passée, personne ne l’a vue et finalement elle est dans ce nuage qui passe, combien de temps plus tard, soudain elle est tombée sur la terre, elle est venue d’en haut sans défense, belle est la terre que l’eau aperçoit et si l’eau peut choisir l’endroit où elle va tomber, si elle le pouvait, il n’y aurait pas autant de soif ou autant d’abondance un certain laps de temps après, soudain elle est tombée sur la terre, elle a voyagé, elle s’est décantée, eau pure, eau très pure, jusqu’à rencontrer la veine, le cours d’eau secret, la nappe perforée à cet endroit par une pompe aspirante, puits sonore et sombre, et soudain une cruche, l’eau emprisonnée dans le piège transparent, quel destin à présent, étancher une sécheresse, mais non, on la répand de haut sur un visage, chute brusque, mais vite amortie par ce lent écoulement sur des lèvres, sur des yeux, sur le nez et le menton, sur des joues hâves, sur un front mouillé par cette autre eau qu’est la sueur, et elle fait connaissance ainsi du masque de cet homme pour l’instant encore vivant.
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