Traducción para "casi todos los veranos" a francés
Ejemplos de traducción
En aquellos días, la señorita Sapphy solía regresar a Chestnut Hill casi todos los veranos para disfrutar de una larga estancia visitando a su hermana, y Till la acompañaba.
À cette époque-là, miss Saphy retournait presque chaque été à Chestnut Hill pour demeurer longuement chez sa sœur, et Till s’y rendait avec elle.
Casi todos los veranos.
— Presque tous les ans.
El verano siguiente, Lucile se marchó unos días de vacaciones a casa de su hermana, estancia que repitió después casi todos los veranos.
L’été suivant, Lucile partit quelques jours chez sa sœur, séjour qu’elle reproduisit ensuite presque tous les étés.
Así que se la enviaba con relativa facilidad a los tíos, que le costearon más de un pasaje de barco: casi todos los veranos y algún curso completo los pasó Beatriz en España, y durante esas estancias había ido oyendo aquí y allá comentarios o insinuaciones —soltados adrede o escapados de los labios de sus familiares paternos, los únicos existentes o visibles; parecían escocidos a veces con su hermano y cuñado, aquellos labios— que la habían conducido a pensar que quizá la madre no había muerto, sino que una de dos: o había abandonado al marido poco después de que naciera ella, y no había querido quedarse con la cría de un hombre al que guardaba demasiado rencor o que la repelía; o bien, por diferencias políticas en aquella época insalvables, se había negado a acompañarlo en su peregrinaje de exilio, sin exigir que la criatura permaneciera a su cuidado en España.
Il l’envoyait donc avec une relative facilité chez ses oncles et tantes, auxquels cela coûta plus d’une traversée en bateau : Beatriz passait presque tous ses étés en Espagne, et y resta même une année scolaire. Au cours de ces séjours, elle avait entendu ici et là des commentaires ou des insinuations qui avaient échappé — délibérément ou non — à ses proches du côté paternel, les seuls qu’elle connaissait ou qu’elle voyait et qui parfois semblaient en froid avec leur frère et beau-frère — ces remarques l’avaient amenée à penser que sa mère n’était peut-être pas morte mais que, de deux choses l’une : ou bien elle avait abandonné son mari peu après l’avoir mise au monde et n’avait pas voulu se retrouver avec l’enfant d’un homme à l’égard duquel elle nourrissait un trop vif ressentiment ou pour lequel elle éprouvait de l’aversion, ou bien, en raison de divergences politiques alors insurmontables, elle avait refusé de l’accompagner dans son exil, sans exiger que la jeune enfant fût laissée à ses soins en Espagne.
Ve al muerto casi todos los veranos en Mar del Plata y en las situaciones más diversas: en malla, por ejemplo, con la piel blanquísima, salpicada de lunares, achicharrada por el sol, encaminándose hacia el mar con los pies abiertos en ve, como un pato, o luciendo sus camisas color salmón en un descapotable italiano con el que dicen que ha probado suerte en el autódromo, o jugando al golf y perdiendo por paliza y dejándose distraer —apenas anota con el lapicito en su tarjeta los siete golpes grotescos que le exigió el par cuatro que acaba de dejar atrás— por las cosquillas que dice que le hace en la muñeca una costurita del guante que ha terminado por ceder, la punta ligeramente roma del tee que se mete entre los dientes o el hambre que ha empezado a sentir cuando no son todavía las diez de la mañana, nimiedades que comenta en voz alta, a veces a lo largo de hoyos enteros, como si fueran episodios de un drama ominoso, con el único fin de desconcentrar a sus adversarios y así, tal vez, remontar los números adversos de su tarjeta.
Il voit le mort presque tous les étés à Mar del Plata, dans les situations les plus variées : en maillot de bain, par exemple, la peau toute blanche, constellée de taches de grains de beauté, brûlée par le soleil, se dirigeant vers la mer, pieds écartés, en v, comme un canard, ou exhibant ses chemises saumon dans une décapotable italienne avec laquelle il a, paraît-il, tenté sa chance sur les circuits de course, ou jouant au golf et perdant sévèrement et se laissant déconcentrer – tout juste note-t-il avec un crayon de bois, sur son carnet de parcours, les sept grotesques coups que lui a demandé le par quatre qu’il vient de jouer – par les chatouilles, prétend-il, que lui fait une petite couture de son gant qui a fini par céder au niveau du poignet, se passant la pointe légèrement émoussée du tee entre les dents, commençant à avoir faim alors qu’il n’est pas encore dix heures du matin, ou évoquant des banalités qu’il commente à haute voix, parfois tout le temps de réussir un trou, comme s’il s’agissait d’un épisode d’un drame immonde, dans le seul but de déconcentrer à son tour l’adversaire et ainsi d’améliorer peut-être le lamentable score de son carnet de parcours.
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