Traducción para "azul o gris" a francés
Ejemplos de traducción
Todo era azul y gris.
Tout était bleu et gris.
¿Serían castaños, azules o grises?
Seraient-ils bruns, bleus ou gris ?
Un Suburban azul y gris;
Suburban bleu et gris ;
Americana azul, pantalón gris.
Blazer bleu, pantalon gris.
Suéter azul, pantalón gris.
Pull bleu, pantalon gris.
Las cortinas floreadas azules y grises.
Les rideaux à fleurs bleu et gris.
El cielo es azul, negro, gris y amarillo.
Le ciel est bleu, noir, gris, jaune.
Pisos de vinilo azul. Paredes grises.
Dalles de vinyle bleu. Murs gris p‚le.
Ahora sus ojos no parecían ni azules ni grises.
Ses yeux maintenant n’étaient ni bleus ni gris.
Canicas azules y grises quedaron enzarzadas en sus escamas cual tozudas burbujas.
Des billes bleues et grises s’étaient prises dans leurs écailles comme des bulles entêtées.
Pero mientras lo pensaba se dio cuenta de que los pescadores, que pasaban todo el día mirando el mar —azul o gris o algo intermedio— y al cielo —donde o bien había nubes o no las había—, agradecerían que los recibiese tanto color.
Mais les pêcheurs qui passaient leurs journées entières à regarder la mer, bleue ou grise, ou entre les deux, et le ciel, avec ou sans nuages, devaient être heureux de rentrer dans des maisons colorées, en dépit de ce fol excès.
La mayoría de los jardineros son mujeres: por el sendero avanza una cuadrilla, vestidas con lo que debe de ser el uniforme tradicional de trabajo: pantalones azules, blusa gris, pañuelo en la cabeza.
La plupart des jardiniers sont des femmes : une équipe d’entre elles avance sur le sentier. Elles sont habillées de ce qui doit être la tenue de travail traditionnelle : pantalons bleus, blouse grise, foulard sur la tête.
Era un momento de placer preciso y no forzado, líneas simples de color azul y gris, cosas contempladas, hombres de regreso, todas las criaturas antes dispersas reunidas tras su jornada de dar tumbos bajo el sol.
C’était un moment de ravissement précis et naturel, de simples lignes bleues et grises, des choses ramassées, des hommes qui rentraient, tant de créatures dispersées qui se retrouvaient après leur journée de mouvement au soleil.
Tan jóvenes, tan vigorosos, aquellos guerreros risueños se nos venían encima haciendo mucho ruido y se desparramaban por nuestras calles como bandadas de aves de plumaje azul, o gris, o verde, algunas empenachadas de oro o de plata, consteladas de medallas al valor y de barras de mil colores; pero todas, las aves del comedor de oficiales y las avecillas del pelotón, los secesionistas y los abolicionistas, unidos al fin, si no reconciliados, todos iban a volver a ponerse en camino enseguida para iniciar una larga travesía del océano hacia la vieja Europa que no era aún la de nuestros sueños, aunque sí el continente de una angustia desconocida, de ese hecho desconocido que consistía en morir en una guerra extranjera.
Si jeunes, si vigoureux, les guerriers rieurs fondaient sur nous avec beaucoup de bruit et se déversaient par nos rues telles des nuées d’oiseaux en livrée bleue ou grise ou verte, certains huppés d’or ou d’argent, ocellés d’étoiles valeureuses et de barrettes multicolores ― mais tous, les oiseaux du mess comme les oiseaux du rang, les sécessionnistes comme les abolitionnistes, unis enfin, sinon réconciliés, tous reprendraient la route bientôt pour une longue traversée de l’Océan vers la vieille Europe qui n’était pas encore celle de nos rêves mais le continent d’une angoisse inconnue, cet inconnu qui consisterait à mourir dans une guerre étrangère.
Eran pinturas de la escuela moderna: de Daubignys, de Teodoro Rousseau, Julio Dupré, Chintreuil, Díaz, Corot; estanques melancólicos, linderos de bosques profundos, praderas húmedas, calles de aldeas, calveros inundados por el oro del sol poniente, sauces sumergidos en los blancos vapores de la mañana; lienzos plateados, verdes, azules o grises, que en sus macizos marcos de oro, sobre una tapicería de damasco encarnado, no armonizaban, acaso, muy bien con la monumental chimenea estilo Renacimiento, donde los amores de las ninfas y las metamorfosis de los dioses estaban esculpidos y desdecían bastante del maravilloso techo antiguo, cuyos pintados artesones repetían, con una diversidad infinita, el pavo real de Bernardo de Pavés, atado por una pata al laúd de Nicolette de Vaucelles.
C’étaient des peintures de l’école moderne, des Daubigny, des Théodore Rousseau, des Jules Dupré, des Chintreuil, des Diaz, des Corot, étangs mélancoliques, orée de bois profonds, prairies humides, rues de villages, clairières qu’inonde l’or du soleil couchant, saules trempés dans les vapeurs blanches du matin, toiles argentées ou fauves, ou vertes, ou bleues, ou grises, qui, dans leurs massifs cadres d’or, sur une tenture de damas rouge, n’accompagnaient pas très harmonieusement, peut-être, la monumentale cheminée de la Renaissance où les amours des nymphes et les métamorphoses des dieux étaient sculptés dans l’ardoise. Et ces toiles faisaient un peu tort vraiment au merveilleux plafond ancien dont les caissons peints répétaient avec une diversité infinie le paon de Bernard de Paves, lié par la patte au luth de Nicolette de Vaucelles.
En las fuerzas americanas había divisiones con descarados nombres y títulos de intenso colorido: la de «La Combativa 69.a», la «División de la Victoria», que era la 5.a Acorazada, «Los Arrancadores de Raíles», de la 84.a de Infantería, la «División de la Hiedra», o sea, la 4.a de Infantería… En cuanto a la 2.a Blindada, apodada «El Infierno sobre Ruedas», era famosa porque su táctica original había causado grandes daños a los alemanes desde los wadis de África del Norte hasta las orillas del Rin. Y la Primera División, a la cual llamaban «The Big Red One[9]», con una historia de más desembarcos por sorpresa que todas las demás unidades americanas. Esta división, junto con una de las más antiguas unidades de los Estados Unidos, la dura y tradicional división «Azul y Gris», la 29.a, que se había sostenido, cuando todo parecía perdido, en una estrecha franja de terreno, llamada «Omaha», en la playa de Normandía.
Parmi les unités américaines, il y avait des divisions aux noms insolents et aux sobriquets hauts en couleur : la « 69e combattante », la 5e Division blindée « Division de la Victoire », les « Briseurs de rail » de la 84e division d’infanterie, la 4e Division d’infanterie « Division de lierre ». Et aussi la 2e division blindée, « l’Enfer à roulettes », dont les chars avaient, par leurs manœuvres insolites, fait des ravages dans les rangs allemands depuis les oueds d’Afrique du Nord jusqu’aux bords du Rhin, la 1re division, la « Grande rouge » qui détenait le record des débarquements de toutes les unités américaines, la 1re, qui avec une des plus anciennes unités américaines, la rude « Bleue et grise » la 29e division, pétrie de traditions, s’était cramponnée, lorsque tout semblait perdu, sur une étroite plage normande : « Omaha Beach. »
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