Käännös "étrille" espanja
Étrille
Käännösesimerkit
Il y avait également une brosse à étriller.
También había una almohaza.
Aussitôt, je remets en place brosse et étrille et je commence à seller les juments.
Coloco en seguida en su lugar el cepillo y la almohaza y empiezo a ensillar las yeguas.
Il se pavana un peu sous l'étrille et fit quelques bonnes manières à la main qui le soignait.
Se pavoneó un poco bajo la almohaza[85] y tuvo algunas gentilezas con la mano que lo cuidaba.
Après deux heures de marche, on s’arrêta chez une cousine de l’hôtesse de l’Etrille.
Al cabo de dos horas de marcha, se detuvieron en casa de una prima de la hostelera de La Almohaza.
Il me semble quand même que Dan pourrait t’étriller une fois ou deux la semaine ! » Il prit une étrille dans sa niche derrière une poutre et bouchonna la vieille bête.
¡Me parece que Dan debía haberte cepillado con la almohaza al menos una vez por semana! —cogió un cepillo de un hueco en la viga y se lo pasó por su viejo pelaje.
— Voyons, Armand, dis-je en me relevant, la brosse dans une main, l’étrille dans l’autre, tu n’iras pas dire ça à Fulbert ! — Je me gênerais.
– Veamos, Armand -digo levantándome con el cepillo en una mano, la almohaza en la otra- ¡no irás a decirle todo esto a Fulbert! – No tendría inconveniente.
Le valet qui pansait le cheval ne parlait que le flamand mais quand il vit Edmée ouvrir toutes les portes en cherchant quelqu’un il siffla et, de son étrille, désigna le dernier bâtiment.
El criado que almohazaba al caballo sólo hablaba flamenco, pero cuando vio a Edmée abrir todas las puertas buscando a alguien, silbó y señaló con la almohaza la última dependencia.
L’avocat remonta ses manches, se gratta vigoureusement la poitrine par l’échancrure de sa robe, ce qui fit le bruit d’un cheval que l’on étrille, posa sa toque sur le crâne luisant d’un balustre à côté de lui et commença sa plaidoirie.
El abogado se arremangó, se rascó vigorosamente el pecho a través del escote de la toga, lo que produjo un ruido semejante al de la almohaza de un caballo, colocó su birrete sobre el reluciente cráneo de un balaustre que tenía al lado, y comenzó su defensa. —Señores del jurado —dijo—.
Comme de bien entendu, Vanin ne se soucia que de lui-même. Encore que… Gardant un œil sur Olver, il l’aida à étriller son cheval aux endroits auxquels le gamin, très court sur pattes, ne pouvait pas accéder, même en utilisant sa selle comme perchoir.
Vanin se ocupó de sí mismo, naturalmente, aunque no quitó ojo a Olver y almohazó a Viento allí donde el chico no llegaba aun utilizando la silla de montar como un taburete. Todo el mundo cuidaba de Olver.
La figure plus jaune que soufre d’apothicaire, on le mit entre quatre planches et on le porta dans un cimetière où les cercueils étaient placés de guingois les uns sur les autres, en croix, tête-bêche, comme madriers dans un dépôt de bois, car à terre il n’y avait plus de place pour ceux que l’on apportait de tous côtés... Et voici que le Maître se trouve sans domestique, comme si un maître sans domestique était un vrai maître; privé de serviteur et de guitare mexicaine, il lui faudrait renoncer à la brillante entrée, à la prestigieuse apparition qu’il avait rêvé de faire sur les scènes des pays où il arriverait, riche, fabuleusement riche, munificent, lui petit-fils de ceux qui en étaient partis fauchés comme les blés, c’était le mot, pour chercher fortune sur les terres d’Amérique. Mais à l’auberge d’où partent, chaque matin, les caravanes de mules qui se dirigent vers Jaruco, son attention a été attirée par un Noir libre, habile dans l’art d’étriller et de bouchonner les montures. Aux moments de loisir que lui laisse le soin de ses bêtes, il pince une médiocre guitare, ou, quand il est en verve, chante des couplets irrévérencieux qui parlent de moines couchailleurs, et de gourgandines, en s’accompagnant d’un tambour ou en marquant parfois le rythme des refrains avec une paire de tolets qui en s’entrechoquant produisent le même son que celui du marteau sur le métal dans l’atelier des orfèvres mexicains.
Con la cara más amarilla que azufre de botica, lo metieron entre tablas, llevándolo a un cementerio donde los ataúdes tenían que atravesarse, unos encima de otros, cruzados, tornapuntados, como maderas en astillero, pues, en el suelo, no quedaba lugar para los que de todas partes traían… Y he aquí que el Amo se ve sin criado, como si un amo sin criado fuese amo de verdad, fallida, por falta de servidor y de vihuela mexicana, la gran entrada, la señalada aparición, que había soñado hacer en los escenarios a donde llegaría, rico, riquísimo, con plata para regalar, un nieto de quienes hubiesen salido de ellos —“con una mano delante y otra atrás”, como se dice— para buscar fortuna en tierras de América. Pero he aquí que en la posada de donde salen, cada mañana, las recuas que hacen el viaje a Jaruco, le ha llamado la atención un negro libre, hábil en artes de almohaza y atusado, que, en los descansos que le deja el cuidado de sus bestias, rasguea una guitarra de mala pinta, o, cuando le vienen otras ganas, canta irreverentes coplas que hablan de frailes garañones y guabinas resbalosas, acompañándose de un tambor, o, a veces, marcando el ritmo de los estribillos con un par de toletes marineros, cuyo sonido, al entrechocarse, es el mismo que se oye —martillo con metal— en el taller de los plateros mexicanos.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test