Käännösesimerkit
Le dernier fut Reacher.
Reacher fue el último en llegar.
– Reacher, on est en pleine nuit. Où voulez-vous en venir ? – Patience.
—Es de noche. ¿Quiere llegar a alguna parte? —Espere.
Mais Reacher avait toujours pensé que la probabilité qu’il la vive était mince. Qu’elle était simplement théorique.
Sin embargo, a Reacher siempre le había parecido improbable que llegara a vivirla. Pura teoría.
— J’aurais besoin de savoir qui est l’adversaire avant de tirer des conclusions en termes de performance, répliqua Reacher.
—Necesitaría saber quién es nuestro oponente antes de llegar a cualquier conclusión sobre el rendimiento —señaló Reacher.
Reacher baissa les yeux et vit un petit garçon qui s’étirait de tout son long pour atteindre la poignée.
Entonces Reacher miró hacia abajo y vio a un niño que se estiraba para llegar al pomo.
Reacher récupéra les douze dollars et cinquante-deux cents de monnaie et raconta qu’ils allaient essayer de rejoindre la I-64 avant l’aube.
Reacher recogió los doce dólares con cincuenta y dos centavos y dijo que iban a intentar llegar a la I-64 antes de que amaneciera.
Ou qu’elle était en train d’attendre que la police de l’armée se pointe et le traîne en prison : après tout, Reacher n’était pas un gentil, et il était futé puisqu’il avait persuadé Will d’assommer un major de l’armée américaine.
O quizá estaban esperando a que llegara la Policía Militar y arrastrara a Will a la prisión militar, porque Reacher era un mal tipo, pero inteligente, y sencillamente había convencido a Will para partirle la cara a un comandante del Ejército de Estados Unidos.
Les estimations confidentielles de transit au point de départ avançaient trois à six jours de voyage jusqu’au Soleil de Tavis, le point de jonction avec la flotte, puis six de plus jusqu’à Salvation’s Reach.
Los cálculos confidenciales del tránsito en el punto de partida sugerían que tardarían de tres a seis días en llegar al sol de Tavis, a la conjunción de la flota, y después otros seis hasta Salvation’s Reach.
Reacher continuait d’esquiver les automobilistes qui mangeaient, buvaient, se rasaient, se brossaient les cheveux, se maquillaient, se limaient les ongles, remplissaient de la paperasse, lisaient, envoyaient des textos, surfaient sur Internet, et entretenaient de longues conversations sur leur portable, certaines se terminant par des cris, d’autres par des larmes, et arriva jusqu’à Los Angeles. Où il prit l’autoroute de Santa Ana jusqu’à la 101 à Echo Park. Puis ce fut un long, lent et fastidieux trajet au nord-ouest, à travers les collines.
Reacher siguió sorteando a los que comían, a los que bebían, a los que se afeitaban, a los estilistas, a los maquilladores, a las esteticistas, a los que ordenaban, a los lectores, a los que enviaban mensajes, a los navegadores, a los que gritaban y a los que lloraban, y consiguió llegar hasta la zona más alejada del este de Los Ángeles, donde tomó la autovía de Santa Ana hasta la 101, en Echo Park.
Deux minutes plus tard, Reacher et Neagley se retrouvaient assis dans la Mustang, dans le parking de New Age, moteur tournant au ralenti pour la clim, prenant l’un et l’autre toute la mesure du désastre.
Dos minutos más tarde, Reacher y Neagley estaban de nuevo en el Mustang, sentados en el aparcamiento de New Age con el motor en marcha para que funcionase el aire acondicionado, con todo el alcance del desastre ante sus ojos.
L’autre suivit des yeux le va-et-vient, et de la paume gauche Reacher lui donna une claque sur le côté de la tête, juste sous le bord du bonnet, à la manière d’un flic d’autrefois avec le petit dur à cuire du quartier, juste une tape, rien de plus, mais le type s’effondra quand même, comme si une cartouche de fusil puissant lui avait explosé le crâne.
Reacher le pegó un golpecito en la sien con la palma de la mano izquierda, justo por debajo del gorro, como un policía veterano con un chico maleducado del barrio, solo un coscorrón, pero el mareado se desplomó como si le hubieran volado la cabeza con un rifle de largo alcance.
Reacher s’avança un peu. S’en rapprocha.
Reacher se volvió un poco hacia adelante y acortó la distancia.
Voyant la photo d’un peu loin et à l’envers, Reacher ne distinguait pas grand-chose.
Era una imagen en picado y a cierta distancia, así que Reacher no distinguía demasiado.
Du coin de l’œil, Reacher aperçut le soi-disant Jack Phineas Wolfe qui prenait position une poubelle plus loin.
Por el rabillo del ojo, Reacher vio al supuesto Jack Phineas Wolfe posicionándose detrás del siguiente contenedor, situado más o menos a la misma distancia.
Puis venait Reacher, Trent assis à côté de lui, à une centaine de mètres derrière, dans une voiture kaki, couleur de prédilection des budgets serrés.
A continuación, iba Reacher, con Trent de copiloto, a una distancia de unos noventa metros en un coche verde militar, que era un color muy popular por lo barato que era.
Il revenait du café du coin, un gobelet de café à la main. Il ralentit le pas, suivit Neagley et Reacher des yeux tandis qu’ils tournaient au carrefour suivant.
Venía del bar de la esquina con una taza de café. Acortó el paso y miró a Reacher y Neagley desde atrás hasta que dieron la vuelta en una esquina a cien metros de distancia.
Le véhicule s’arrêta parallèlement au bâtiment, devant Reacher, à distance égale de celle qui le séparait de sa chambre, le laissant seul au milieu d’un espace grand comme un ring.
El coche se detuvo en paralelo con el edificio, frente a Reacher, y a la misma distancia de la que estaba él de su habitación, lo que lo dejaba en mitad de un espacio que tendría las dimensiones de un cuadrilátero de boxeo.
Neagley prit les clés que Reacher avait trouvées dans les poches du mourant et les tint à bout de bras – comme le type avait tenu son pistolet – puis appuya sur la télécommande.
Neagley sacó las llaves que Reacher había encontrado en los bolsillos del moribundo, las sostuvo con el brazo extendido como el tipo había sujetado el arma y apretó el botón del mando a distancia.
J’en connais un qui peut te donner la racine carrée de la distance de la Terre au Soleil mais qui est incapable de lire deux phrases. — Et toi ? demanda Will. Reacher hocha la tête. — J’ai eu de la chance.
Uno de ellos podía calcular la raíz cuadrada de la distancia entre la tierra y el sol, pero era incapaz de juntar dos letras leyendo. —¿Y a ti? —preguntó Will. Reacher asintió: —Yo tuve suerte.
Reacher trouva un atlas sur les étagères et, après avoir établi l’itinéraire le plus logique et constaté que Denver était à dix-huit heures de route, calcula que six heures du matin était l’heure probable du rendez-vous.
Reacher encontró un atlas en un estante y buscó la ruta probable, y calculó que Denver estaba a dieciocho horas de distancia, lo que hacía que las seis de la mañana fuese un horario probable.
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