Käännösesimerkit
Si nous mettions ce plan à exécution, il nous faudrait également dresser des barrages à toutes les sorties.
Si lo hacemos, tendríamos que poner barreras de control en todas las salidas.
Je désire que nous mettions au point un nouvel ordre de dispersion planétaire, les escouades blindées venant en premier.
Quiero poner a punto un nuevo orden de dispersión planetaria, con las escuadras blindadas en primer término.
— Et maintenant, venons-en à cette affaire d’autoroute, dit Sir Giles. Je pense qu’il serait préférable que nous mettions cartes sur table.
—Bien, por lo que se refiere a ese asunto de la autopista —dijo Sir Giles—, creo que lo mejor será poner nuestras cartas sobre la mesa.
— Je… je ne sais pas avec certitude. Il faudrait que nous mettions en service une partie de l’équipement usinier…. — Deux techniciens d’usine sont en cours de réchauffement, intervint Lopez.
—No…, no lo sé. Tendríamos que poner a punto una parte del equipo de la factoría… —En estos momentos, algunos hombres del personal de la factoría están entrando en calor —le dijo López—.
Ce que je sais c’est que, dans l’après-midi, alors que je descendais de ma chambre, j’ai trouvé ma mère dans le bureau, une petite pièce en partie vitrée où nous mettions rarement les pieds.
Lo que sí recuerdo es que ya por la tarde, al bajar yo de mi habitación, hallé a mi madre sentada en el despachito de trabajo de mi padre, lugar éste en el que, hasta entonces y salvo él, nadie solía poner los pies.
Cinquante-deux dimanches par Nathan Dedalus pendant la plus grande partie de mon existence, mon père était allé chercher à la boutique du coin le poisson fumé et les beignets chauds ; mon frère et moi mettions la table et préparions les jus de fruits et, pendant trois heures, ma mère ne faisait rien dans sa propre maison.
Cincuenta y dos domingos al año, durante la mayor parte de mi vida, mi padre se acercaba a la tienda de la esquina a comprar pescado ahumado y panecillos calientes, mi hermano y yo nos ocupábamos de poner la mesa y preparar los zumos y mi madre gozaba de tres horas de desempleo en su propia casa.
Parle, dit André, mais Jésus attendit que la lune se lève tout entière de la terre, énorme, sanglante, la lune, et après seulement, il dit, Le fils de Dieu devra mourir sur la croix pour qu’ainsi la volonté du Père s’accomplisse, mais si à sa place nous mettions un simple homme, Dieu ne pourrait plus sacrifier le Fils, Tu veux mettre un homme à ta place, l’un de nous, demanda Pierre, Non, c’est moi qui irai occuper la place du Fils, Au nom de Dieu, explique-toi, Un simple homme, certes, mais un homme qui se serait proclamé lui-même roi des Juifs, qui soulèverait le peuple pour renverser Hérode de son trône et chasser les Romains du pays, voici ce que je vous demande, que l’un de vous coure au Temple dire que je suis cet homme, et peut-être que si la justice est rapide, celle de Dieu n’aura pas le temps de corriger celle des hommes, tout comme elle n’a pas corrigé la main du bourreau qui allait égorger Jean.
Habla, dijo Andrés, pero Jesús esperó a que la luna toda se alzara de la tierra, enorme y sangrienta, la luna, y después dijo, El hijo de Dios tendrá que morir en la cruz para que así se cumpla la voluntad del Padre, pero, si en su lugar pusiéramos a un simple hombre, ya no podría Dios sacrificar al Hijo, Quieres poner un hombre en tu lugar, a uno de nosotros, preguntó Pedro, No, yo ocuparé el lugar del Hijo, En nombre de Dios, explícate, Un simple hombre, sí, pero un hombre que se hubiese proclamado a sí mismo rey de los Judíos, que anduviera alzando al pueblo para derribar a Herodes del trono y expulsar de la tierra a los romanos, eso es lo que os pido, que corra uno de vosotros al Templo, proclamando que yo soy ese hombre, y tal vez si la justicia es rápida, no tenga tiempo la de Dios de enmendar la de los hombres, como no enmendó la mano del verdugo que iba a degollar a Juan.
Cette conversation intime terminée, assortie de touches de sincérité inusitées, le premier ministre donna à son chef de cabinet l’ordre de convoquer tous les membres du gouvernement pour une réunion de la plus haute urgence, Je veux tout le monde ici dans trois quarts d’heure, à vingt-deux heures précises, dit-il, il faudra que nous discutions, approuvions et mettions en œuvre les palliatifs nécessaires pour réduire à un minimum le chaos et la chienlit de toute nature que la nouvelle situation ne manquera pas d’engendrer dans les prochains jours, Vous voulez parler de la quantité de défunts qu’il va falloir évacuer en un laps de temps record, monsieur le premier ministre, Ça, c’est encore ce qui importe le moins, mon cher, les établissements de pompes funèbres existent pour s’occuper de ce genre de problèmes, d’ailleurs pour eux la crise est finie, ils doivent être en train de se frotter les mains et de calculer ce qu’ils vont gagner, par conséquent qu’ils enterrent les morts comme c’est de leur ressort, mais nous il nous incombe de nous occuper des vivants, par exemple, d’organiser des équipes de psychologues pour aider les gens à surmonter le traumatisme de devoir à nouveau mourir alors qu’ils étaient convaincus qu’ils vivraient à tout jamais, Oui, cela sera sûrement très pénible, je l’avais pensé moi-même, Ne perdez pas de temps, que les ministres rassemblent leurs secrétaires d’état respectifs, je les veux tous ici à vingt-deux heures tapantes, si quelqu’un vous pose la question, dites qu’il est le premier à être convoqué, les ministres sont comme des enfants en bas âge, ils sont friands de bonbons.
Después de terminada esta conversación íntima, con toques de inusual sinceridad, el primer ministro dio instrucciones a su jefe de gabinete para convocar a todos los miembros del gobierno a una reunión de máxima urgencia, los quiero aquí en tres cuartos de hora, a las diez en punto, dijo, tenemos que discutir, aprobar y poner en marcha los paliativos necesarios para aminorar las confusiones y guirigáis de todas las especies que la nueva situación inevitablemente creará en los próximos días, Se refiere a la cantidad de personas fallecidas que va a ser necesario evacuar en ese plazo cortísimo, señor primer ministro, Eso es lo menos importante, querido amigo, para resolver los problemas de esa naturaleza están las funerarias, es más, para ellas ha acabado la crisis, deben de estar muy contentas calculando lo que van a ganar, así que ellas enterrarán a los muertos, como les compete, mientras nosotros nos ocupamos de los vivos, por ejemplo, organizando equipos de psicólogos que ayuden a las personas a superar el trauma de volver a morir cuando estaban convencidas de que iban a vivir siempre, Realmente debe de ser duro, yo mismo lo había pensado, No pierda tiempo, los ministros que traigan a los secretarios de estado respectivos, los quiero aquí a todos a las diez en punto, si alguno le pregunta, dígale que es el primero en ser convocado, son como niños pequeños que quieren caramelos.
Mais il nous faut d’abord mettre les choses au clair, car je ne voudrais pas que tu aies la conviction que c’est moi qui t’ai demandé de venir… ça a été toi, tu le sais mieux que moi, moi je t’ai sifflé et tu es accouru aussitôt parce que tu n’attendais que ça… ça te faisait envie… Excuse-moi de te le dire seulement aujourd’hui, les pactes devraient être stipulés tout de suite, comme entre gentlemen, une poignée de main et si on est d’accord l’affaire est faite, mais c’est que j’ai commencé à raconter et je me suis un peu perdu, même si je voulais te le dire d’entrée, tu peux me croire… Voilà… la proposition c’est que je voudrais qu’en échange tu dises une chose… je tiens à ce que nous nous mettions d’accord parce que vous les écrivains je vous connais, peut-être qu’à un certain moment la narration vous prend, elle s’impose, il vous apparaît qu’une chose comme celle-là n’a rien à voir avec le reste car elle casse le rythme, et ça passe à la poubelle… Cette histoire c’est moi qui la raconte, mais c’est toi qui l’écris, et qui me garantit que tu mettras dans ton livre une chose qui pourra te sembler insignifiante et qui pour toi n’a rien à voir avec le reste ?… Et au contraire elle a à voir, elle a beaucoup à voir, et c’est pour ça qu’il faut se mettre d’accord, moi je te raconte ce que j’ai promis de te raconter, mais toi ce détail tu l’écris, car les choses écrites ont une autre valeur, dit-on… précise bien que c’est un héros national qui l’a demandé, et pas le premier venu, un type avec la croix de guerre sur la poitrine, et qui sait si ça ne fera pas un certain effet aux Anglais, les Anglais ont de l’estime pour l’héroïsme, ils l’ont pratiqué sans compter, et s’ils n’avaient pas été là quand Tristano se trouvait dans les montagnes… ça tu peux l’écrire, que Tristano les admira sincèrement, à cette occasion… en d’autres occasions moins, je veux dire pour certaines choses qu’ils ont faites ailleurs, et il n’y a pas besoin d’aller si loin, il suffit de penser au pays de sa Daphné, où ils soutinrent ce gros fasciste de maréchal Papagos, et donnèrent aux Grecs un nouveau duce et un nouveau roi, après Metaxás, voilà comment les Anglais conçoivent la démocratie chez les autres… Mais venons-en au concret… personnellement je ne saurais pas trouver la formule adaptée, mais les mots justes c’est ton travail, il faut du tact, de la diplomatie, autrement quel écrivain serais-tu… Le problème, ce serait les marbres du Parthénon… c’est cela que Tristano voudrait que tu demandes, les marbres qu’un lord anglais, qui était ambassadeur en Turquie quand les Ottomans dominaient la Grèce, avait fait dépiauter du Parthénon pour les emmener en Grande-Bretagne, comme quelqu’un qui, sur une route déserte, trouverait une femme évanouie à qui il arracherait son collier pour le porter à sa femme… Exactement ainsi, les dépiauter, c’est le mot, l’écrivain, les ouvriers de ce brigand travaillaient au pic et au marteau… j’ai lu il y a longtemps la description détaillée de quelqu’un qui avait assisté au viol, mais je te l’épargne… Tu sais, ils n’ont alors pas emporté un tableau, qui irait bien sur n’importe quel mur, non, c’est un paysage qu’ils ont volé… les gens qui justifient ce viol ont certaines théories… je ne sais pas, qu’au British Museum les frises sont magnifiquement éclairées… comme si le soleil de la Grèce était moins lumineux que les néons anglais… ou encore que quand le lord les emmena elles n’étaient déjà plus les frises du temple d’origine, étant donné que les Ottomans avaient transformé celui-ci en mosquée… beau raisonnement, mais les Ottomans avaient seulement changé le contenu, qui n’est pas grand-chose, il en faut peu pour substituer un dieu par un autre, ils n’avaient en rien changé le contenant… les chers petits, j’aimerais bien les voir, ces braves théoriciens, s’ils retrouvaient la flèche de leur abbatiale de Westminster au musée d’Athènes… Le lord en question s’appelait Elgin, lord Elgin, écris-le, pour que les Anglais n’aient pas à le confondre avec un autre lord, étant donné tous les lords qu’il y a en Angleterre… Bref, écris que Tristano aurait voulu qu’ils restituent ces marbres au propriétaire légitime, qui est un temple sublime sans la construction duquel par Athènes ils n’auraient pas leur Chambre des lords et se consacreraient encore à l’élevage des moutons… et rappelle-leur Byron, qui mourut pour ces choses-là, ça leur fera peut-être de l’effet, qui sait… Et si tu veux, ajoute qu’outre la diplomatie normale, qui formule ses justes requêtes, ces marbres avaient déjà été demandés par un grand poète que cependant personne ne connaissait, car il vivait comme n’importe quel quidam dans des chambres de location, le sieur Cavafis, et que Tristano se permettrait volontiers de renouveler la gentille proposition de ce poète, un siècle a désormais passé depuis cette requête, elle devrait être arrivée aux oreilles des Anglais… Voilà, c’est ma proposition, je te raconte ce que tu voulais entendre, et tu m’écris le souhait de Tristano, d’après moi tu y gagnes… Ça te va ?
Pero antes tenemos que poner las cosas en claro, porque no quisiera que tú te convencieras de que he sido yo el que te ha pedido que vinieras… fuiste tú, lo sabes mejor que yo, yo te silbé y tú acudiste de inmediato porque no esperabas otra cosa… se te hacía la boca agua… discúlpame por no decírtelo hasta ahora, los acuerdos deberían estipularse desde el principio, como se hace entre caballeros, un apretón de manos y si se está de acuerdo, trato hecho, pero es que me lancé a contarte cosas y me distraje un poco, aunque quisiera habértelo dicho desde el principio, créeme… Pues verás… la propuesta es que quisiera que a cambio tú dijeras una cosa… me interesa que nos pongamos de acuerdo porque a vosotros los escritores os conozco bien, a la hora de la verdad la narración acaba por arrastraros, se impone, os parece que una cosa como esta no tiene nada que ver con todo lo demás porque rompe el ritmo, y adiós muy buenas… Esta historia la cuento yo pero la escribes tú, y ¿quién me garantiza que en tu libro meterás algo que podría parecerte insignificante y que para ti no tiene nada que ver con todo lo demás?… Pues tiene que ver, tiene que ver y mucho, y por eso es necesario que nos pongamos de acuerdo, yo te cuento lo que he prometido contarte, pero tú debes escribir ese detalle, porque las cosas escritas tienen un valor distinto, eso dicen… y especifica bien que lo ha pedido un héroe nacional, no un fulano cualquiera, uno con la cruz de guerra en el pecho, y quién sabe si eso no les causará a los ingleses un cierto efecto, los ingleses aprecian el heroísmo, lo han practicado sin contención, y si no hubiera sido por ellos cuando Tristano estaba en el monte… eso puedes escribirlo, que Tristano los admiró sinceramente, en aquella ocasión… en otras ocasiones, menos, y me refiero a otras cosas que han hecho en otras partes, y no es necesario irse demasiado lejos, basta con pensar en el país de su Daphne, allí apoyaron a ese fascistón del mariscal Papagos, y a los griegos les dieron un nuevo caudillo y un nuevo rey, después de Metaxas, es así como los ingleses conciben la democracia en casa ajena… Pero vayamos al grano… personalmente, yo no sabría encontrar la fórmula idónea, pero las palabras adecuadas son tarea tuya, hace falta tacto, diplomacia, en caso contrario, qué clase de escritor serías… El problema consiste en los mármoles del Partenón… es eso lo que Tristano quisiera que tú pidieras, los mármoles que un lord inglés que estaba de embajador en Turquía cuando los otomanos sojuzgaban Grecia hizo desollar del Partenón para llevárselos a Gran Bretaña, como alguien que se encontrase en una carretera desierta a una señora desmayada y le arrancara el collar para llevárselo a su mujer… Eso precisamente, desollarlo, esa es la palabra, escritor, los peones de aquel bandido le dieron al pico y a la maza… hace muchos años leí la descripción detallada de uno que asistió al estupro, pero prefiero ahorrártela… Verás, no es que se cogieran un cuadro, que está bien en cualquier pared, robaron un paisaje… los defensores del robo sostienen ciertas teorías… qué sé yo, que los frisos en el British Museum están magníficamente iluminados… como si el sol de Grecia fuera menos luminoso que las luces de neón inglesas… o bien que cuando el lord se los llevó, no eran ya los frisos del templo originario, dado que los otomanos lo habían transformado en una mezquita… bonito razonamiento, pero los otomanos solo habían cambiado su contenido, que es cosa nimia, qué cuesta sustituir a un dios por otro, no habían cambiado en absoluto el continente… qué simpáticos, ya me gustaría verlos, a estos brillantes teóricos, si se encontraran los pináculos de su abadía de Westminster en el museo de Atenas… El lord en cuestión se llamaba Elgin, Lord Elgin, escríbelo, no sea que los ingleses vayan a confundirlo con cualquier otro lord, con todos los lores que hay en Inglaterra… En definitiva, escribe que Tristano deseaba que restituyeran esos mármoles a su legítimo propietario, que es un templo sublime que, de no haber sido construido por Atenea, ellos ni la cámara de los lores tendrían y aún se dedicarían al pastoreo… y si acaso, recuérdales a Byron, que por estas cosas murió allí, tal vez les haga efecto, quién sabe… Y si quieres, añade que además de la diplomacia normal, que plantea sus justas peticiones, aquellos mármoles ya los había pedido un gran poeta a quien sin embargo no conocía nadie, porque vivía como un don nadie en habitaciones de alquiler, el señor Kavafis, y que Tristano se permite repetir la amable solicitud de aquel poeta, desde aquella solicitud ha pasado un siglo, hasta los oídos de los ingleses debería de haber llegado… Pues eso, la propuesta es esta, yo te cuento lo que quieres escuchar, y tú me escribes el deseo de Tristano, en mi opinión sales ganando… ¿De acuerdo?
Nous mettions la minuterie de chaque détonateur en route avant de l’insérer dans le plastic.
Pusimos en marcha los relojes de los detonadores antes de colocar éstos en el explosivo plástico.
— J’aimerais que nous mettions cela au clair, Amiral Stetson, dit Gémine.
—Permítame dejar esto bien claro, almirante Stetson —dijo Gemine—.
Il faut d’abord que nous mettions la main sur le meurtrier et que l’identité de la victime soit établie…
Primero tenemos que encontrar al asesino y dejar completamente establecida la identidad de la víctima…
Je souhaite que nous mettions trente kilomètres de plus derrière nous avant de dresser un campement convenable.
Quiero dejar atrás unos treinta kilómetros más antes de instalar el campamento.
Ron, je ne peux pas soigner les fractures aussi bien que Madame Pomfresh, alors, le mieux, c’est que nous vous mettions une attelle en attendant de pouvoir vous emmener à l’infirmerie.
Ron, no sé arreglar huesos como la señora Pomfrey pero creo que lo mejor será que te entablillemos la pierna hasta que te podamos dejar en la enfermería.
Vous savez déjà ce que je vais en faire. C’est pourquoi, jusqu’à ce que nous nous mettions d’accord sur une solution meilleure, vous allez me le laisser. Fred acquiesça. — Oui, dit-il, j’imagine que c’est ce que je vais faire. 38
Sabes lo que voy a hacer con ella y, por eso, hasta que podamos acordar algo mejor, vas a dejar que me la quede. Fred asintió. —Sí —dijo—. Supongo que sí. 38
Ils veulent tout nous prendre. » (Et parfois elle déroulait l’une des cartes sur parchemin de plus un mètre de long, couvertes de notes et de pattes d’araignée, qu’elle avait trouvées dans une vieille malle pleine d’uniformes de cavalerie souillés – un absurde chapeau d’hermine, des pantalons verts, des aiguillettes écarlates, des bottes, des boucles, des gants blancs tachés – pendant les étranges semaines d’insouciance et d’exaltation de la petite enfance de Germaine, où Leah transportait le bébé partout malgré son poids, rôdant tard le soir dans le château, chantant et fredonnant pour calmer la petite fille (qui dès le début se montra capable de hurlements et de crises de rage surprenants), marchant d’un pas leste, exubérant, triomphant, comme entraînée par la vitalité incessante de Germaine, qui épuisait tous les autres.) « Et si nous mettions quelqu’un dans la résidence du gouverneur, nous n’aurions plus de problème pour faire gracier l’oncle Jean-Pierre », disait-elle.
Nos quieren dejar sin nada. (Llegado ese punto, a veces desenrollaba uno de los mapas de pergamino de más de un metro de longitud, lleno de anotaciones de trazos delicados, que había encontrado por casualidad en un baúl viejo por lo demás destinado a almacenar uniformes de caballería manchados que en su momento pertenecieron a alguno de ellos: un ridículo sombrero de armiño, pantalones verdes, cordones escarlata, botas, hebillas, guantes blancos manchados. Lo vio durante aquellas extrañas semanas de euforia e impaciencia en las que Leah llevaba a su bebé en brazos todo el tiempo, a pesar del peso, y merodeaba por el castillo a altas horas de la noche, tarareando y cantando para calmar a la pequeña (que desde el principio mostró su capacidad para lanzar unos alaridos asombrosos y entrar en paroxismos de iracundia) con pasos ligeros, desbordante de entusiasmo, triunfante, como impulsada por la vitalidad inagotable de Germaine, que extenuaba a los demás. —Si colocamos a alguien en la mansión del gobernador, conseguiríamos el indulto para el tío Jean-Pierre —agregaba.
Il est bien vrai que celui qui sait ne sait pas tout et la compagne de Faustina Mau-Tempo sut descendre du train à Caxias, mais où donc est la prison, elle ne veut pas s’avouer vaincue et s’engage sur une route, ça doit être par là, nous sommes en août, la chaleur est torride à cette heure qui approche de celle qui a été laborieusement communiquée et apprise par cœur, l’heure de la visite, elles durent alors interroger un passant et apprirent qu’elles s’étaient trompées de chemin et elles revinrent sur leurs pas, furieuses de cette expédition, Faustina Mau-Tempo se déchaussa car ses pieds n’étaient pas habitués à être enserrés dans des souliers et elle resta en bas, mais ce fut à fendre l’âme, nous serions sans cœur si nous nous mettions à en rire, ce sont là des humiliations qui vous brûlent ensuite la mémoire tout le restant de votre vie, le goudron était ramolli par la forte chaleur et dès les premiers pas les bas y adhérèrent, plus Faustina tirait dessus, plus les bas s’étiraient, c’est un numéro de cirque, le meilleur de la saison, assez, assez, la mère du clown vient de mourir et tout le monde pleure, le clown ne fait pas rire, il est effaré, nous nous postons donc à côté de Faustina Mau-Tempo et nous lui servons de paravent afin que sa compagne l’aide à retirer ses bas discrètement, car la pudeur des femmes d’un seul homme est intraitable, à présent elle marche pieds nus et nous retournons chez nous, et si quelqu’un parmi nous sourit c’est de tendresse.
Es bien verdad que quien mucho sabe no lo sabe todo, y la compañera de Faustina Maltiempo supo bajar del tren en Caxias, pero dónde está la cárcel, no quiere dejar en evidencia su ignorancia y se mete por una carretera, por aquí será, estamos en agosto, el calor aprieta en esta hora que se va acercando a aquella que laboriosamente fue comunicada y aprendida de memoria, la hora de la visita, y entonces tuvieron que preguntar a quien pasaba y supieron que iban engañadas en su camino y volvieron atrás, enfadadas por el paseo inútil, y Faustina Maltiempo se descalzó, que no estaban sus pies habituados a apreturas de zapatos, y se quedó con las medias remendadas, pero esto es un dolor del alma, no tendríamos corazón si nos riéramos, son humillaciones que luego nos queman la memoria durante el resto la vida, estaba el alquitrán ablandado de tanto calor y a los primeros pasos las medias se le quedaron agarradas, y cuanto más tiraba Faustina más se estiraban las medias, esto es un número de circo, el mejor de la temporada, basta, basta, acaba de morir la madre del payaso, y toda la gente llora, el payaso no hace reír, está asombrado, así estamos nosotros junto a Faustina Maltiempo y hacemos un biombo para que su compañera la ayude a quitarse las medias, con recato, que este pudor de las mujeres de un solo hombre es intocable, y ahora va descalza y nosotros nos volvemos a casa, y si alguno de nosotros sonríe es de ternura.
Il est temps que nous nous mettions aux formations.
Ya es hora de que empecemos a hacer formaciones.
Si nous nous mettions à avoir de nombreux « descendants », la logique darwinienne risquerait de s’appliquer.
Una vez que empecemos a tener numerosos «descendientes» nuestros, la lógica darwinista puede hacer acto de presencia.
Le fond de la galerie abritait le poêle où nous allumions les brandons avec lesquels nous mettions le feu aux explosifs.
En un túnel de más abajo estaba la cocina en la que encendíamos las antorchas que utilizábamos para hacer explotar el polvo.
Dieu sait que ma tante et moi-même avons essayé de nous persuader du contraire ! Nous mettions tout sur le compte de son immaturité et de son insouciance.
Dios sabe que mi tía y yo tratamos de no hacer caso, de decirnos que sólo eran travesuras y desconsideración juvenil.
L’entourant de son bras, il l’embrassa et dit : « J’aimerais que nous nous mettions en route tout de suite, mais il nous faut plusieurs jours pour faire nos préparatifs.
La rodeó con los brazos y la besó, diciendo: — Me gustaria partir ahora mismo, pero debemos hacer los preparativos para varios días.
Quand nous avions froids, sans faire de discrimination, sans connaître les différentes catégories, nous mettions un vêtement par-dessus l’autre, couche après couche, comme les itinérants.
Cuando teníamos frío, sin hacer discriminación alguna, sin conocer las distintas categorías, nos poníamos un vestido sobre el otro, capa tras capa, como los sin techo.
Les démarches d’Elena étaient très efficaces, de sorte que nous mettions progressivement au point les entrevues que nous souhaitions réaliser avec des dirigeants clandestins, ainsi qu’avec des personnalités politiques agissant dans la légalité.
Los contactos de Elena eran muy eficaces, de modo que poco a poco iba concertando las entrevistas que queríamos hacer a dirigentes clandestinos, así como a personalidades políticas que actúan en la legalidad.
Les philosophes, ces gens de rien que nous mettions dans nos salons, ont eu l’inconvenance et l’ingratitude, pour prix de nos bontés, de faire l’inventaire de nos cœurs, de nous décrier en masse, en détail, et de déblatérer contre le siècle.
Los filósofos, esa gentuza que hemos admitido en nuestros salones, nos han pagado nuestras bondades con la descortesía y la ingratitud atreviéndose a hacer el inventario de nuestros corazones, a calumniarnos en masa y en detalle y a despotricar contra el siglo.
— Docteur Goodwin et vous, mon impétueux ami, reprit Marakinoff après un petit temps – et je me demandai pourquoi il ne s’adressait pas aussi à Huldricksson –, il est temps que nous nous mettions d’accord. J’ai une proposition à vous faire et la voici : nous sommes sur le même bateau, ou dans le même pétrin, si vous préférez. Tous !
—Dr. Goodwin y mi impetuoso joven amigo, tú —continuó Marakinoff tras un momento de silencio… e intuí vagamente porqué no incluía a Huldricksson en su discurso—. Es momento de nosotros llegar a un entendimiento. Tengo una propuesta para hacer a ustedes. Ésta es: somos lo que ustedes llamar un naufragio, y todos estar en él. ¡Da!
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