Käännös "homme-faire" espanja
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Ils étaient d’humeur égale et ne se pressaient jamais, le genre qui observeront un homme faire une bêtise et ne feront pas de commentaire – la plaisanterie viendra à la fin.
Poseían la templanza y la parsimonia de alguien que ve a un hombre hacer una idiotez y se abstiene de todo comentario: el chiste llegará al final.
(Et son cœur se brise au souvenir de nénuphars.) J’ai vu cet homme faire plus de bien en une journée avec une seule main que n’importe qui d’autre avec ses deux mains en une semaine. Ou de toute sa vie.
He visto a ese hombre hacer más bien con una sola mano en un día que a cualquier otro con dos manos en una semana.
Mais qu’est-ce que tu dirais si tu voyais les hommes faire comme les femmes, fumer toute la journée, se poudrer, se mettre du rouge aux lèvres, boire du whisky ?
—¿Pero qué dirías si vieses a los hombres hacer como las mujeres, fumar durante todo el día, empolvarse, ponerse rouge en los labios, beber whisky?
Et par ici ? » Il y a un côté agréable à se laisser faire et tripoter, même pour des raisons peu plaisantes, même si cela frôle la gêne tout autant que la crainte (le rasoir du coiffeur peut toujours déraper par inadvertance, un dentiste toucher une gencive ou un nerf, un médecin changer d’expression et prendre un air soucieux, un homme faire mal à une femme, et plus encore si elle est inexpérimentée).
Hay un elemento agradable en dejarse hacer y manosear, aunque no sean cosas placenteras, aunque linden con la molestia y aun con el temor (un barbero siempre puede cortar sin querer, un dentista tocar una encía o un nervio, un médico cambiar de expresión y mostrar preocupación, un hombre hacer daño a una mujer, y si ella es inexperta más aún).
Il a pris soin de moi la nuit dernière lorsque la douleur m’empêchait de bouger, et a enlevé les caillots de sang sans se plaindre une seule fois, et il a nettoyé votre cuisine et il a réparé votre barrière et il a enterré vos chiens dans les bois ombragés, et rien ne l’obligeait à faire tout ça. {Et son cœur se brise au souvenir de nénuphars.) J’ai vu cet homme faire plus de bien en une journée avec une seule main que n’importe qui d’autre avec ses deux mains en une semaine.
Me cuidó toda la noche pasada cuando no podía moverme del dolor, y se llevó mis coágulos de sangre sin quejarse ni una vez, y limpió su cocina y reparó su cerca y enterró a sus perros como es debido en el bosque a la sombra y no tenía que hacer nada de todo eso —y el recuerdo de los lirios de agua le rompe el corazón—. He visto a ese hombre hacer más bien con una sola mano en un día que a cualquier otro con dos manos en una semana. O nunca.
Et voici qu’un Colombien globe-trotter, outrageusement sympathique, au souriant visage d’Arabe, hausse dédaigneusement les épaules, envoie se promener quatre siècles de pudeur narrative, et fait sien l’ambitieux dessein des anonymes sorciers médiévaux qui ont fondé le genre : rivaliser avec la réalité d’égal à égal, incorporer au roman tout ce qui existe dans la conduite, la mémoire, l’imagination ou les cauchemars des hommes, faire du récit un objet verbal qui reflète le monde tel qu’il est : multiple et océanique.
Y he aquí que un colombiano trotamundos, agresivamente simpático, con una risueña cara de turco, alza sus espaldas desdeñosas, manda a paseo cuatro siglos de pudor narrativo, y hace suyo el ambicioso designio de los anónimos brujos medievales que fundaron el género: competir con la realidad de igual a igual, incorporar a la novela cuanto existe en la conducta, la memoria, la fantasía o las pesadillas de los hombres, hacer de la narración un objeto verbal que refleje al mundo tal como es: múltiple y oceánico.
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