Käännös "estrade" espanja
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Qui serait-il, cet homme sur l’estrade ?
—¿Quién sería ese hombre de la plataforma?
Un lourd silence planait sur l’estrade.
El silencio se apoderó de la plataforma.
L’armure est installée sur une estrade.
El cuerpo de la armadura estaba colocado sobre una plataforma elevada.
Les esclaves se tenaient nus sur l’estrade.
Los esclavos permanecían desnudos en la plataforma.
Overholser et Callahan montèrent sur l’estrade.
Overholser y Callahan subieron a la plataforma.
Une estrade massive servait de scène.
Una maciza plataforma servía de escenario.
UrLeyn s’approcha d’un côté de l’estrade.
UrLeyn se acercó al borde de la plataforma.
Il avait monté la bibliothèque, l’estrade pour le tatami.
Él montó la librería, la plataforma para el tatami.
TerTaWa descendit en planant jusqu’à l’estrade.
TerTaWa bajó balanceándose hasta llegar a la plataforma.
il aurait dû être avec les parents, sur l’estrade.
más bien le hubiera correspondido hallarse en la plataforma con los padres.
Ils sont là sur l’estrade avec elle.
Están allí, en la tribuna con ella.
Il sera toujours le bienvenu sur nos estrades.
De todos modos, siempre es bienvenido a nuestras tribunas.
Un écran vidéo géant avait été dressé sur l’estrade.
Había una pantalla gigante en la tribuna.
Carter Gray se tenait toujours sur l’estrade, pétrifié.
Gray todavía estaba en la tribuna, paralizado.
D’autres guides utilisent l’escalier comme estrade.
Otros guías utilizan la escalera como tribuna.
Mais je t’ai vu à deux réunions, sur l’estrade.
Pero te vi dos veces en los mítines, arriba, en la tribuna;
Kemper se mêla à la foule et surveilla l’estrade.
Kemper se mezcló con la multitud y observó la tribuna.
– Les autres sont déjà sur l’estrade, monsieur Peeble.
—Los demás han pasado a la tribuna, señor Peeble.
Mais sur l’estrade derrière elle, la voyante laissait un homme complètement désemparé.
Pero en la tribuna, tras ella, había dejado a un hombre estupefacto.
Larry est arrivé devant l’estrade et y a déposé le sac.
Larry llegó a la tribuna y dejó la bolsa.
programa
D’après le programme, après l’ouverture (du Wagner, tant pis), Jacinto Huitrón devait prendre la parole. Les derniers accords à peine envolés, le leader anarchiste, un maigre, grimpa sur l’estrade et ouvrit le feu :
Según el programa, tras la obertura (wagneriana, ni modo) le tocaba hablar a Jacinto Huitrón, y el flaco anarquista se encaramó al escenario apenas sonaron los últimos acordes y abrió el fuego con las siguientes pa-labras:
On avait aussi construit une estrade pour un orchestre d’instruments à vent dont le programme était limité à des contredanses et à des valses créoles, et pour le quatuor à cordes de l’école des beaux-arts, une surprise de la señora de Olivella en l’honneur du vénérable maître de son mari qui devait présider le déjeuner.
Construyeron también una tarima para una banda de instrumentos de viento con un programa restringido de contradanzas y valses nacionales, y para un cuarteto de cuerda de la escuela de Bellas Artes, que era una sorpresa de la señora Olivella para el maestro venerable de su marido, que había de presidir el almuerzo.
Des touffes de mauvaises herbes et de varech rouge s’incrustaient entre les plaques de bitume du ponton, ratatinées et brûlées avant même d’avoir atteint la balustrade qui entourait le laboratoire ; des massifs de sargasses et de spirogyras pleins de détritus s’aggloméraient près de l’étroite jetée et s’effondraient, tout dégoulinants, formant une sorte d’immense radeau détrempé. Ils pénétrèrent dans la pénombre fraîche du laboratoire et s’assirent derrière leur bureau. Des graphiques de programmes décolorés étaient suspendus au-dessus d’eux, en demi-cercle, attachés au plafond derrière l’estrade, inclinés sur un bric-à-brac de bancs et de sorbonnes, formant une espèce de fresque poussiéreuse. Ceux de gauche, qui dataient de leur première année de travail, étaient remplis d’inscriptions détaillées et de ramifications terminées de flèches étiquetées minutieusement ;
Trozos de algas y lianas secas habían quedado incrustados en las planchas bituminosas del pontón. El sol había quemado y reducido las plantas antes que alcanzaran la borda. La lancha de Kerans llegó al laboratorio y chocó con la balsa estrecha y húmeda del embarcadero, cubierto de sargazos y espirogiras que amortiguaron el golpe. Los dos hombres entraron en la oscuridad fresca del laboratorio y se sentaron a las mesas, bajo el semicírculo de los programas de trabajo, unas hojas descoloridas que subían por las paredes oblicuas, sobre los bancos y los armarios, como un mural polvoriento. Las hojas de la izquierda, del primer año, estaban cubiertas de notas, subrayados y acotaciones al margen, pero a medida que se avanzaba a la derecha los apuntes disminuían cada vez más, y las últimas eran ya casi hojas en blanco con unas pocas palabras escritas a lápiz.
La première fois que j’ai baisé, pourquoi pas, oui, pas de problème, sa petite culotte… La première chose qui me revient, c’est elle en train de faire glisser sa culotte sur ses reins… le regard par en dessous qu’elle me jetait à travers ses cheveux lui tombant devant le visage, j’étais hypnotisé, je n’avais jamais vu une femme se déshabiller… sauf dans les films, bien entendu… mais à l’époque il était exclu de voir à l’écran une femme retirer vraiment sa culotte, d’ailleurs je ne suis pas sûr d’avoir jamais… je veux dire qu’on voit par exemple le slip projeté à travers la chambre ou bien gisant sur le tapis, en gros plan, mais pas la femme l’enlever vraiment… c’est peut-être une action trop ordinaire, trop gauche, difficile à faire de façon gracieuse ou érotique, se baisser, se courber, se tenir en équilibre sur une jambe puis sur l’autre… Les strip-teaseuses ont toujours un système de bouton-pression ou de velcro pour pouvoir envoyer ça promener d’un seul geste… hé hé, la fille dans cette boîte à Soho comment ça s’appelait déjà qui avait retiré son string avant son soutien-gorge… elle avait fait ça sans y penser, elle pensait à autre chose, elle rêvassait, c’était le milieu de l’après-midi, une heure creuse, guère de clients, Dieu sait ce que je fichais là, peut-être tuer le temps entre deux rendez-vous, ou bien un peu beurré, allumé en sortant d’un déjeuner d’affaires, je ne me souviens plus, toujours est-il qu’on était là avec une demi-douzaine de branleurs solitaires affalés sur nos fauteuils dans la pénombre violacée, à mater cette fille sous le faisceau d’un projecteur qui exécutait son numéro comme une somnambule, qui épluchait son costume morceau par morceau tout en bougeant les pieds et en tortillant des hanches au rythme d’une musique disco, jusqu’à ce qu’elle n’ait plus sur elle que son soutien-gorge et son string… après quoi, distraitement, elle a retiré le string avant le soutif, hé hé… et nous les mecs dans la salle on a tous sursauté comme sous l’effet d’une petite décharge électrique… le visage de la fille a exprimé un embarras extrême, elle a marqué un temps d’arrêt dans sa danse et perdu le tempo en se rendant compte de ce qu’elle venait de faire, elle a rougi, réellement rougi, et elle a marmonné « Excusez-moi », les premiers mots qu’elle prononçait sur cette estrade ou sur toute autre, sans doute, une strip-teaseuse ne parle jamais, puis elle a remis son string en place et poursuivi son numéro de robot… Oui, de robot, si on arrivait à loger le hardware dans une enveloppe convaincante de chair synthétique il serait relativement facile de fabriquer un robot effeuilleuse, quoi, ce serait si simple à programmer… Mais pendant un instant, rien qu’un instant, elle avait eu l’air d’un être humain, imprévisible, faillible, vulnérable… quelqu’un a lâché un rire dans la pénombre, une espèce d’aboiement qui a entraîné des gloussements en chaîne parmi les rares spectateurs, et l’ambiance d’érotisme, d’onanisme morose a été rompue… Car le protocole du striptease est strict, il impose un certain ordre dans le dévoilement des parties du corps… en portant atteinte au cadre établi de la scène, tout écart la fera paraître naturelle… comme un simple déshabillage chez soi pour se mettre au lit… chacun se déshabille à sa façon, dans un ordre qui lui est propre, et il lui arrive d’en changer si ça l’arrange… Carrie, par exemple, elle enlève parfois son slip avant son soutien-gorge et elle se balade comme ça dans la chambre si elle s’apprête à se servir du bidet, enfin c’est ce qu’elle faisait avant, maintenant c’est rare qu’elle se promène à poil, elle ne tient pas à exhiber son embonpoint… Martha avait retiré sa culotte en dernier, mais c’était une sorte de strip-tease qu’elle pratiquait devant moi, sans me quitter du regard, jouissant du pouvoir qu’elle exerçait… j’étais assis sur le lit avec une érection grosse comme l’Everest sous mon slip, les yeux écarquillés, le souffle coupé, la bouche sèche, la gorge nouée… Je guettais les bruits du dehors, même si j’avais vu Tom Beard se tirer ce matin-là au volant de sa vieille camionnette avec Sol occupant la place du passager et la remorque remplie de brebis guettées par le retour d’âge qu’il allait fourguer à la foire… oui, même si je savais qu’il ne rentrerait que tard dans la soirée, je craignais quand même qu’il arrive quelque chose, une panne, un accident, à cause de quoi il reviendrait inopinément… « T’inquiète pas, chéri, avait-elle dit en m’entraînant par la main hors de la cuisine vers l’escalier, on entend venir les voitures à des kilomètres, et les grincements de cette vieille grille réveilleraient un mort… » Elle m’a emmené dans sa chambre où elle a fermé les rideaux mais ça n’a guère obscurci la chambre, le soleil de l’après-midi luisait à travers la mince cotonnade et répandait une lumière rosée sur Martha, telle une strip-teaseuse en scène… et elle s’est mise à se dénuder, à ôter ses vêtements un par un en les pliant soigneusement sur le dossier du fauteuil en bois… « Eh ben alors qu’est-ce que t’attends ?
Mi primer polvo, qué tal eso, sí, no hay problema, sus bragas… Lo primero que me vuelve es ella deslizando las bragas por sus caderas… mirándome con picardía desde debajo del pelo que le tapaba la cara, yo estaba paralizado, nunca había visto a una mujer desnudarse… salvo en las películas, por supuesto… pero en aquellos tiempos nunca veías realmente a una mujer quitándose las bragas en la pantalla, ahora que lo pienso no sé seguro si alguna vez… Me refiero a que sí las veías flotando por el aire o un primer plano de unas bragas en el suelo, pero no a la mujer real… Quizás sea un acto demasiado torpe o feo, difícil de hacer con gracia o con erotismo, encorvarse y agacharse y sostenerse sobre una sola pierna mientras la otra… Las bailarinas de striptease, por ejemplo, siempre tienen algún tipo de broche o de velero que les permite deshacerse de ellas con un solo movimiento… ah, aquella chica en aquel local de Soho que se quitó el tanga antes que el sujetador… no pensaba en nada, o mejor dicho estaba pensando en otra cosa que en su destape, soñando despierta, era a media tarde, una hora muerta, y sólo había unos cuantos clientes en el local, a saber qué diablos hacía yo allí, entre una reunión y otra, quizás un poco bebido y cachondo después de un almuerzo de trabajo, quizás, no me acuerdo, pero allí estaba yo con media docena de pajeros solitarios, desplomados en nuestros asientos en la penumbra tintada de violeta contemplando a aquella chica que ejecutaba su rutina como una sonámbula bajo el cono de un foco, que se despojaba de prendas y telas de su vestimenta mientras arrastraba los pies y cimbreaba las caderas al compás de música disco grabada, hasta quedarse en sujetador y tanga, ah… y nosotros los hombres del público nos incorporamos de un brinco como si nos hubieran aplicado una suave descarga eléctrica… una expresión de vergüenza intensa se pintó en la cara de la chica, que dio un traspié en su baile y perdió el ritmo en cuanto se percató de lo que había hecho y se ruborizó, se sonrojó de verdad, y murmuró “Perdón”, la primera vez que hablaba en aquel escenario o apuesto que en cualquier otro, las strippers nunca hablan, y luego se puso otra vez el tanga y continuó su ritual robótico… Robótico, sí, si se pudieras colocar el hardware en una envoltura convincente de carne sintética sería relativamente fácil fabricar un robot que hiciera striptease, quiero decir que el programa sería muy sencillo… Pero por un momento, sólo durante un momento, ella pareció un ser humano real, imprevisible, falible, vulnerable… alguien se rió en la oscuridad, una breve carcajada parecida a un ladrido, que provocó otras pocas risotadas en el público disperso, y se rompió el ambiente de sombrío erotismo onanista… Porque el protocolo del striptease es estricto, hay que observar cierto orden en la exposición de miembros… cualquier desviación quebrará el marco del suceso, hará que parezca natural… como desnudarse para meterse en la cama en casa… todo el mundo tiene su propia manera de hacer eso, su propio orden, y a veces lo cambias si te conviene… Carrie, por ejemplo, algunas veces se quita las bragas antes que el sujetador, y deambula por el dormitorio así, como si fuese a utilizar el bidé, al menos solía hacerlo, ya no se pasea desnuda muchas veces, se siente cohibida por su silueta… Martha se quitó las bragas al final, pero aquello fue una especie de destape, me miraba todo el rato, disfrutando de su poder sobre mí… Yo estaba sentado en la cama con una erección que producía un pico como el Everest en mis calzoncillos, con los ojos abiertos como platos, sin respirar apenas y con la boca seca pero incapaz de tragar… los oídos me escocían por los sonidos que venían de fuera, aunque hubiera visto a Torn Beard salir esa mañana en su vieja camioneta con Sol en el asiento del pasajero y un remolque lleno de ovejas que ya habían rebasado su época de esplendor y de las que iba a deshacerse en el mercado, cómo le llaman a eso… “selección de edad”, sí, aunque yo supiera que iba a estar ausente hasta la noche, seguía temiendo que ocurriese algo, una avería, por ejemplo, o un accidente, y que volviera a casa inesperadamente… “No te preocupes, amor”, dijo ella, mientras me llevaba de la mano desde la cocina a la escalera. “A un coche se le oye desde kilómetros de distancia, y esa cafetera chirría como un demonio…”. Me llevó arriba a su dormitorio y corrió las cortinas, pero apenas oscurecieron el cuarto, el sol de la tarde que brillaba a través de la fina tela bañaba a Martha en una suave luz rosa, como a una stripper en un escenario… Y ella empezó a desvestirse, despojándose de cada prenda y doblándola con cuidado en el respaldo de una silla windsor… ¿A qué estás esperando?», me dijo, y yo la miré boquiabierto como un idiota. «No seas tímido, no será la primera vez que te veo sin ropa», dijo ella, refiriéndose a la tarde en que me vio nadando en el arroyo con los perros… Un día sofocante, acabábamos de conducir el rebaño a otro pasto, las ovejas pacían ávidamente en la suculenta hierba fresca.
Une estrade et un micro.
Un estrado y un micrófono.
L’estrade l’attendait.
El estrado le aguardaba.
Ils se dirigèrent vers l’estrade.
Se acercaron al estrado.
Il n’y a personne sur l’estrade.
Ante ellos, en el estrado, no hay nadie.
Les occupants de l'estrade s'entre-regardèrent.
Los que estaban sobre el estrado se miraban entre sí.
Il se blottit à mes pieds, sur l’estrade.
Él se acurrucó a mis pies, en el estrado.
J'ai attendu que tu descendes de l'estrade.
He estado esperando a que bajaras del estrado.
gronda une voix sur l’estrade.
—bramó una voz desde el estrado.
Là, sur une estrade, il parlera !
Allí, sobre un estrado, ¡hablará!
Boghaz monta sur l’estrade.
Boghaz subió al estrado.
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