Käännös "monogámica" ranskan
Monogámica
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—¡Serás perra! No, en ese momento estaba atravesando un período monogámico.
— Oh, quelle salope, ce mec ! Non, Matthew, j’étais dans une phase ultra monogame à cette époque-là !
Lo creía siempre igualmente penetrado de su buen derecho monogámico.
Je le croyais toujours aussi pénétré de son bon droit monogamique.
Pertenecer a una civilización poligámica y no monogámica seguramente cambia muchas cosas.
Le fait d’appartenir à une société plutôt polygamique que monogamique change certainement beaucoup de choses.
Y tanto la estructura social como los roles sexuales se habían apartado irrevocablemente del igualitarismo monogámico de los primeros colonos de Tara.
La structure sociale et les coutumes sexuelles s’étaient irrévocablement engagées dans une voie qui s’éloignait de l’égalitarisme monogame des premiers colons de Tara.
Para Paula y Petronio, obligados a divorciarse porque, con su conducta depravada, habían mancillado la sacrosanta institución revolucionaria del matrimonio monogámico, éste fue el principio del fin.
Pour Paula et Petronio, obligés de divorcer parce qu’ils avaient souillé par leur conduite dépravée la sacro-sainte institution révolutionnaire du mariage monogamique, ce fut le commencement de la fin.
Se enrollan en relaciones monogámicas porque compartir el sexo realmente profundo con una persona es mejor que un millón de estrechos y limitados contactos sexuales, en su cultura.
Ils finissent par se retrouver monogames parce que dans leur culture, communiquer en profondeur avec une seule personne en faisant l’amour avec elle vaut mieux qu’un million de relations physiques superficielles.
No sólo tenían que luchar contra los celos y los sentimientos posesivos y los otros males comunes de la pasión, la unión monogámica, sino también las presiones de la sociedad.
Ils devaient faire face, non seulement à la jalousie, au désir de possession et autres maladies passionnelles pour lesquelles l’union monogamique constitue un excellent terrain, mais aussi aux pressions externes de l’organisation sociale.
Hasta los sueños de Vernon eran monogámicos. Las mujeres que aparecían en ellos eran meros íconos del reino autosuficiente de las mujeres: enfermeras, monjas, conductoras de autobuses, cuidadoras de estacionamientos, mujeres policía.
Même les rêves de Vernon étaient monogames : les femmes qui paradaient dans ces paysages d’évasion mais essentiellement quotidiens n’étaient que les symboles du royaume autarcique de la Femme, des infirmières, des bonnes sœurs, des contractuelles, des gardiennes de parking, des policières.
Había sido una relación entusiasta y monogámica con un joven a quien se había sentido muy ligada y que era un amante maravilloso, apasionado y muy hábil (eso le parecía a ella) en sus técnicas sexuales, muy locuaz y cariñoso cuando hacían el amor y muy atento, y a quien le encantaba que ella se lo hiciera con la boca y nunca había parecido que le hiciera daño o le irritara o que se distrajera cuando ella se olvidaba de todo y presionaba contra él, y que siempre cerraba los dos ojos cuando empezaba a acercarse de forma incontrolada a su clímax sexual, y ella (a aquella edad tan temprana) había creído que lo quería y que quería estar con él y podía imaginarse estar casada con él y tener una relación entusiasta durante el resto de sus vidas, hasta que a finales de su primer año juntos, ella había empezado a tener sospechas irracionales de que cuando hacían el amor juntos su amante imaginaba que hacía el amor con otras mujeres.
Il s’était agi d’une relation sérieuse et monogame avec un jeune homme dont elle se sentait très proche et qui était un amant fantastique, passionné, attentionné et compétent (c’est l’impression qu’elle avait eue), exceptionnellement loquace et affectueux pendant l’acte, très attentif, et qui aimait être dans sa bouche, n’avait jamais paru en proie à la douleur, l’irritation ou la distraction quand elle s’oubliait et se frottait contre lui, qui fermait toujours les yeux d’extase lorsqu’il accélérait sans plus pouvoir se contrôler avant de jouir et dont elle avait (à l’âge tendre qui était le sien) été amoureuse, apprécié la compagnie et pu imaginer sans peine qu’elle l’épouserait et coulerait des jours heureux auprès de lui dans le respect mutuel… jusqu’au jour où, vers la fin de la première année de leur histoire, le soupçon irrationnel qu’il s’imaginait faire l’amour avec d’autres femmes quand il le faisait avec elle avait commencé à la tourmenter.
¿Es verdaderamente justo que el placer no sea único, que no sea, más bien, producido por un solo ser, una sola mano, una sola boca, un sexo único, un solo ojo violeta, diría el otro, que no sea revelación monogámica? Mercedes, Fabienne, Elisabeth, fuente de un placer que, a fuerza de ser idéntico, se hace otro, extraño, confuso, inaprensible, ¿es justo que el placer se deslice sobre el cuerpo como agua de lluvia, refrescante, súbita, en el calor tormentoso de un verano de descubrimientos infantiles, que resbale y se evapore, retenido no por el cuerpo mismo, poroso, olvidadizo, viviendo en la transparencia de lo efímero, del perpetuo presente, sino retenido por la red de las palabras, refinadas o impregnadas de brutal precisión, no importa, palabras de éter o de bruma que dan su consistencia real, comoquiera que sea, a los acontecimientos, no obstante materiales, de la carne?, pero apoyándose con los codos en el estante de este armario acristalado lleno de libros cuyos título intenta ahora recordar para expulsar de su espíritu, memoria, imaginación, como se quiera, las imágenes reavivadas por las palabras que las nombran, las palabras dichas a Mercedes en Soho, las palabras dichas a Fabienne en Formentor, en la calle de Bourdonnais, y cuya vertiginosa proliferación le haría irse demasiado rápidamente para su gusto, para apartar de sí la sustancia impalpable de imágenes evanescentes, pero de una pérfida y lacerante precisión que aceleraría el fin de este placer, del que, ahora, aquí, él solamente quiere saborear la duración, el calor, la fricción, la devoradora aspiración, siempre, hasta el fin de los tiempos, sino acodarse detrás, evadirse en el recuerdo irónico de Ovidio, ergo ubi concubitus et opus iuvenale petetur, había en el estante también un volumen de Hesíodo, recuerda, lechuza sabia de tinta negra sobre la portada parda, «que no te haga perder el sentido una mujer, con su grupa emperifollada;
Est-ce vraiment juste que le plaisir ne soit pas unique, qu’il ne soit pas, plutôt, produit par un seul être, seule main, seule bouche, sexe unique, seul œillet violet, dirait l’autre, qu’il ne soit pas révélation monogamique ? Mercédès, Fabienne, Élizabeth, source d’un plaisir qui à force d’être identique devient autre, étrange, confus, insaisissable, est-ce juste que le plaisir glisse sur le corps comme eau de pluie, rafraîchissante, soudaine, dans la chaleur orageuse d’un été d’enfantines découvertes ? qu’il glisse et s’évanouisse, retenu non par le corps lui-même, poreux, oublieux, vivant dans la transparence de l’éphémère, du perpétuel présent, mais retenu prisonnier par le filet des mots, raffinés ou empreints de brutale précision, n’importe, mots d’éther ou de brume ou bien de foutre qui donnent leur consistance réelle, quoi qu’il en soit, aux événements pourtant matériels de la chair, mais prenant appui des coudes sur l’étagère de cette armoire vitrée remplie de livres dont il essayait maintenant de se rappeler les titres pour chasser de son esprit, mémoire, imagination, comme on voudra, les images ravivées par les mots qui les nomment, les mots dits à Mercédès, à Soho, les mots dits à Fabienne à Formentor, rue des Bourdonnais, et dont la tourbillonnante prolifération, désormais, le ferait partir trop vite à son goût, pour écarter de lui la substance impalpable d’images évanescentes mais d’une perfide et lacérante précision qui hâteraient la fin de ce plaisir dont il ne veut, maintenant, ici, que goûter la durée, la chaleur, le frottement, la dévorante aspiration, toujours, jusqu’à la fin des temps, mais s’accouder en arrière, s’évader dans le souvenir ironique d’Ovide, ergo ubi concubitus et opus iuvenale petetur, il y avait sur l’étagère également un volume d’Hésiode, se souvient-il, chouette sage d’encre noire sur la couverture bistre, « qu’une femme n’aille pas non plus, avec sa croupe attifée, te faire perdre le sens ;
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