Käännös "un multiplier" espanja
Un multiplier
  • una multiplicación
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una multiplicación
— Si l’on devait se multiplier au point de remplir l’univers, la tâche serait ardue.
—Llenar el universo requeriría un montón de multiplicación.
On répand ainsi l'idée que multiplier les conquêtes est forcément un indice de frustration féminine.
Así se extiende la idea según la cual la multiplicación de conquistas es un índice de frustración femenina.
L’économie politique doit donc enseigner, et le Gouvernement s’ingénier à multiplier les obstacles.
La Economia política debe pues enseñar, y el Gobierno procurar la multiplicacion de estos obstáculos.
Ici, en continuant de se multiplier, elle allait aboutir à sa propre destruction… Oui, bien sûr, hélas, il fallait les faire avorter.
Alcanzarían su propia destrucción al proseguir aquí con su multiplicación… Sí, no cabía duda, desgraciadamente no quedaría más remedio que hacerlas abortar.
Pour combattre ce risque, le corps s’efforce de produire ce que l’on appelle les suppresseurs de lymphocytes, chargés de contrôler le comportement des lymphocytes tueurs et de les empêcher de se multiplier.
Para combatir esto, el cuerpo intentaba desarrollar el llamado supresor de linfocitos, que podía controlar a los asesinos y detener su multiplicación.
S’il apparaissait que j’étais la meilleure pour dire les poésies, réciter les tables de multiplication, diviser, multiplier ou énumérer les différentes zones des Alpes – qui pouvaient être maritimes, cottiennes, grées, pennines, etc. –, les autres enseignants me faisaient quand même une caresse, et les élèves sentaient bien les efforts que j’avais fournis pour apprendre par cœur tous ces trucs, et par conséquent ils ne me détestaient pas.
De modo que si resultaba la mejor recitando poemas, diciendo las tablas de multiplicar, haciendo divisiones y multiplicaciones, enumerando que los Alpes eran marítimos, cocios, grayos, peninos, etcétera, los demás maestros me prodigaban, pese a todo, una caricia, y los alumnos notaban cuánto me había esforzado para memorizar todos esos datos y por eso no me odiaban.
Ils semblent vivre consumés par l’avidité insatiable d’accumuler encore, poussés par la pure inertie de multiplier leurs possessions comme les rois avares des fables, comme ces requins de la finance de Wall Street qui ne connaissent ni scrupule ni assouvissement et sont capables de risquer le déshonneur et la prison uniquement pour ajouter à leurs richesses déjà inconcevables quelques milliers de millions de dollars.
Parece que viven consumidos por la codicia insaciable de seguir acumulando, empujados por la simple inercia de la multiplicación de sus posesiones, como los reyes avaros de las fábulas, como esos tiburones financieros de Wall Street que no tienen escrúpulos ni conocen el sosiego y son capaces de jugarse la vergüenza y la cárcel con tal de añadir a sus riquezas ya inconcebibles algunos miles de millones de dólares.
Les riches, en cherchant la « satisfaction de leurs propres désirs insatiables et futiles » sont « conduits par une main invisible » de telle manière que « sans le vouloir, sans le savoir, [ils] font progresser l'intérêt de la société et donnent les moyens de multiplier l'espèce[76]. » Croyant en l'existence de Dieu, Smith ne pouvait s'empêcher de faire remonter toutes les choses terrestres à Dieu et à son attention providentielle, tout comme plus tard le catholique Bastiat parla lui aussi de l'intention de Dieu[77].
Los ricos, tratando de lograr «la gratificación de sus deseos vanos e insaciables», son «conducidos por una mano invisible», de tal forma que, «sin desearlo, sin saberlo, promueven el interés de la sociedad y proporcionan medios para la multiplicación de la especie»[67]. Puesto que creía en la existencia de Dios, Smith no pudo menos de referir a Él y a su cuidado providencial todas las cosas de la tierra, de la misma forma que más tarde el católico Bastiat hablaría del dedo de Dios[68].
Plus il travaillait, plus la silhouette furieuse de Dieu remontait à la surface et devait être retirée : Dieu qui chassait Adam et Ève pour leur apprendre à faire la différence entre le bien et le mal, Dieu préférant la viande aux légumes et faisant en sorte que le premier cultivateur haïsse le premier gardien de troupeau, Dieu faisant table rase avec des trombes d’eau et ne laissant que le nombre suffisant d’espèces pour recommencer à se multiplier, Dieu gâchant la langue pour empêcher les nations unies de l’atteindre à Babel, Dieu en train de dire à un peuple d’envahir, d’exterminer et de faire des esclaves en son nom, puis laissant l’autre peuple faire la même chose en retour. Les catastrophes se succédaient à perte de vue, jusqu’à ce que Thaw eût envie de les faire cesser en introduisant la colline et la potence où Dieu, dégoûté de sa nature violente, tentait de laisser la miséricorde divine sur la Terre en se faisant pendre comme le criminel qu’il était.
Cuanto más trabajaba esa zona, más frecuentemente aparecía la furiosa figura de Dios, y más veces tenía que eliminarla: Dios expulsando a Adán y Eva por aprender a distinguir el bien del mal, Dios prefiriendo la carne a los vegetales y haciendo que el primer agricultor odiara al primer pastor, Dios limpiando la pizarra del mundo con agua y dejando sólo la cantidad de números suficientes para empezar nuevamente la multiplicación, Dios confundiendo sus lenguajes para evitar que la unión de las naciones llegara hasta los cielos en Babel, Dios diciéndole a la gente que invadiera, exterminara y esclavizara en su nombre, y dejando después que los otros les hicieran lo mismo a ellos… Un desastre detrás de otro llenando el horizonte hasta que Thaw sintió deseos de taparlo con la colina y el cadalso donde Dios, cansado de su propia naturaleza violenta, intentaba lograr que la compasión divina entrara en el mundo ajusticiándose como el criminal que era.
Samedi 7 octobre, sur l’île d’Elbe : à peine venons-nous de rentrer dans la maison avec les objets et les cartons que nous avons rapportés de mon pavillon à Rome, le téléphone sonne, Gustave décroche, je l’entends dire : « Oui, Bill. » Excité comme une puce, Bill appelle de New York, nous apprendrons qu’il s’est fait sonner les cloches par Robin, il dit que le vaccin de Mockney a enfin reçu, la veille, la licence d’une organisation très peu laxiste, qui bloquait tout jusqu’à nouvel ordre, ce qui allait permettre de multiplier les expérimentations aux États-Unis : « Comme ça, s’il y a le moindre problème pour toi sur le protocole français, tu viendras trois-quatre jours à Los Angeles, et on te fera tes rappels à Paris. » Après un passage à Genève, Bill se trouvera à Paris à la fin de la semaine, il propose que nous fassions le point tous les trois avec Chandi, « mais, ajoute-t-il, ce n’est pas moi qui peux demander ce rendez-vous ».
Sábado, 7 de octubre, en la isla de Elba: no bien entramos en la casa con los objetos y las cajas que hemos traído de mi pabellón en Roma, suena el teléfono, lo coge Gustave y le oigo decir: «Sí, Bill». En estado de gran excitación Bill llama desde Nueva York —más tarde sabremos que Robin le ha echado un rapapolvo—, dice que la víspera la vacuna de Mockney ha recibido por fin la autorización de una organización de control muy estricta que bloqueaba el proceso de puesta a punto de la vacuna hasta nuevo aviso, lo cual va a permitir la multiplicación de los experimentos en Estados Unidos: «Así, si hay el menor problema para ti en el protocolo francés, podrás venir tres o cuatro días a Los Angeles a que te pongan la vacuna, y luego te darán las siguientes dosis en París». Tras un viaje a Ginebra, Bill irá a París al final de la semana y propone que él, Chandi y yo analicemos la situación, «pero», añade, «no soy yo quien puede solicitar esa cita».
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