Käännös "qui lavent" espanja
Qui lavent
  • quien se lava
  • que lavan
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quien se lava
« Quand je pense que tous ces gens se lavent avec du fumier ! »
—¡Cuando pienso que toda esa gente se lava con estiércol!
Les mères bédouines lavent leur nouveau-né dans de l’urine de chameau ou dans la leur.
La madre beduina lava al recién nacido con orina de camello o con la suya propia;
Combien Pilate est joli garçon et digne d’amour quand on le compare à la multitude considérable des gens qui se lavent les mains !
¡Qué buen chico es Pilatos y cuán digno de estima cuando se lo compara con la considerable multitud de gente que se lava las manos!
Nous, les LME, nous savons que nous ne maîtrisons quasiment rien – que nous ne choisissons pas ceux qui nous donnent à manger, qui nous habillent, qui nous lavent, qui nous disent quels médicaments prendre.
Nosotros sabemos que hay muy pocas cosas que controlemos: quién nos da de comer, quién nos viste, quién nos lava, quién nos receta medicinas.
 Il y a des gens qui se lavent les mains plusieurs fois par jour, moi par exemple, reprit-elle, et maintenant retournez dans votre chambre, vous allez attraper froid.
Hay gente que se lava las manos varias veces al día, por ejemplo yo —continuó la muchacha—, y ahora entre en la habitación, que cogerá frío.
Les gens prennent des bains, pensent à certaines choses, se lavent et sortent ensuite de l’eau, tout cela est plutôt banal, mais les actes les plus banalement quotidiens peuvent être une menace considérable en ce monde.
La gente se mete en el baño, piensa en sus cosas, se lava, luego sale del agua, todo parece bastante banal, pero incluso los actos cotidianos más triviales pueden suponer una amenaza considerable en este mundo.
La camionnette gravit la côte à l’endroit où la route bifurque, une branche se dirige vers Montinho où João Mau-Tempo a déjà habité, de même que sa défunte mère, Sara da Conceição, et ses frères, les uns ici, les autres là, aucun à Monte Lavre, l’histoire concerne ceux qui sont restés et pas ceux qui sont partis, et avant que je n’oublie, l’autre branche de la rue est celle par où passent le plus souvent les maîtres locaux du latifundium, à présent la camionnette a tourné et descend en cahotant, crachant de la fumée et soulevant la poussière du chemin aride, les femmes et les enfants, de même que les vieillards, sont repoussés par la carcasse brinquebalante, mais quand celle-ci s’arrête au ras du mur étayant le dénivellement sur lequel le poste de la garde est construit, les gens, désespérés, se cramponnent aux ridelles, mais cette fois les choses se corsent, car la patrouille à l’intérieur frappe les doigts sombres et sales avec les crosses, ces gens-là ne se lavent pas, père Agamedes, c’est bien vrai dona Clemência, mais que faire, ils sont pires que des bêtes, et le sergent Armamento de Montemor braille, Si quelqu’un approche, il se prend une balle, on voit tout de suite qui a de la poigne.
Va la camioneta cuesta arriba, hasta la bifurcación de la calle, donde se abre una rama que lleva a Montinho, allá vivió Juan Maltiempo, y también su difunta madre Sara de la Concepción, y sus hermanos, unos por aquí, otros por allá, en Monte Lavre ninguno, que la historia es de quien aquí se quedó y no de los que se fueron, y, antes de que se me olvide, la otra rama de la calle es por donde más pasan los dueños locales del latifundio, ahora ya la camioneta ha dado la vuelta y baja a trompicones, echando humo y levantando polvo de la calzada reseca, y las mujeres y los chiquillos, también los viejos, se ven empujados por aquel cacharro bamboleante, pero cuando se para, pegada al muro que aguanta el desnivel en que está construido el cuartel, se agarran las mujeres desesperadas a los adrales, pero esta vez la patrulla que va dentro golpea con las culatas los dedos oscuros y sucios, esta gente no se lava, padre Agamedes, es verdad, doña Clemencia, qué se va a hacer, son peores que animales, y el sargento Armamento de Montemor grita, Si alguien se acerca, le pego un tiro, en seguida se ve quién tiene allí autoridad.
Vous deviez y entrer, vous savonner avec un tampon de luffa, puis replonger dans l’eau, grand-mère arrivait sur ces entrefaites, elle vous forçait à vous agenouiller dans la baignoire, vous maintenait fermement par le bras et vous frottait de fond en comble, de la tête aux pieds et des pieds à la tête, avec une sorte de brosse hérissée de poils redoutables, pareille au peigne de fer avec lequel l’Empire romain avait écorché vif rabbi Akiva et d’autres martyrs, jusqu’à ce que la peau ressemble à de la viande crue, grand-mère vous commandait alors de fermer les yeux très fort et puis elle vous frictionnait la tête en vous grattant le cuir chevelu avec ses ongles, tel Job avec son tesson, tout en vous expliquant de sa voix bistre, bien timbrée, qu’au cours de la nuit, pendant le sommeil, les glandes produisaient des miasmes de crasse malsaine, une sorte de transpiration visqueuse, des déchets corporels graisseux, des débris de peau malpropres, des cheveux, quantité de cellules mortes dégoûtantes et autres sécrétions liquides troubles, Dieu nous en préserve, « et pendant que tu dors, tous ces résidus qui recouvrent ton corps se mélangent et invitent carrément les microbes, les bacilles et même les virus à venir t’infester, sans parler de ce que la science n’a pas encore découvert, ce qu’on ne peut pas distinguer, même avec un microscope très puissant, et même si on ne les voit pas, ils se promènent toute la nuit sur toi avec leurs millions de fines pattes poilues et répugnantes, comme celles des cafards, sauf qu’elles sont si minuscules qu’elles sont invisibles et que même les savants ne voient rien, et avec leurs pattes sales et pleines de poils, ils s’infiltrent à l’intérieur de nous en passant par le nez, la bouche et par tu sais quoi, d’autant que les gens ne se lavent jamais comme il faut dans ces endroits pas jolis jolis et qu’ils s’essuient en plus, comme si s’essuyer, c’était se laver, alors que c’est juste faire pénétrer ces matières infectes dans les millions de minuscules trous qu’on a sur la peau, de sorte que tout devient là-bas de plus en plus pourri, humide et dégoûtant, surtout que la saleté produite par notre corps à l’intérieur, jour et nuit, se mélange à la saleté du dehors qu’on attrape au contact de choses pas très hygiéniques dont on ne sait pas qui les a touchées avant vous, comme l’argent, par exemple, les journaux, les rampes d’escaliers, les poignées de portes ou même la nourriture qu’on achète, qui sait si quelqu’un ne vient pas juste d’éternuer sur quelque chose que tu as pris, ou si, tu m’excuseras, il ne s’est pas mouché et que quelque chose est tombé sur les papiers de bonbons que tu ramasses dans la rue et que tu mets sur ton lit où tu dors juste après, sans parler de ta collection de bouchons de bouteilles que tu déniches dans les poubelles, et le maïs que ta mère, qu’elle reste en bonne santé, t’achète chez ce type qui ne s’est peut-être pas lavé ni essuyé les mains après avoir fait tu sais quoi, excuse-moi, et comment savoir s’il n’est pas malade ?
Tu deber era mojarte, enjabonarte bien, frotarte con un ovillo rizado, un estropajo al que se llamaba lipa, y volverte a mojar, entonces llegaba la abuela y te ponía de rodillas en la bañera, te agarraba con fuerza del brazo y con sus propias manos te restregaba de arriba abajo y de abajo arriba con una especie de cepillo de crin terrorífico, como los peines de hierro del malvado Imperio romano, esos peines de hierro que desollaron a rabí Aquiba y al resto de las víctimas del Imperio, hasta que tu piel se ponía rosada como la carne cruda, y entonces la abuela te ordenaba cerrar bien los ojos, te enjabonaba la cabeza y te frotaba el cuero cabelludo con las uñas, como Job mortificando su cuerpo con el casco de una vasija, y mientras tanto te explicaba con su voz marrón, agradable, el estercolero de inmundicias que segregaban las glándulas corporales cada noche al dormir, como un sudor pegajoso y todo tipo de materia grasa expulsada por el cuerpo y porquería de escamas de la piel y caída del pelo y restos de un montón de células muertas y toda clase de turbios flujos que es mejor no nombrar, y mientras duermes y no sientes nada todas esas sustancias corporales se impregnan en tu cuerpo, se mezclan e invitan, literalmente, a los microbios, a los bacilos y a los virus a que se reproduzcan en él, por no hablar de todo lo que la ciencia aún no ha descubierto, todo lo que aún no se puede ver siquiera con el microscopio más potente, pero aunque no se vean, están toda la noche andando por tu cuerpo con trillones y trillones de patitas peludas, sucias y repugnantes, con patas idénticas a las de las cucarachas aunque mucho más pequeñas, tan pequeñas que no se ven, ni siquiera los científicos las han podido ver aún, y con esas patas llenas de fibras asquerosas reptan y entran de nuevo en el cuerpo a través de la nariz y la boca y a través de, no tengo que decirte a través de qué otra cosa entran, porque en esos sitios feos la gente no se lava nunca como es debido pues secarse no es lo mismo que lavarse, es sólo extender los fluidos inmundos en los millones de orificios diminutos que tenemos en la piel, y todo se vuelve más y más inmundo, sudado y asqueroso, sobre todo cuando la suciedad interior del cuerpo que segregamos día y noche se mezcla con la suciedad externa que se nos pega de cosas poco higiénicas que quién sabe lo que habrán tocado antes. Como, por ejemplo, dinero, periódicos, la barandilla de una escalera, el picaporte de la puerta o incluso la comida que compramos, pues vete tú a saber quién habrá estornudado antes sobre lo que estás tocando, o quién, perdona que te lo diga, se ha limpiado la nariz cerca o se la ha sonado justo encima del papel de plata que tú recoges en la calle y luego pones en la cama donde después dormirá alguien, por no hablar de los tapones que coges directamente de la basura y de la mazorca de maíz caliente que tu madre, Dios le conserve la salud, te compra y que toma de la mano de ese hombre que tal vez ni se ha lavado ni secado las manos después de hacer, con perdón, y además ¿cómo podemos saber si es una persona sana?
que lavan
Des télépathes qui ne se lavent jamais.
telépatas que no se lavan.
Les hommes se lavent les mains.
Los hombres se lavan las manos.
Ils le remplissent de terre et la lavent.
La llenan de tierra y la lavan.
— Elles se lavent, dit Orem.
—Se lavan —dijo Orem—.
Ces types-là se lavent le derrière.
Esos tipos se lavan el trasero.
— Rien, c'est comme des oursons qui lavent le linge...
—Nada… Son osos que lavan la ropa.
Et attention : ils se lavent les mains avant leur cours.
Y ¡ojo!; antes de la clase se lavan las manos.
Pour commencer, ils ne se lavent pas très souvent.
Para empezar… no se lavan tan a menudo como deberían.
S’ils le peuvent, ils se lavent. Ils ne se rasent jamais.
Si pueden, se lavan. Nunca se afeitan.
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