Käännös "prendre la peine" espanja
Prendre la peine
Käännösesimerkit
Elle n'allait même pas prendre la peine de s'habiller tout de suite.
Ni siquiera se iba a molestar en vestirse todavía.
Alors que les Conjoineurs s’empareront des armes sans même prendre la peine de discuter.
Pero los combinados ni siquiera se van a molestar en negociar. Se limitarán a coger las armas sin preguntar.
Toutes ces histoires d’apparence, ce sont des conneries, et je ne vais même pas prendre la peine d’en discuter avec vous.
Todo ese asunto de la apariencia es una tontería y ni siquiera me voy a molestar en discutirlo con usted.
Lydia soupira : les deux jeunes filles n’y seraient certainement pas, mais elle ne voulut pas prendre la peine de rappeler Annie et de la réprimander à nouveau.
Lydia lanzó un suspiro. Las muchachas no estarían allí, pero no se iba a molestar llamando otra vez a Annie para regañarla.
C’est pourquoi je suggère en fait de le tuer sans prendre la peine de déranger Mr. Arthur B. Tauber ; de toute façon il doit être à l’Agence, et au moment où nous…
En ese caso, creo que deberíamos matarlo sin más dilación y sin molestar al señor Arthur Tauber, que sin duda debe de estar en la Agencia.
J’étais cette créature insolite qui venait lui dire : « Bonjour, Gerónimo, me voici, je suis ta fiancée de dessin animé », alors il dut prendre la peine de m’expliquer que non, que j’étais irréelle, que la réalité, c’était le cauchemar de sa vie actuelle.
Yo era esa criatura insólita que venía a decirle: «Hola, Gerónimo, aquí estoy, soy tu novia dibujada», y entonces él se tuvo que molestar en explicarme que no, que soy irreal, que lo auténtico es la pesadilla de su vida actual.
Il ne lui restait qu’un seul espoir : qu’il donne son nom et crie son innocence à chaque prisonnier qu’il croiserait, afin que celui-ci, une fois éventuellement libéré, puisse non seulement se souvenir de lui, mais prendre la peine d’appeler Kathy ou de dire à quelqu’un où il se trouvait.
Tenía una sola esperanza: divulgar su nombre y su inocencia a todos los prisioneros que conociera para que, en el supuesto de que alguno fuera puesto en libertad alguna vez, no solo recordara el nombre de Zeitoun, sino que además se molestara en llamar a Kathy o contarle a alguien dónde estaba.
Tout d’abord, il ordonna l’établissement du Bureau d’assimilation, avec des programmes alibis, comme Des Gens parmi d’Autres et la loi de peuplement de 42, qu’il jugeait assez négligeables pour ne pas léser sérieusement les Juifs tout en répondant en apparence à l’injonction himmlérienne d’« entamer le processus de marginalisation systématique débouchant à court terme sur la confiscation de toutes les fortunes juives, et la disparition totale de la population juive, corps et biens ». Heinrich Himmler n’était guère homme à se laisser berner par un subterfuge aussi transparent, ni à prendre la peine de masquer sa déception lorsque Lindbergh osa se justifier (par l’entremise de von Ribbentrop que Himmler lui avait dépêché sous couvert de visite festive officielle pour l’aider à formuler des mesures anti-juives plus radicales) en expliquant au commandant en chef des camps de concentration que des garanties inscrites dans la Constitution américaine, ainsi que des traditions démocratiques fort anciennes, prévenaient l’exécution rapide et efficace d’une solution finale au problème juif, contrairement à ce qui se passait en Europe où l’antisémitisme avait des racines millénaires dans le peuple, et où la règle nazie était absolue. Pendant le dîner officiel donné en l’honneur de von Ribbentrop, Lindbergh fut pris à part par son hôte distingué, qui lui tendit un câble, décodé quelques instants plus tôt à l’ambassade d’Allemagne et qui constituait toute la réponse de Himmler : « Pensez à l’enfant avant de répondre avec une telle niaiserie. Pensez à ce brave petit Charles, remarquable cadet allemand, qui malgré ses douze ans sait bien mieux que son célèbre père tout le cas que notre Führer fait des garanties constitutionnelles et des traditions démocratiques, surtout lorsqu’elles protègent des parasites. »
Para empezar, ordenó el establecimiento de la Oficina de Absorción Americana, que a su modo de ver era una agencia lo bastante intrascendente para que los judíos siguieran básicamente indemnes al tiempo que, mediante programas simbólicos como Solo Pueblo y Colonia 42, parecía cumplir con la directriz de Himmler para «iniciar en Norteamérica un proceso sistemático de marginación que, en un futuro previsible, lleve a la confiscación de la riqueza judía y a la total desaparición de la población judía, sus pertenencias y sus propiedades». Heinrich Himmler no era hombre al que se pudiera despistar con un engaño tan transparente ni se molestara en ocultar su decepción cuando Lindbergh se atrevió a justificarse (por medio de Von Ribbentrop, a quien Himmler envió a Washington, supuestamente en una solemne visita de Estado, para ayudar al presidente en la formulación de unas medidas antijudías más estrictas) explicando al jefe supremo de los campos de concentración de Hitler que ciertas garantías insertas en la Constitución de Estados Unidos, combinadas con las añejas tradiciones democráticas norteamericanas, imposibilitaban que una solución final del problema judío se realizara en América con tanta rapidez y eficacia como en un continente con una historia de dos mil años de antisemitismo profundamente arraigado en el pueblo y donde el dominio nazi era absoluto. Durante la cena de Estado celebrada en honor de Von Ribbentrop, el apreciado invitado hizo un aparte con el presidente y le entregó un cablegrama, descodificado unos momentos antes en la embajada alemana, que contenía en su totalidad la réplica de Himmler. «Piense en el niño —decía el cablegrama—, antes de responder de nuevo con semejantes paparruchas. Piense en el joven y valiente Charles, un sobresaliente cadete militar alemán que ya a la edad de doce años conoce mejor que su célebre padre el valor que nuestro Führer concede a las garantías constitucionales y las tradiciones democráticas, especialmente en lo que se refiere a los derechos de los parásitos».
molestia
— Vous devriez en prendre la peine.
—Debería tomarse la molestia.
Pourquoi prendre la peine de peindre.
¿Por qué tomarse la molestia de pintar?
Pourquoi prendre la peine d’en faire une copie ?
¿Por qué tomarse la molestia de hacer una copia?
Sans prendre la peine de se sécher, elle a revêtu sa robe.
Se puso la ropa sin tomarse la molestia de secarse.
Et il ne voulait certainement pas prendre la peine de rédiger un rapport.
Y la verdad es que no quería tomarse la molestia de redactar un informe sobre su irresponsabilidad.
Vous pouvez dire à votre ami de ne pas prendre la peine de revenir.
Ya puedes decirle a tu amigo que no se tome la molestia de volver a venir.
Elle s’est souvent posé la question, sans prendre la peine de chercher une réponse.
A menudo se hace esa pregunta, sin tomarse la molestia de buscar una respuesta.
Pourquoi, dans ces conditions, irait-il prendre la peine de nous éloigner provisoirement d’Aurora ?
¿Por qué, entonces, se tomaría la molestia de alejarnos temporalmente de Aurora?
Elle s’assit sans prendre la peine de tirer sur sa jupe.
Se sentó, sin preocuparse por ajustarse la falda.
 Hitler, répondit-il, sans prendre la peine de parler à voix basse.
—Hitler —replicó él sin preocuparse de bajar la voz—.
Diana ne restera pas ici assez longtemps pour prendre la peine de s’occuper de la maisonnée.
Diana no permanecerá aquí tanto tiempo como para tener que preocuparse por las cuestiones domésticas.
Lockhart les laissa le submerger, sans prendre la peine de se demander pourquoi et comment.
Lockhart dio rienda suelta a sus pensamientos sin preocuparse de por qué ni de dónde venían.
— Alors, dis quelque chose, fit-il impatiemment sans même prendre la peine de se lever.
—Bien, habla —dijo el duende con un tono impaciente, sin siquiera preocuparse por levantarse.
— Tu étais censé me retrouver au bar, dit-il, sans prendre la peine d’aider son contact à se remettre debout.
—Se supone que teníamos que encontrarnos en el bar —dijo, sin preocuparse por ayudar a su contacto a levantarse del suelo.
Il choisit une autre cible, sans prendre la peine de regarder dans cette direction, et tira une deuxième fois.
Eligió otro objetivo, sin preocuparse ni siquiera de mirar en aquella dirección y disparó una segunda vez.
Jed bondit hors de la Cadillac, sans ouvrir la portière, et sans prendre la peine de mettre la voiture au point mort.
Jed saltó del Cadillac sin abrir la puerta y sin preocuparse de poner el freno.
L’Enquêteur eut un faible sourire puis il se coucha sur le lit, une fois de plus sans prendre la peine de se déshabiller.
El Investigador esbozó una sonrisa y se echó en la cama, una vez más sin preocuparse de quitarse la ropa.
Thane monta en piqué sans prendre la peine de consulter ses senseurs tandis que le TIE s’écrasait au sol.
Así que Thane aceleró hacia arriba, sin preocuparse por ver en los sensores la caída del caza.
Elle souriait en coin de l’embarras de Lin Fong sans prendre la peine de se cacher.
Sonreía un poco ante la incomodidad de Lin Fong, sin intentar ocultarlo.
Sans prendre la peine de les regarder, je fixai les fagots qui se consumaient, effaçant de mes pensées la morsure des liens sur mes poignets, la douleur infligée par mes contusions et le désagrément causé par mes vêtements détrempés.
No los miré. Fijé la vista en los leños humeantes. Me olvidé de las magulladuras de las muñecas atadas, del dolor de mis contusiones, de la incomodidad de mis ropas empapadas.
Je l’ai invité à dîner, nous sommes sortis ensemble plusieurs soirs de suite, jusqu’à ce que je lui lâche ce que je voulais : non pas coucher avec lui, aucun de nous deux n’y tenait, mais avoir un enfant de lui, oui, et pour ne même pas prendre la peine — la gêne — de devoir coucher ensemble après tant d’années, nous pouvions le faire au moyen d’une insémination artificielle.
Lo invité a comer, salimos juntos varios días, hasta que le solté lo que quería: no acostarme con él, que ya ninguno de los dos tenía ningún interés, pero sí tener un hijo suyo, y para no tener siquiera la pena y la incomodidad de tener que volver a acostarnos después de tanto tiempo, podíamos hacerlo mediante una inseminación artificial.
preocupar
Lydia lui avait dit de ne pas prendre la peine de la chercher à son domicile.
Lydia, siempre le decía que no se preocupara por ir a buscarla.
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