Käännös "poème préféré" espanja
Poème préféré
Käännösesimerkit
« Lis-moi ton poème préféré », dit-elle à son petit-fils.
—Léeme tu poema favorito —le dice.
Clara venait de citer l’un de ses poèmes préférés.
Clara acababa de citar uno de sus poemas favoritos.
Je suggère que nous lisions tous nos poèmes préférés… si vous aimez lire en public. – Oh oui !
Podríamos leer nuestros poemas favoritos en voz alta…, si les gusta leer en voz alta. —¡Pues sí!
« Eh bien, Daphné et moi avons conçu un plan, voyez-vous : il s’agirait que chacun d’entre nous lise son poème préféré de Tennyson.
—Bueno, a Daphne y a mí se nos ha ocurrido la idea, ¿saben?, de que cada uno de nosotros lea en voz alta su poema favorito de Tennyson.
— C’est le message qui m’a le plus inquiété. C’était le poème préféré de Jesús María, il n’arrêtait pas de le réciter à ses élèves, et je faisais pareil à cause de lui.
—Eso me asustó más que los otros mensajes, era el poema favorito de Jesús María, a cada rato se lo recitaba a sus alumnos, yo empecé a hacerlo por su culpa.
C’était inévitable, murmura Laura protégée par la splendeur soudaine d’un coucher de soleil prolongé, agonisant mais amoureux de sa propre beauté, un crépuscule narcissique propre à la Vallée de Mexico, et elle se récita l’un des poèmes préférés de Jorge Maura :
Era lo fatal, murmuró Laura cobijada por el súbito esplendor de un atardecer prolongado, agónico pero enamorado de su propia belleza, un atardecer narcisista del Valle de México, repitiendo uno de los poemas favoritos de Jorge Maura,
Martin avait un poème préféré ; on y racontait comment Horace avait défendu le dernier pont de Rome face à l’armée de l’envahisseur de la maison de Tarquin, tandis que les Romains le démolissaient derrière lui :
Martin siempre había tenido un poema favorito, la historia de cómo Horacio de Roma defendió el último puente ante el ejército invasor de la Casa de Tarquino mientras los romanos destrozaban el puente a su paso. Sus compañeros y él solían recitar siempre el mismo verso:
Dans leurs lettres, ces gens me parlaient – ou plutôt, parlaient à Salinger, par mon entremise – de leurs frustrations conjugales, de leurs enfants décédés, de leur ennui et de leur désespoir ; ils évoquaient leurs chansons et leurs poèmes préférés, leurs voyages au Grand Canyon ou à Hawaï, leurs poupées favorites. Ils me racontaient – racontaient à Salinger – des choses qu’ils n’avaient jamais confiées, j’en étais sûre, à personne d’autre.
Aquellas personas me escribían —bueno, a mí no, a Salinger, aunque yo era la encargada de responderles— acerca de sus frustraciones matrimoniales, la muerte de sus hijos, su aburrimiento y desesperación, sus canciones y poemas favoritos, los viajes que habían realizado al Gran Cañón y a Hawai, sobre sus muñecas favoritas… Me contaban —bueno, a Salinger— cosas que seguramente nunca le habían contado a nadie.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test