Käännös "fait l'expérience" espanja
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Nous avons fait l’expérience des Marines.
Ya hemos tenido la experiencia de los marines.
Elle-même, en avait-elle fait l’expérience ?
¿Hablaba a partir de su propia experiencia?
J’en ai souvent fait l’expérience. »
He vivido a menudo esta experiencia.
pour ma part, je n’en ai jamais fait l’expérience.
experiencia en eso por mí mismo.
Je sais ce que c’est, j’en ai fait l’expérience.
Lo sé muy bien, por experiencia propia.
J’en ai fait l’expérience personnelle, croyez-moi.
He tenido experiencia personal sobre eso, créanme.
À Ilhéus c’était impossible, il en avait fait l’expérience.
En Ilhéus era imposible, ya lo sabía él por experiencia.
Porta et Petit-Frère en avaient fait l’expérience.
Porta y Hermanito habían hecho la experiencia.
Je crois pouvoir dire que tous ici en ont fait l’expérience.
Creo que es algo que todos los presentes hemos podido experimentar.
Ces hommes avaient également fait l’expérience du réseau informatique de Marginis.
Esos hombres habían ido, después de él, a experimentar con la red del ordenador alienígena de Marginis.
Mais il n’arrivait pas à retrouver les puissants sentiments qu’il avait éprouvés lorsqu’il avait fait l’expérience de cette réalité.
Pero no se sentía capaz de recuperar las increíbles sensaciones que lo habían asaltado al experimentar esta realidad.
Il se retourna au dernier moment, me regardant comme s’il avait fait l’expérience religieuse du sacrifice.
Se volvió en el último momento, mirándome como si experimentara una resignación religiosa.
Ayant fait l’expérience des paroles calibanes, McKie décida que Masarard était un ignorant prétentieux.
Tras experimentar las palabras del calibán, McKie decidió que Masarard era un asno pretencioso.
On dit qu’après avoir fait l’expérience du vaste et mystérieux océan, une fille connaît sa mère et la comprend pour la première fois.
Dicen que después de experimentar el mar inmenso e incognoscible, una hija conoce a su madre y la entiende por primera vez.
C'était bien ma voix, mais empreinte d'une sagesse, d'un calme et d'une compassion absolus. C'était le timbre qu'elle aurait eu si j'avais, une fois dans ma vie, fait l'expérience de l'amour et de la certitude.
Era mi voz, pero absolutamente sabia, tranquila y compasiva. Era como sonaría mi voz si yo hubiera logrado experimentar el amor y la seguridad alguna vez en mi vida.
Fish, lui, regardait le révérend Merrill comme s’il s’attendait à un nouveau miracle dans le genre de la Nativité, dont il avait fait l’expérience toute récente pour la première fois.
Fish contempló al reverendo Lewis Merrill como si esperara más «milagros» de la categoría del Nacimiento que muy recientemente, y por primera vez, experimentara.
Communiquer si intimement avec quelqu’un, que quelqu’un vous parle silencieusement et que pourtant on comprenne plus clairement que si cette personne avait crié de toute la force de ses poumons, c’est une chose dont je n’ai plus jamais fait l’expérience avec quiconque tout le reste de ma vie.
Comunicarme tan íntimamente con alguien, que alguien me hablara mediante el silencio y yo lo comprendiera más claramente aún que si me lo hubiera dicho a voz en grito, fue algo que nunca volví a experimentar con nadie en toda mi vida.
Il plongea encore et encore dans les profondeurs de son esprit pour en remonter la vérité incandescente dont il avait fait l’expérience au récif de corail ce jour-là. Il n’en restait rien. Il avait le souvenir d’un souvenir ; pourtant, celui qui importait avait disparu, ou s’était enfermé dans un coquillage, se rendant inaccessible à jamais.
Se hundía una y otra vez en las profundidades de su mente, intentando rescatar esa verdad incandescente que había sentido aquel día, en el arrecife de coral. No quedaba nada. Tenía el recuerdo de un recuerdo, pero la vivencia que buscaba se había desvanecido, o se había ocultado dentro de un duro caparazón, volviéndose para siempre inaccesible.
C’est seulement dans les endroits où l’on a fait l’expérience de la solitude qu’on a pour les choses tant d’amitié.
Solamente en una casa donde se ha aprendido a estar solo puede uno tener tanto cuidado con las cosas.
Je suis revenu au cours de l’été et ta mère m’a proposé qu’on vive ensemble, qu’est-ce que tu dis de ça, hein ? qu’on vive ensemble ou qu’on ne se voie plus jamais, voilà comment elle me l’a présenté, ça m’a scotché, on s’était parlé au téléphone mille fois, on s’était écrit des tas de lettres, mais je sais pas, je crois que cette année-là, elle avait fait l’expérience d’une autre vie elle aussi, d’autres hommes, même si elle soutient le contraire, bref on s’est installés, maman a terminé ses études et n’a jamais demandé sa bourse de recherche, moi j’ai trouvé ça très bien, au fond, je préférais qu’elle passe des concours pour devenir prof, aujourd’hui, en revanche, je ne sais pas, c’est à peu près à cette époque-là qu’elle a cessé d’écrire, pendant ce temps il fallait bien que je m’occupe, évidemment, pas question que je reprenne des études, j’allais pas non plus compter sur la charité de mes beaux-parents, enfin, je me suis mis à chercher des boulots en rapport avec les voyages, j’ai bossé ici et là et finalement je suis entré à l’agence, moi j’étais habitué à bouger, pas à traiter avec des touristes, disons qu’un touriste, c’est quelqu’un qui te paie pour éviter de bouger, au début je l’ai envisagé comme une activité provisoire, c’était commode, tout près de la maison, pas évident non plus de trouver mieux, non ? et puis, le temps passant, j’y suis resté, je me suis rangé, les années ont filé à une vitesse folle, mes parents sont morts l’un après l’autre, dis donc, comme s’ils avaient passé un marché, grand-mère a toujours voulu avoir des petits-enfants, comment te la décrire ? ma mère marchait en regardant ses pieds, chez elle, plus on lui criait dessus, plus elle se vernissait les ongles, et tonton Juanjo s’est occupé de l’entreprise, il me disait tout le temps : Pourquoi tu viens pas travailler avec moi, puisque t’es un routard ? mais tu venais de naître, Lito, et il s’est passé une chose bizarre en moi, j’ai commencé à avoir peur de la route, et chaque fois que…
En verano volví, y tu madre me propuso que viviéramos juntos, ¿qué te parece?, irnos a vivir juntos o no vernos nunca más, eso me dijo, yo me quedé de piedra, habíamos hablado mil veces por teléfono, nos habíamos escrito un montón de cartas, pero, no sé, yo creo que ese año ella también probó otra vida, y a otros hombres, ella dice que no, y nos fuimos los dos, a vivir juntos, digo, y mamá terminó la carrera, y nunca pidió esa beca de investigación, a mí me pareció perfecto, la verdad, yo prefería que aprobara las oposiciones, ahora en cambio, no sé, por esa época, más o menos, ella dejó de escribir, mientras tanto yo algo tenía que hacer, claro, volver a estudiar ni loco, tampoco iba a esperar a que mis suegros me dieran limosna, en fin, me puse a buscar cosas que tuvieran que ver con los viajes, hice esto, lo otro y al final entré en la agencia, yo estaba acostumbrado a moverme, no a tratar con turistas, un turista, digamos, es alguien que te paga para evitar moverse, al principio me lo planteé como algo provisional, era cómodo, quedaba cerca de casa, conseguir algo mejor tampoco era tan fácil, ¿no?, y fui quedándome ahí, me fui quedando quieto, y los años se pusieron a correr como locos, mis padres se murieron, uno detrás del otro, fíjate, como si hubieran hecho un pacto, la abuela siempre quiso tener nietos, ¿cómo describírtela?, mi madre caminaba mirándose los pies, cuanto más le gritaban en casa más se pintaba las uñas, y el tío Juanjo se hizo cargo de la empresa, siempre andaba diciéndome: ¿por qué no vienes conmigo?, ¿no ves que a ti la carretera te gusta?, pero tú acababas de nacer, Lito, y empezó a pasarme algo raro, empecé a tener miedo de la carretera, y cada vez que... Lito
mais les ornières y étaient nombreuses, l’humiliation attendait le jeune courtisan à tous les carrefours, comme son père et son grand-père en avaient fait l’expérience.
Pero las probabilidades de sufrir un humillante fracaso eran muy elevadas, tal como su padre y su abuelo habían constatado.
Parfois, il réussissait même à se persuader que la mort ne lui faisait pas peur, qu’il en avait assez vu, qu’il avait fait l’expérience de l’amour, de la bêtise et de la stupidité, et qu’il vaudrait peut-être mieux trépasser d’un seul coup pendant qu’il était encore dans la fleur de l’âge, mourir d’une mort belle et sauvage, pendant que son corps et son esprit étaient purs et frais – comme le lui répétaient souvent ses parents plus âgés.
A veces había conseguido persuadirse de que tampoco le importaba demasiado morir, pues ya había visto bastante de la vida, el amor, la estupidez y las tonterías de la gente y la realidad, y que casi prefería sufrir una muerte repentina, prematura y salvajemente bella, con su cuerpo y su mente intactos y frescos y, como insistían en decirle sus mayores, con toda la vida por delante.
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