Käännös "faire le clown" espanja
Faire le clown
Käännösesimerkit
L’un après l’autre, ils se mirent à faire des clowneries, exagérant leur claudication, se mettant à quatre pattes comme des grenouilles, rampant de côté comme des crabes ou encore, tordant leurs vieux cous décharnés les uns vers les autres, comme le font les grues à la saison des amours, ce qui fit hurler la foule de rire.
Uno tras otro empezaron a hacer payasadas, exagerando lo absurdo de su cojera o traba. Finalmente todos brincaban a cuatro patas como ranas, o se tambaleaban de lado como los cangrejos, o escarbaban como las tortugas de mar atrapadas en la playa, o encorvaban sus cuellos el uno al otro como grullas durante la época de celo, y la muchedumbre que los observaba gritaba desternillándose de risa.
Lorsque, plus tard, une démagogie « populaire » malhonnête et bornée nous a demandé pourquoi, nous, écrivains bourgeois, n’écrivions pas dans « la langue du peuple », voici la seule réponse que j’ai pu donner : ce n’est pas lorsque les écrivains, après des siècles passés dans l’esprit de la culture occidentale, se sont montrés réticents à faire les clowns, déguisés en culotte et houppelande, et à jouer la carte populiste devant les manants, que la littérature hongroise a fauté contre le peuple ; non, c’est plutôt au moment où, après 1919, par nécessité, par impuissance, par « douce négligence », nous n’avons pas assez donné de la voix pour alerter le monde et clamer la vérité : la Hongrie contre-révolutionnaire, forte de l’alibi de la révolution, a maintenu cette relation de maître à esclave et elle a toléré l’existence d’un million et demi d’ouvriers agricoles dans le pays.
Cuando más adelante la demagogia «populista», malintencionada y estrecha de miras, recriminó a los escritores burgueses que no escribiéramos en el «lenguaje del pueblo», sólo pude responder que la literatura húngara no había traicionado a su pueblo cuando los escritores —después de tantos siglos empapados de la cultura occidental— se habían negado a disfrazarse de campesinos para hacer payasadas ante los jornaleros, sino cuando después de 1919, por necesidad, por inercia, por «dulce pereza», habían renunciado a pregonar a voz en cuello la verdad por el mundo: que la Hungría de la contrarrevolución, fortalecida por la coartada de la revolución, perpetuó esta relación de señor y siervo, y permitió que hubiera un millón y medio de obreros agrícolas en el país.
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