Samankaltaiset kontekstilausekkeet
Käännösesimerkit
Une tentative non pas d’expulser Helena, mais de m’expulser moi-même.
No un intento de expulsar a Helena, sino un intento de expulsarme a mí mismo.
J’ai aussitôt expulsé de chez moi tous mes hôtes.
Lo siguiente fue expulsar a todos los huéspedes de mi casa.
Expulser son frère sanguinaire n’avait rien de facile.
No era fácil expulsar a su sanguinario hermano.
Elle tentait en toussant d’expulser quelque chose de sa poitrine.
Intentó expulsar algo del pecho con la tos.
Rejeter ou expulser sa semence serait une insulte mortelle.
Rechazar o expeler su esencia sería un insulto mortal para él.
Elle resta là, à tousser et à cracher, pour expulser l’épice qu’elle avait dans les poumons.
Se quedó allí echada, tosiendo y escupiendo, con todo su cuerpo intentando expeler la especia de sus pulmones.
Il déglutit et se débattit contre sa bouche, comme pour expulser un intrus gluant.
Tragó saliva y luchó contra su propia boca, como si quisiera expeler a algún intruso pegajoso.
J’y arrivai juste à temps pour soulever le couvercle des WC et expulser une matière obscure et puante.
Llegué justo a tiempo para abrir la tapa del escusado y expeler una hedionda materia pardusca.
Elle redoubla d'efforts pour respirer et pour expulser l'enfant ; Tao Chi'en, avec tout son amour et toute sa science, et Ebanizer Hobbs avec ses textes de médecine, furent incapables de l'aider.
Se confundieron los esfuerzos por respirar con los del vientre por expeler a la criatura y tanto Tao Chi´en, con todo su amor y su ciencia, como Ebanizer Hobbs con sus textos de medicina, fueron impotentes para ayudarla.
Si vous avez envie de soupirer, avait murmuré le docteur Ziegler, soupirez… ne respirez pas, soupirez, le soupir est un stratagème que notre corps a inventé pour expulser sous forme de pneuma cette sorte de souci diffus et sournois que les Anglais appellent spleen… le bâillement aussi a la même fonction, à un niveau inférieur, pour l’ennui commun… mais le vôtre est un ennui différent… c’est la fatigue d’être… soupirez donc, Herr Tristano.
Si tiene ganas de suspirar, murmuraba el doctor Ziegler, suspire… no respire, suspire, el suspiro es una estratagema que nuestro cuerpo ha inventado para expeler en forma de neuma esa suerte de angustia difusa y solapada que los ingleses llaman spleen… también el bostezo tiene la misma función, a un nivel más bajo, para el común hastío… pero el suyo es un hastío distinto… es el cansancio de ser… suspire cuanto quiera, Herr Tristano.
Voici maintenant le résultat : plus Léonie expulse de marchandises, plus elle en accumule ;
El resultado es éste: que cuantas más cosas expele Leonia, más acumula;
Elle doit avoir une glande, comme les moufettes, et expulser l’odeur à volonté, pour se défendre ou immobiliser sa victime. »
Debe tener una glándula, como los zorrillos, y expele el olor a voluntad, para defenderse o inmovilizar a su presa.
L’affaire est qu’elles sont innombrables et que bien sûr, malgré les statistiques qui prouvent qu’en général les riches vivent plus vieux que les pauvres, il y en a pourtant de toute provenance sociale, et si par leurs vêtements et les quartiers qu’elles habitent elles révèlent bien leurs origines et leurs ressources, elles ont toutes certains traits en commun qui sont le propre de leur sexe et de leur âge : la démarche lente, les mains ridées et couvertes de taches sombres, la dignité légèrement arthritique des gestes, la mélancolie évidente des inconcevables jours derniers, les organes économes et les réflexes incertains et séniles, sans parler des multiples opérations, césariennes, extractions de dents et de calculs, ablations de seins, ponctions et résections de kystes et de tumeurs, ni des rhumatismes déformants, des troubles neurologiques, de la cécité progressive et de la surdité totale, des seins qui maigrissent ou s’aplatissent et des fesses qui s’écroulent, et, pour finir, de la fente légendaire qui, littéralement, expulse non seulement l’homme, mais le monde, la faille rose qui se dessèche, se ferme presque et s’assoupit.
El caso es que son innumerables, y aunque también las estadísticas y también, desde luego, en general, demuestran que los ricos viven más que los pobres, las hay que pertenecen a todas las clases sociales, y si bien por la vestimenta y por los lugares donde habitan revelan sus orígenes y sus medios, todas tienen los rasgos comunes propios a su sexo y a su edad: el paso lento, las manos arrugadas y llenas de vetas oscuras, la dignidad ligeramente artrítica de los gestos, la melancolía evidente de los inconcebibles días finales, los órganos parsimoniosos y los reflejos indecisos y seniles, para no hablar de las operaciones múltiples, cesáreas, extracciones de muelas y de cálculos, ablaciones de senos, raspados y eliminación de quistes y de tumores, o de las deformaciones reumáticas, de los disturbios neurológicos, la ceguera progresiva o la sordera total, los senos que se desinflan o se achicharran y las nalgas que se desmoronan, y por último, de la hendidura legendaria que, literalmente, expele no solamente al hombre sino también al mundo, el tajo rosa que se reseca, se entrecierra y se adormece.
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