Käännös "battre de" espanja
Samankaltaiset kontekstilausekkeet
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Elle voulait tellement refuser cette offre qu’elle en avait mal ; ses tripes se tordaient et elle sentait ses tempes commencer à battre.
Tenía tantas ganas de rechazar la oferta que le hacía hasta daño y sentía que le palpitaban las sienes.
Il vaut la peine de se battre pour repousser un ennemi, mais nous sommes déjà ici et nous voulons partir.
Vale la pena combatir si se quiere rechazar a un enemigo, pero nosotros estamos ya aquí y no queremos sino salir por el otro lado.
N’avait-il pas repoussé les propositions de Raymond de Poitiers sous prétexte qu’il n’était pas venu se battre pour Antioche, mais adorer Jésus-Christ à Jérusalem ?
Había llegado a rechazar las proposiciones de Raimundo de Poitiers con el pretexto de que no había venido para luchar por Antioquía, sino para adorar a Cristo en Jerusalén.
J’ai dû me battre pour refuser cigare, liqueur, tableau à cinq cents dollars, dinde surgelée de son ranch de l’Oregon et chiot irlandais.
He tenido que rechazar puros, licor, un cuadro de quinientos dólares, un pavo congelado de su rancho de Oregón y un cachorro Kerry Blue.
Mais ce qui se produisit en outre, ce fut le réveil du régiment endormi. Il fallait le voir s’agiter ; pour la plupart des hommes, c’était le sauve-qui-peut, mais certains imbéciles de va-t-en-guerre voulaient se battre.
Pero también ocurrió que el dormido regimiento volvió a la vida. ¡Cómo se arremolinaron todos! La mayoría salió corriendo, pero unos pocos hombres belicosos quisieron rechazar el ataque.
Le Centre Médical de Freeholm voudrait m’avoir à plein temps, mais il faudrait qu’il y mette le prix. J’ai une proposition de l’Institut de Recherche de Tau Ceti qui me paraît difficile à battre. Ils m’offrent… Je crois qu’ils appellent ça un poste de « chercheur honoraire ».
El centro médico de Freeholm me quiere allí, pero tendrán que hacer cola… Tengo una oferta del Instituto de Investigaciones Tau Ceti que es difícil de rechazar.
– Et puis, il y a peut-être dix ans, juste avant que mon père finisse par être fatigué de se battre contre les types de la rénovation urbaine et prenne sa retraite, il a eu une petite attaque. Il est resté dix jours à l’hôpital. Et les gens du voisinage, les latinos et les boches et même les macaques qui sont arrivés dans le coin vers 1955… ils ont payé sa note.
—Luego, hace aproximadamente unos diez años, justo antes de que el viejo se cansara al fin de rechazar a los individuos de la reordenación urbana y se retirara, le dio un ataque sin importancia. Se pasó diez días en el hospital, y los negros y los alemanes, e incluso algunos de los morenos que empezaron a llegar hacia 1955 más o menos… todos ellos pagaron su factura.
Elle jeta un coup d’œil au groupe indistinct de paquets et d’êtres assis ou allongés d’entre lesquels elle eût été à peine surprise de voir s’élever des ailes repérables dans la nuit à leur frange blanche ou d’entendre battre contre les flancs invisibles ces ailes frangées de blanc, mais sentant alors que dans cette peur même se manigançait une dérobade, une tentative de fuite de son esprit vers les contrées blafardes et rêveuses et solitaires quittées depuis peu, depuis ce matin-là seulement, et se forçant à repousser son appréhension et à ne s’occuper que de cette réalité immédiate, de cette menace imminente qu’elle entrevoyait par éclats dans le regard brillant de l’homme, dans le sifflement vorace de sa voix qui demandait, qui exigeait de l’argent.
Echó un vistazo al grupo indistinto de bultos y de personas sentadas o estiradas entre las que apenas si le hubiera sorprendido ver alzarse unas alas reconocibles en la noche con su franja blanca u oír golpear contra los flancos invisibles esas alas orladas de blanco, pero presintiendo que en ese su miedo se maquinaba una escapatoria, un intento de huida mental hacia las regiones pálidas y solitarias del sueño abandonadas hacía poco, desde esa misma mañana sin ir más lejos, y forzándose a rechazar su aprensión y a no ocuparse más de esa realidad inmediata, de esa amenaza inminente que entreveía a través de destellos en la mirada reluciente del hombre, en el silbido voraz de su voz que pedía, que exigía dinero.
ils se taillent au lieu de se battre ! » et puis soudain c’est le silence, les arbres qui redeviennent des choses vivantes et amies, les accidents du terrain, les blessés à soigner, la gourde d’eau avec un peu de rhum qui passe de bouche en bouche, les soupirs, quelques plaintes, le repos et le cigare, grimper encore et toujours quand bien même les poumons devraient me sortir par les oreilles, et Pablo me disant, dis donc, petit père, tu m’as fait du quarante-deux et moi je chausse du quarante-trois, les rires, le haut enfin de la colline, la cabane où un paysan avait un peu de yucca en sauce et de l’eau bien fraîche, et Roberto, consciencieux et bien stylé, sortant ses quatre pesos pour payer la dépense et tout le monde, à commencer par le paysan, qui s’est mis à rigoler à mort, et le plein midi qui invitait à la sieste et il fallut y renoncer et c’était comme si on avait laissé passer une jolie fille en se contentant de la suivre des yeux jusqu’au bout du chemin.
Uno nunca se explica cómo deja atrás a sus perseguidores, poco a poco ralea el fuego, hay las consabidas maldiciones y «cobardes, se rajan en vez de pelear», entonces de golpe es el silencio, los árboles que vuelven a aparecer como cosas vivas y amigas, los accidentes del terreno, los heridos que hay que cuidar, la cantimplora de agua con un poco de ron que corre de boca en boca, los suspiros, alguna queja, el descanso y el cigarro, seguir adelante, trepar siempre aunque se me salgan los pulmones por las orejas, y Pablo diciéndome oye, me los hiciste del cuarenta y dos y yo calzo del cuarenta y tres, compadre, y la risa, lo alto de la loma, el ranchito donde un paisano tenía un poco de yuca con mojo y agua muy fresca, y Roberto, tesonero y concienzudo, sacando sus cuatro pesos para pagar el gasto y todo el mundo, empezando por el paisano, riéndose hasta herniarse, y el mediodía imitando a esa siesta que había que rechazar como si dejáramos irse a una muchacha preciosa mirándole las piernas hasta lo último.
Tu voulais me battre, cette nuit.
Me querías golpear anoche.
Je ne vais pas vous battre pour le plaisir.
No te golpearé por el mero placer de hacerlo.
J’entendais la pluie battre les fenêtres.
Escuché la lluvia golpear en la ventana.
— Comment osez-vous battre cet homme ?
—¡Cómo se atreven a golpear a ese hombre!
Son cœur se met à battre violemment.
Su corazón empezó a golpear pesadamente.
Je suis un grand sentimental : je n’aime pas battre les femmes.
Cuando hay que golpear a una mujer, me pongo sentimental.
Kringström recommence à battre la cadence.
Kringström vuelve a golpear el suelo con el pie.
On entendait un marteau battre sur quelque chose de métallique.
Se oía un martillo golpear en algo metálico.
les vagues semblaient battre contre sa poitrine même.
Las olas parecían golpear contra su mismo pecho—.
Pour ce qui était de se battre, je ne savais par où commencer.
Cuando lo que estaba en juego era golpear a alguien, no sabía por dónde empezar.
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