Käännös "à dépouiller" espanja
À dépouiller
Samankaltaiset kontekstilausekkeet
Käännösesimerkit
Tandis que la voiture se traînait jusqu’au sommet, puis redescendait vers la maison de George l’Anglais, il dut lui apparaître que le caractère de l’homme devait nécessairement, à l’instar des montagnes, se dépouiller pour atteindre au plus haut.
Algo debió de haberle dicho, según iban arrastrándose hasta pasar el alto y bajar hacia English George's, que tanto el carácter como las montañas tenían que desnudarse para los cielos.
non, beaucoup d’entre eux avaient déjà accompli toutes sortes d’actions méritoires et profitables, mais à la faveur des loisirs du voyage, ils avaient presque entièrement dépouillé ce qu’ils étaient ailleurs, trouvant une entière jouissance à se dénuder, et seule était restée intacte leur arrogance aveugle dans les ténèbres de l’avidité, dans l’assoupissement ténébreux gorgé d’avidité.
no, muchos de ellos habían prestado ya meritorios y loables servicios de toda clase; pero de lo que eran de ordinario, habían borrado la parte mayor durante la inacción del viaje, con una manera casi sibarítica de desnudarse a sí mismos, y les había quedado intacto solamente su ciego orgullo en confusa codicia, en un crepúsculo lleno de avidez.
Elles franchissent de très vieilles forêts, plongent en profonds canyons tapissés de maints cours d’eau, se reposent au creux de ravissantes petites vallées et, suivies par de grands vents, parcourent de hauts plateaux ; mais elles laissent en arrière tous ces détails du monde inférieur lorsqu’elles commencent de se dépouiller pour monter vers les cieux. Alors, dans la solitude, débarrassées des contingences, tels les saints hommes du temps jadis, elles s’élèvent vers leur transfiguration. » Force m’est de voir dans ce passage autre chose qu’un ornement littéraire ;
Van ascendiendo a través de antiguas florestas y se sumergen en cañones enmarañados de cursos de agua y descansan en pequeños valles como gemas y avanzan atendidas por poderosos vientos a través de las altas mesetas, pero todo ese tipo son incidentes del mundo de abajo que dejan tras ellas cuando empiezan a desnudarse para llegar al cielo: como los santos de la antigüedad, ascienden solas y desprovistas de toda circunstancia al encuentro de su transfiguración. No puedo evitar leer esto como algo más que un adorno literario;
a la tira
Ce n’est pas comme s’il allait être au courant… » (Et s’il l’était ?) Les discussions sur sa dépouille avaient déjà commencé et il n’était même pas encore mort.
Tampoco es que vaya a enterarse, ¿no? —(Pero ¿y si lo hacía?). El tira y afloja sobre su cuerpo había empezado ya y ni siquiera estaba muerto.
Sur un fragment de fémur et une lanière de cuir trouvée auprès de la dépouille, qui provenait sans doute d’une chaussure ou peut-être d’un fourreau.
La practicamos en un fragmento del fémur y en una tira de cuero que hallamos con el cuerpo, tal vez un fragmento del calzado o de la vaina de un arma.
Je regardai Marta à présent de ma hauteur, de celle d’un homme debout qui regarde quelqu’un d’allongé, je vis ses fesses arrondies et dures que faisait ressortir sa petite culotte, la jupe remontée et la position recroquevillée laissant voir tout cela, pas ses seins toujours couverts par ses bras, un rebut, une dépouille maintenant, quelque chose que l’on ne garde plus mais que l’on jette — que l’on incinère, que l’on enterre — comme tant d’objets lui ayant appartenu devenus soudain inutilisables, comme tout ce qui, se transformant sans cesse, échoue aux ordures, que l’on ne peut garder et qui pourrit — la peau d’une poire ou le poisson gâté, les premières feuilles d’un artichaut ou les entrailles d’un poulet, le gras du tendron irlandais qu’elle-même devait avoir versé de nos assiettes dans la poubelle peu de temps auparavant, avant que nous n’allions dans la chambre — une femme inerte et même pas couverte, même pas sous les draps.
Miré a Marta ahora desde mi altura, desde la de un hombre que está de pie y mira hacia alguien tumbado, vi sus nalgas redondeadas y duras que sobresalían de sus bragas pequeñas, la falda subida y la postura encogida dejando ver todo eso, no sus pechos que seguían cubriendo sus brazos, un desecho, ahora sí un despojo, algo que ya no se guarda sino que se tira -se incinera, se entierra- como tantos objetos convertidos en inservibles de pronto que le pertenecieron, como lo que va a la basura porque se sigue transformando y no se puede detener y se pudre -la piel de una pera o el pescado pasado, las hojas primeras de una alcachofa o la asadura apartada de un pollo, la grasa del solomillo irlandés que ella misma habría vaciado en el cubo desde nuestros platos hacía poco, antes de que fuéramos al dormitorio-, una mujer inerte y ni siquiera tapada, ni siquiera bajo las sábanas.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test