Käännös "yo y hago" ranskan

Yo y hago

• moi et moi faisons
• i et moi

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moi et moi faisons

—Descansa un poco, que te hago un té —dije.
« Faisons une petite pause ; je prépare du thé », proposais-je.

Hago todo lo que puedo, los dos lo hacemos, Jean y yo.
Je fais de mon mieux, nous faisons de notre mieux, Jean et moi.

—Te las hago aquí, entonces —dijo Rebus.
— Eh bien faisons ça ici, dit Rebus.

Por supuesto, por ese precio y para que los demás crean que limpias, de verdad vas a limpiar, claro está… Primero vas a aprender mirando lo que hacen los demás discípulos y lo que hago yo.
Bien entendu, pour ce prix et pour que les autres croient que tu nettoies, tu vas vraiment le faire… Tu vas tout d’abord apprendre en regardant ce que nous faisons, les élèves et moi-même.

Nosotros hacemos cosas parecidas a veces: a mí no me permiten ir de vacaciones fuera de la UE sin permiso por escrito de mi jefe de departamento, pero eso es porque hago trabajo secreto para el gobierno.
Nous faisons des choses comparables, quelquefois : je n’ai pas le droit de partir en vacances en dehors de l’UE sans la permission écrite de mon chef de service. Mais c’est parce que j’ai accès à des secrets d’État dans le cadre de mon travail.

Pero no debería mencionar a este o aquel personaje cuando hablo de los dioses inmortales —todos somos uno incluso en nuestra diferencia— y cuando utilizo el término «padre», digamos, o «él», o ya que estamos, «yo», lo hago solo por comodidad.
Je ne devrais pas parler de tel ou tel personnage quand il est question des dieux immortels – jusque dans notre séparation, nous ne faisons qu’un – et quand j’emploie le mot « père », mettons, ou « lui », ou, en l’occurrence, « moi », je ne le fais que par commodité.

—No te hagas el comemierda, chama… Si me ayudas y hago negocios con él, por cada cien fulas que le compre te llevas un pescao. —Y movió sus diez dedos ante los párpados del muchacho—.
– Ne joue pas au con, petit… Si tu m’aides et que nous faisons affaire, tous les cent dollars que je lui achèterai, t’auras ton bénéf, et il tendit ses dix doigts écartés devant les paupières du garçon.

Abe probablemente disponía de un informe entero sobre mí. Probablemente hasta sabría lo que me gustaba desayunar—. Te ofrezco un trato. Dime qué haces aquí y yo te diré qué hago aquí. —Ya te lo he dicho.
Abe devait posséder un dossier sur moi et savoir ce que j’aimais manger au petit déjeuner. — Faisons un marché : si tu me dis pourquoi tu es là, j’en ferai autant de mon côté. — Je vous l’ai déjà dit.

No hago caso a sus cumplidos y le digo que soy una campanilla de invierno y que eso es lo que hacen las campanillas de invierno, nada del otro mundo, somos duras, nos abrimos paso a través del suelo, como puños que se alzan en señal de victoria.
Je balaie ses compliments d’un geste désinvolte, je lui réponds que je suis une perce-neige et que c’est ce que nous faisons, nous autres perce-neige, ce n’est pas grand-chose, nous sommes coriaces, nous nous élevons au-dessus du sol, comme de petits poings dressés en signe de victoire.

—Tienes razón. ¡Podría tragármelo entero de un bocado! —comento, pesarosa, aunque no lo hago. Nos comportamos con bastante sensatez; cogemos un panecillo cada uno, media manzana, y una ración de estofado y arroz del tamaño de un huevo.
—Tu as raison, dis-je à regret je pourrais tout avaler d’un coup ! Nous n’en faisons rien nous nous montrons raisonnables. Nous ne mangeons qu’un petit pain, une demi-pomme et une petite portion de ragout et de riz chacun.

i et moi

Él encogió ligeramente los hombros. —Lo hago.
I-Portak haussa légèrement les épaules. —C’est ce que je fais.

y apoyé la mano en vuestra cabellera, como aquí hago.
And laid my hand upon thy mane – as I do here3.

—pregunto—. ¿Ni «Me he encontrao una rata en la cocina. A ver qué hago yo ahora»?
Ou un truc du genre « Dere’s a rat in da kitchen – what I gonna do ? ».

Seguro que se pregunta qué hago llevando una caja como esta, y luego se imaginará que voy a tirarla a alguna parte, se dijo Lucas para sus adentros.
Pour le moment, il s'étonne de me voir i liargé d'un paquet pareil et il pense que j'ai l'inten- lion de le jeter par-dessus bord, se dit-il.

¿Qué clase de hombre sería si te diera la espalda ahora que el peso del mundo entero recae sobre tus hombros? No. Eres de la familia —en ese instante, volvió a mostrar ese diente que le faltaba, al mismo tiempo que daba una palmadita con su pesada mano a Calder en el hombro—. Yo hago las cosas a la vieja usanza. —Eres un hombre de honor, ¿eh?
Quel homme serais-je si je te tournais le dos maintenant que le monde te méprise ? Non. Tu es de la famille. (Un nouveau sourire édenté, accompagné d’une tape sur l’épaule de Calder.) Je fais les choses à l’ancienne. — Vous êtes droit comme un « i » ?